L’Affaire Lakenheath : L’un, sinon LE dossier OVNI vs Radar le plus important jamais survenu.

L’astronome Allan Hynek et de nombreux autres chercheurs ont toujours considéré le dossier Lakenheath comme l’un des plus probants. Il a fait l’objet d’une enquête par les officiers de l’Armée de l’Air américaine membres du projet Bluebook et revu par la suite par les enquêteurs de la Commission Condon. Il est déclaré inexplicable et probablement d’origine inconnue. Il s’agit de l’une des plus importantes démonstrations de la présence d’un appareil étranger, évoluant impunément dans l’espace aérien d’un territoire protégé par les forces de deux puissances militaires importantes : les États-Unis et la Grande-Bretagne. Puisque la source des informations provient d’organismes officiels et peu enclins à reconnaître le comportement intelligent des ovnis, ce dossier revêt donc une importance capitale voire une quasi-preuve déguisée sous l’appellation inexpliquée. L’année de l’observation nous plonge dans le passé, mais ne vous laissez pas berner, l’événement est de taille. Nous sommes à la base militaire de Bentwaters près de Cambridge en Angleterre. Dans la soirée du 13 août 1956 à 21h30, un écho radar non identifié, un erni, est repéré sur le radar GCA de Bentwaters.

Le radar, dont le nom dérive de Radio Detection And Ranging est en réalité un appareil qui émet de 300 à 400 impulsions électriques de plusieurs centaines de kW par seconde sur des fréquences de 3000 à 4000 MHz. Ces impulsions se perdent dans le ciel ou alors sont réfléchies et retournées au sol lorsqu’elles frappent un objet, soit un avion. Cela permet de déterminer l’altitude et la distance en calculant l’écart de temps entre l’émission et la réception de l’impulsion. En gros, si vous lancez une balle de baseball qui file à 80 kilomètres à l’heure à votre copain et quand il la retourne aussitôt en votre direction à la même vitesse, vous n’aurez qu’à calculer le temps entre votre lancer et le retour de la balle pour déterminer si votre ami est à 10, 20 ou 30 mètres de votre position. Lorsque le faisceau sur l’écran du contrôleur poursuit son balayage, la nouvelle position de l’objet permet de déterminer sa vitesse. Si par hasard un oiseau assez large avait retourné le faisceau, c’est la vitesse qui le déterminerait. Donc le radar permet de savoir à quelle distance se trouve un avion, à quelle vitesse et dans quelle direction il se déplace.

Un radar GCA, Ground Control Approach, utilise deux systèmes : un SRE qui signifie Surveillance Sadar Equipment et un PAR qui signifie Precision Approach Radar. Le GCA est donc utilisé pour guider l’avion au sol sur la piste indiquée par le contrôleur. Les radars civils ne sont équipés que pour détecter les avions dotés d’un transpondeur alors que les radars militaires peuvent repérer tout ce qui se trouve dans leur zone d’opération.[1]

Revenons donc à notre erni, lequel, vous le noterez, n’est toujours pas un ovni. Il est repéré par le contrôleur américain de l’USAF 2e classe, John Vaccare, opérant sur la base de la Royal Air Force Bentwaters, à l’est-sud-est de la base à une distance en termes de milles (1956) de 25 à 30. L’erni se déplace et Vaccare est en mesure de déterminer qu’il maintient un cap de 295 degrés. Le contact est alors perdu alors que l’erni se trouve à 15 ou 20 milles à l’ouest-nord-ouest de la base. Trois estimations de la vitesse de l’erni sont alors établies et vont de 4000 à 10,800 milles à l’heure. Cette dernière pointe de vitesse vient de l’estimation de la vitesse de l’erni sur une distance de 6 milles, couverte en deux secondes, selon le balayage sur l’écran. Voilà donc un objet qui file à des vitesses impossibles à atteindre en 1956, par les avions les plus rapides de l’époque, incluant le X-15 de ces années-là, dont la vitesse maximale atteinte est de 4000 milles à l’heure, mais à des altitudes considérables et entièrement hors de la portée des radars de ces bases. Alors qu’est-ce que ce machin se disent-ils ! C’est alors que les choses deviennent plus compliquées.

À 21h35, soit quelques minutes après l’observation au radar de l’évolution de l’erni, voilà qu’apparaissent sur le même écran de Vacarre, un groupe de 12 ernis. Un, ça va, douze c’est trop ! Vacarre alerte son sergent, un certain L.W. Henry. Ceux-là sont plus près, à environ 8 milles au sud-ouest de Bentwaters. Ils suivent la procédure et une vérification technique est alors effectuée pour s’assurer que les appareils radars fonctionnent normalement. Ce qui est le cas. Ce point est important sur deux aspects. Il signifie que l’observation du groupe d’ernis est suffisamment alarmante pour que la décision de vérifier l’équipement s’impose et signifie qu’après vérification, l’observation n’est pas la résultante d’un mauvais fonctionnement de l’équipement.

