SES VISITEURS ONT PASSÉ AU TRAVERS DU MUR

Le ou vers le 4 décembre 1995, je reçois ce simple appel téléphonique à mon bureau du CEIPI (Centre d’étude et d’informations sur les phénomènes inexpliqués) que je dirigeais dans l’Outaouais.

Jean-Luc : M. Casault ?

Casault : Oui, c’est moi.

Jean-Luc : Faut-il devenir membre pour vous raconter ce que j’ai vécu ?

Casault : Absolument pas. Je peux vous aider ?

Jean-Luc : Oui, mais c’est assez heavy mon affaire !

Casault : Je peux vous voir ce soir ?

Jean-Luc : Pas de problème, je vous donne mon adresse

Nous nous sommes rendus sur place Hélène et moi-même avec l’arsenal d’enquêteur et l’impression que nous allions au-devant d’une rencontre fort intéressante. Nous avons été accueillis par un jeune homme de 27 ans, de taille moyenne, aux cheveux châtains, une petite barbe et un visage plaisant, un peu de gêne, mais désireux de sauter dans le vif du sujet sans plus attendre.

Jean-Luc : J’aime autant vous prévenir, ce n’est pas une histoire d’OVNI mon affaire. Je les ai vus, ils étaient dans ma chambre au pied de mon lit. Ils ont tout éclairé au point que les murs blancs de la pièce étaient 100 fois plus blancs, même que ma mère a vu la lumière passer en dessous de la porte et là…

CEIPI : Okay… Jean-Luc, donnez-nous juste le temps de sortir le matériel, l’enregistreuse, le rapport d’enquête et on commence.

Un astronaute pour aller voir son ami dans l’étoile

Nous avons parlé, discuté, échangé durant plusieurs minutes. Nous avons écouté son histoire et toutes les autres, puis la mère de Jean-Luc est venue nous rejoindre pour confirmer ce qu’elle avait vu. Après une heure, c’est elle qui s’est mise à nous raconter ses propres expériences pour réaliser à sa grande surprise que son fils et elle partagent sans doute les mêmes visites impromptues. C’est alors que se rabattant sur son fils, nous faisant oublier ses expériences, elle nous raconte ce qu’était Jean-Luc à cinq ans.

Nous sommes à Gatineau, dans une petite maison très humble, flanquée de gens sans aucune prétention et d’une simplicité comme souvent les gens de la région savent l’être. Les révélations s’accumulent et personne n’insiste, personne ne pousse, nous sommes ouverts et respectons ce qu’ils racontent. Ils ont confiance et s’avancent et plus le temps passe, plus se tisse une histoire qui se rejoint entre une mère et un fils qui n’ont jamais osé faire ce lien entre eux, racontant leurs anecdotes sous un angle jamais apprécié de la sorte auparavant.

Hélène et moi-même sommes fascinés, mais demeurons discrets dans nos réactions. Il y a des signes qui ne trompent pas, le meilleur détecteur de mensonges sera toujours l’expérience, mais ces gens-là ne mentent pas, ils n’ont rien à prouver et ne veulent surtout pas de publicité. Tous les noms et prénoms ont été modifiés comme ce sera malheureusement presque toujours le cas.

Ces gens-là ont voté au dernier référendum de 95, ils écoutent le hockey, se préparent pour fêter Noël, et pourtant, ce soir, ils mettent sur la table une vie extraordinaire et riche d’expériences fabuleuses sans vraiment le réaliser. Notre petite vie est ben ordinaire, diront-ils, mais… y’en est arrivé des affaires.

La mère de Jean-Luc se met à nous raconter qui était son petit bonhomme que les maîtresses d’école retournaient à la maison avec un air découragé : Ce n’est pas un enfant comme les autres, il parle de choses qui ne font pas de sens, madame. Ce matin, il nous a dit qu’il voulait être un astronaute pour aller rejoindre son ami(e) ? dans l’étoile. Franchement !

Jean-Luc a cinq ans et veut devenir astronaute pour aller rejoindre un ou une amie dans l’étoile. Sur un dessin qu’il a fait et que nous montre sa mère avec un sourire de mère, on voit quatre soleils au-dessus de la maison. Jean-Luc n’a eu qu’un père pourtant et le soleil dans l’iconographie infantile a toujours représenté le père. Habituellement, on voit des gros soleils, des petits soleils, des soleils cachés, des soleils sublimes, des soleils pâles, mais on ne voit jamais quatre soleils chez un enfant qui vit dans une famille normale et non troublée par des disputes sans fin, des divorces et ces genres de choses.

Une nuit d’hiver incroyable en 1991

Jean-Luc : Ça s’est passé chez nous sur la rue xxxxx à Gatineau. C’est un condo à trois étages et nous vivions au deuxième. J’étais dans ma chambre, il devait être 3 heures du matin et je n’arrivais pas à dormir. Je m’étais couché vers une heure. La nuit semblait froide, mais calme. Je ne sais plus quelle date, mais c’était durant l’hiver…

Madame : C’était en 1991. Je m’en souviens très bien.

Jean-Luc : Ouais, c’est ça, en 90 j’aurais dit, mais ça se peut que ce soit en 91. J’avais les yeux fermés, mais je ne dormais pas. En ouvrant les yeux, j’ai vu la chambre inondée de lumière. C’était blanc, partout. Mes murs étaient blancs, mais là on aurait dit qu’ils étaient cent fois plus blancs. C’est écœurant la lumière qu’il y avait là-dedans. En plus, il y avait de la lumière qui venait de la fenêtre en arrière de moi, mais dans la lumière, je voyais les trois… ben moi, je les appelle les trois bibittes. Il y avait trois ombres, trois formes.

CEIPI : Des silhouettes ?

Jean-Luc : C’est ça, des silhouettes. Il y en avait trois en avant de moi et ils avaient quelque chose dans leur main qui m’éclairait en plein dans les yeux comme si y’avait pas assez de lumière tsé ? La chambre était pleine de lumière, mais ils m’envoyaient ça quand même dans les yeux. Je ne voyais pas leur visage, je ne voyais que leur forme. Il y en avait un ou peut-être deux à côté de moi qui me faisaient quelque chose, mais je ne sais pas quoi.

CEIPI : Quelle taille avaient-ils ?

Jean-Luc : C’est dur à dire, j’étais couché, mais je dirais à peu près haut de même (il indique une hauteur d’environ 5 pieds et quelques pouces). Ils avaient la tête et le cou ben solides sur leurs épaules, des épaules fortes.

CEIPI : Attendez ! Vous dites qu’ils mesuraient plus de 5 pieds ?

Jean-Luc : Oui ben, je ne sais pas, mais ils avaient l’air assez grands, un peu plus petits que la normale, mais pas plus.

Le témoin identifie la figure indiquée plus bas en soulignant la silhouette et non les détails. Il a ajouté cependant qu’ils semblaient assez musclés ou costauds. Il est possible que ces visiteurs aient été revêtus d’une combinaison quelconque ou il est possible qu’il s’agisse d’une race totalement différente des témoignages plus fréquents.

Jean-Luc : Ma mère a vu la lumière, elle a frappé dans ma porte en me disant : Qu’est-ce que tu fais avec des grosses lumières de même Jean-Luc ? Dès qu’elle a frappé dans la porte, les trois formes se sont transformées comme en boules de feu rouge puis ont passé au travers le mur. Tout s’est arrêté d’un coup, plus rien, plus de formes, plus de lumière, plus de bruit, plus rien.

CEIPI : Quel bruit ?

Jean-Luc : C’était comme un transformateur. On dirait un bruit comme un huuuuummmm avec de la statique dedans. J’avais déjà entendu ce bruit-là avant.

CEIPI : On va y revenir. Mais avant, je voudrais savoir si vous avez perçu une odeur ?

Jean-Luc : Oui, il y avait une odeur, mais c’est dur à dire. C’était comme du soufre, mais pas du soufre. Du soufre qui sent meilleur. C’était une odeur de chauffé, quelque chose qui chauffe.

CEIPI : Madame, dites-moi ce que vous avez pensé en voyant la lumière sous sa porte.

Madame : Je trouvais que la lumière était forte, très forte même. J’ai pas pensé sur le coup, mais le lendemain lorsqu’il m’a raconté ça, j’ai réalisé qu’il n’y a pas de lumière de même dans sa chambre, ni au plafond ni sur sa table. Elle était très forte, c’est pas possible.

CEIPI : Vous n’êtes pas entrée ? Pourquoi ?

Madame : Non monsieur, si je frappe à la porte de mon garçon, j’attends qu’il me dise de rentrer. En frappant, la lumière s’est fermée. Je suis allée me recoucher.

CEIPI : Et vous Jean-Luc, pourquoi ne pas vous être levé ?

Jean-Luc : J’étais pas capable. La seule chose que je pouvais bouger, c’est les yeux. J’étais cloué sur mon lit. Pas capable de bouger.

Traces et souvenirs

Jean-Luc a vécu dans les mois qui ont suivi une série de cauchemars particulièrement pénibles. Sa mère et son amie ont confirmé l’avoir entendu hurler de terreur à plusieurs reprises. À notre question s’il porte ou pas des cicatrices inexplicables, Jean-Luc n’a pas hésité. Il a baissé sa chaussette du pied droit pour nous montrer une cicatrice de forme triangulaire juste au-dessus de l’os principal du pied. Il a affirmé s’être levé un matin avec une sensation de brûlure et a constaté cette curieuse de cicatrice que nous avons vu. Il n’a aucun souvenir de s’être jamais blessé à cet endroit ni maintenant ni jamais.

D’autres événements sont survenus dans son existence et nous en ferons la narration, mais lorsque Jean-Luc manifesta son intention de vouloir en savoir plus et d’identifier le phénomène qu’il a vécu, nous lui avons parlé d’hypnose. Il a acquiescé sur le fait. L’heure avançait. Hélène et moi-même avons tout de même convenu qu’il était possible de tenter une expérience exploratoire.

Après avoir induit Jean-Luc en transe hypnotique légère, nous sommes retournés graduellement au cours de cette soirée d’hiver. Pendant de longues minutes, il semblait ne pas réagir pour finalement nous dire : Je flotte dans le noir. Puis, il en vint à spécifier qu’il était sur quelque chose de dur. Il fit allusion plus tard à une sorte de table avec des signes et des symboles. Au moment où il commença à nous décrire une scène étrange au cours de laquelle des bâtons de vitre comme jaunes s’assemblaient autour de lui, sa respiration s’accéléra.

CEIPI : Relaxe Jean-Luc, tout est sous contrôle, tu es ici avec nous, dans ton salon, tu ne fais que revivre des événements qui appartiennent au passé, tu n’as rien à craindre. Continue.

Jean-Luc : (voix faible presque inaudible) Ils… Ils me mettent… ils me mettent un plastique, je sens de l’eau sur le corps… il y a un tube dans ma bouche. (Il cesse de parler, sa respiration est bruyante.)

Sa compagne se lève et prend une petite pompe, je comprends alors que Jean-Luc souffre d’asthme. Il faudra mettre un terme à la séance. C’est alors qu’il se met à avaler, sa gorge fait un bruit épouvantable. Il est extrêmement tendu. Je ramène Jean-Luc chez lui, je l’apaise et après quelques minutes, il revient à lui. Sa crise d’asthme est terminée, il respire normalement et ne se souvient pas de tout. C’est une séance exploratoire qu’il faudra reprendre en tenant compte de tous ces facteurs : asthme, oubli, etc. Un point important, ses dernières paroles avant de quitter la transe furent : Je ne veux pas avancer, je veux dormir, je veux m’endormir.

Heures perdues 

Au cours d’autres expériences, Jean-Luc a vécu le fameux Missing Time Experience caractéristique des abductees. Il a aussi vécu ce que d’autres pourraient considérer comme un effet poltergeist, alors qu’un beau matin toute sa chambre était à l’envers, tiroirs sortis, meubles renversés, etc., comme si un tremblement de terre ou une tornade était passé. Le reste de la maison était normal. Jean-Luc n’est pas un maniaque de l’ordre, mais tout de même… Plusieurs rêves étranges viennent combler son expérience dont un au cours duquel il a mémorisé des signes ou des symboles étranges.

Signes et symboles

Dans son livre UFO Experiences in Canada, Vicky Cameron raconte l’histoire étrange d’une personne aux prises avec des événements très mystérieux, mais sans que jamais un OVNI ou un visiteur n’ait été consciemment vu. Cependant, au cours d’une soirée du 12 décembre 1977, cette personne vit clairement une série de symboles et de signes qu’elle a minutieusement retranscrites.

Nous avons trouvé la ressemblance absolument stupéfiante d’autant plus que Jean-Luc dit n’avoir jamais vu ces signes et ne connaît pas cette personne qui demeure à Meaford en Ontario. Le premier tableau est celui de cette personne, le second est de la main de Jean-Luc, rédigé à la hâte devant nous.

DEUXIÈME SESSION

Le 8 janvier 1996, Jean-Luc se présentait au bureau du CEIPI accompagné de son amie. Nous avons échangé les politesses d’usage puis sans perdre de temps, nous avons repris la session où nous l’avions laissé en utilisant cette fois une autre technique d’induction hypnotique que certains appellent : les chambres de la mémoire. Le sujet, avec son imagination, visite des pièces de couleur différentes et d’une à l’autre s’enfonce de plus en plus profondément dans un état hypnotique.

Après être retourné au point de départ, Jean-Luc expérimente de nouveau des mouvements de déglutition parfaitement réels. C’est alors qu’en lui demandant de décrire la table sur laquelle il se trouve, Jean-Luc nous fait part qu’il voit une main blanche comme de la craie. Il continue de respirer de l’eau. Comme un poisson, dit-il. Nous lui demandons de faire un bond en avant. Un long moment de silence… Puis, il revoit la table et les écritures ; des signes curieux, courbes, semblables à de l’égyptien, blancs. Nous apprenons que les tubes de verre n’y sont plus et qu’il est debout.

CEIPI : Tu es debout ? Est-ce que tu es seul?

Jean-Luc : Non.

CEIPI : Très bien, qui est là ?

Jean-Luc : Une fille. Elle se tient dans le noir.

CEIPI : Est-ce que tu peux la décrire ?

Jean-Luc : Elle est plus grande que moi (il mesure près de 6 pieds). Elle a des yeux de fourmi.

CEIPI : Un nez, une bouche ?

Jean-Luc : Un nez… un petit nez. (Long silence.)

CEIPI : Est-elle humaine ?

Jean-Luc : Juste les yeux qui le sont pas.

CEIPI : Comment est-elle vêtue ?

Jean-Luc : C’est comme un habit de plastique.

CEIPI : Comment sais-tu que c’est une femme ?

Jean-Luc : Ses cheveux.

CEIPI : Elle a des cheveux ?

Jean-Luc : Oui, mais ils sont dans le noir, je ne vois pas très bien.

CEIPI : Elle parle ?

Jean-Luc : Non.

CEIPI : Nous allons faire un autre bond en avant : au compte de 1… 2… 3. Es-tu toujours dans la salle ?

Jean-Luc : Oui.

CEIPI : Es-tu seul ?

Jean-Luc : Non, il y a plusieurs personnes.

Note : Afin d’accélérer le processus nous allons éliminer les questions.

Ils sont sept, ils ont l’air humains, ils sont sans âge, ils sont debout, lui parlent et lui disent de ne pas s’inquiéter, aucun mal ne lui sera fait. Ils ont un visage un peu en triangle, des cheveux longs (noirs ou assombris par l’absence de lumière vive). Ils portent des vêtements de couleurs étranges qu’il n’arrive pas à définir. Jean-Luc est assis maintenant. Il est dans une salle ronde avec une porte pas de poignée. La salle est à peine éclairée comme avec une chandelle. Ils ont des grands yeux de fourmi comme la femme précédente. Ils parlent encore : mystères de vie, comment tout a commencé. Ils disent que notre vie a été faite en même temps qu’eux, que nous avons déjà été supérieurs à eux… que tout a disparu du jour au lendemain… nous avions une grande technologie… forcé de recommencer à neuf…

À ce stade, il existe une certaine confusion. Nous essayons d’en savoir plus sur cette conversation, mais il ne répond plus, il semble tourmenté et subitement c’est comme si on venait de changer. Il s’éveille brusquement au moment où nous lui demandons si tout cela s’est produit la même nuit.

Fait intéressant, en sortant de sa transe, il affirme se souvenir d’avoir rêvé et se met à nous raconter avoir vu des arbres, des pyramides, etc…

Nous sommes tous surpris et nous nous regardons. Jean-Luc se demande ce qui se passe et en visionnant le ruban vidéo de la session d’hypnose que nous avons filmé, constate qu’il n’a aucun souvenir des images qu’il évoque. Nous avons discuté du phénomène avec le Docteur Schacter qui nous a expliqué qu’il est possible que cela se produise. Toutefois, nous devons demeurer prudents face à la possibilité d’une contamination par des lectures et l’importation de fausses mémoires. La description des entités est différente de tout ce qui existe en raison de la présence de cheveux abondants couplés aux yeux typiques des gris. Nous avons pourtant découvert un document illustré à cet effet.

CONCLUSION

Le cas de Jean-Luc est intéressant à plusieurs points de vue. Miraculeusement guéri de la leucémie en bas âge, sujet à de multiples expériences étranges, il démontre un intérêt très évident envers la question extraterrestre. Il est difficile à ce stade-ci de se faire une opinion ferme, mais le témoignage de la mère est formel : une lumière très puissante s’est glissée sous sa porte cette nuit-là et Jean-Luc n’avait rien à sa disposition pour produire une telle clarté. Il est donc possible que nous soyons en face d’un cas unique ou d’un cas mixte d’abduction et d’importations de fausses mémoires. Dans ce domaine, l’esprit humain est parfois sensible et le chercheur doit malgré tout demeurer très ouvert. Il est possible également que Jean-Luc ait été victime d’une falsification de données, imposée par ses visiteurs. Plusieurs chercheurs ont élaboré cette théorie que des images ou concepts faux ou exagérés sont induits dans la mémoire de l’expérienceur.



Catégories :Ufologie profonde

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8 réponses

  1. Très intéressant ! Merci beaucoup !

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  2. Vraiment intéressant!

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  3. Oh la la ! C’est toute une histoire… Ces ET sont des explorateurs. Mais, qu’est-ce qu’ils recherchent?

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  4. J’ai déjà fait une méditation profonde pour remonter dans mes vies antérieurs et revecue un moment très très lointain où la race humaine n’était pas du tout comme aujourd’hui . Beaucoup plus sage et évoluée. La fin texte me rappel ce voyage

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  5. Salut Jean,

    Pour moi, cette histoire n’est pas terminé. Les écritures laisser ont t ils été vérifier pour connaître et analysée les caractères? Aussi, vue qu’ils demeure en condo, personne d autre a l extérieur ont vue les lumières?. Cette expérience est très intéressante.
    Merci de partager

    Nicole Major

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  6. Ces écritures ont été retrouvées ailleurs, par d’autres témoins. Impossible de les déchiffrer toutefois.

    J’aime

  7. Merci c’est très intéressant cette histoire beaucoup de questions sans réponses les écrits, les symboles très spécial serait intéressant de savoir se qu’il représente

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  8. Cest super intéressant ce témoignage, merci M. Casault !

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