La formation de douze ernis se dirige vers le nord-est, mais à des vitesses beaucoup plus lentes estimées entre 80 et 125 milles à l’heure sur une distance de 6 milles, trop lentes pour un avion de chasse. Les échos diminuent de taille à 14 milles de la base, toujours au nord-est quand subitement, ils ne forment plus qu’un seul erni maintenant situé à 40 milles au nord-est. Il est de grande taille et suggère un énorme avion encore plus imposant que le B-36. Qui plus est, voilà qu’il demeure stationnaire pendant 12 minutes pour ensuite se déplacer au nord-est sur 5 milles, s’arrêter à nouveau pendant 4 minutes et sortir du champ du radar à 50 milles de la base. Il est alors 21h55. Évidemment, personne ne répond aux demandes d’identification et aucune technologie de guerre capable de faire ces manœuvres n’existe. Nous sommes en 1956, en pleine guerre froide avec les Soviétiques et sur un théâtre d’opérations considéré par les experts de l’époque, comme le prochain point chaud du globe advenant un troisième conflit mondial, soit l’Allemagne de l’Est. On ne badine pas ici.

Les vitesses ont varié et cette fois on atteint un maximum de 700 milles à l’heure pour le groupe d’ernis. Ce curieux ballet dure depuis une demi-heure maintenant. Il est 22h00. C’est alors qu’un autre écho radar, non identifié, est repéré à 30 milles à l’est de Bentwaters. Il sera suivi jusqu’à ce qu’il atteigne une position située à 25 milles à l’ouest. Vitesse maximale : 12,000 milles à l’heure. Puis à 22h55, voilà qu’un autre erni est détecté sur un parcours est-ouest, donc le même que celui de 22h00. Sa vitesse varie entre 2000 et 4000 milles à l’heure. Aussitôt, un opérateur de la Tour de contrôle signale l’observation visuelle d’un objet lumineux au-dessus du terrain et filant à grande vitesse, d’est en ouest à environ 4000 pieds d’altitude. Simultanément, un pilote de C-47, volant au-dessus de la base de Bentwaters, signale le passage d’une lumière brillante, excessivement rapide, lui aussi d’est en ouest.

Donc à ce moment, un opérateur avec son écran radar, un observateur avec ses yeux au sol et un pilote en vol signalent un objet solide filant à vitesse surréaliste et excessive d’est en ouest. Plus aucune hésitation maintenant. On appelle la Base de Lakenheath. Le surveillant de Lakenheath, bien que méfiant sur ce rapport, demande immédiatement à tout son personnel de vérifier les écrans radars en employant le MTI (indicateur mobile de cible), ce qui élimine entièrement tous les faux échos provenant du sol.

Quelques instants plus tard, les deux stations radars, celle de Bentwaters et celle de Lakenheath rapportent la même observation, soit un objet stationnaire à 20 milles au sud-ouest de Lakenheath. L’erni se déplace soudainement vers le nord à plus de 350 milles à l’heure, mais quelque chose ne va pas. L’erni est passé de sa position stable à cette vitesse, instantanément, et s’est arrêté pile, de nouveau, sans aucun ralentissement progressif. De plus, son parcours est chaotique avec de nombreux virages brusques, sans aucune forme de ralentissement, une manœuvre excluant tout type d’avion connu et plus encore un météore quelconque. C’est décidé ! Un appareil Venom, un avion de chasse pouvant atteindre 600 milles à l’heure, est envoyé depuis la base de Waterbeach. Aussitôt, tel que l’indique clairement le rapport Bluebook, le pilote signale un visuel sur une lumière blanche et annonce son intention d’investiguer. Il verrouille la cible avec succès ce qui prouve, hors de tout doute, qu’il s’agit d’un objet solide. Le pilote dira plus tard : « C’est la cible la plus nette que je n’ai jamais vue sur mon radar ». À 12 milles à l’ouest, il rapporte la perte de la cible. L’erni devient alors officiellement un objet volant non identifié et non plus un simple écho radar.

L’opérateur radar de Lakenheath signale cependant que l’ovni s’est en fait déplacé pour déclencher une poursuite de l’avion de chasse en se positionnant derrière lui. Le pilote s’en rend compte et annonce une manœuvre pour se positionner de nouveau comme chasseur et non l’inverse. Il échoue et demande de l’assistance. Un second Venom se lance sur le théâtre de l’opération, mais un problème technique l’oblige à se poser. Ils auront toutefois cette discussion, telle que captée par Lakenheath et rapportée au Capitaine Edward L. Holt de l’USAF, le 31 août 1956, dans le cadre de son enquête officielle pour le projet Bluebook.

Le pilote du second Venom : « As-tu vu quelque chose ? »

Le pilote, Lt. John. Brady du chasseur engagé dans la poursuite : « J’ai vu quelque chose, mais que je sois damné si je sais ce que c’était. »

Pilote du second Venom : « Qu’est-ce qui s’est passé ? »

Brady : « Il est passé derrière moi et j’ai fait tout ce que je pouvais pour passer derrière et je n’y suis pas arrivé. C’est la chose la plus dingue que je n’ai jamais vue. »

Un autre témoin, le contrôleur en chef, H.F.C. Wimbledon, a été interrogé par les enquêteurs officiels et ses propos font partie du cortège de preuves non existantes du Bluebook. La mission de ce contrôleur était de surveiller l’image des radars et de dépêcher des chasseurs vers tout objet considéré comme une menace dans l’espace aérien couvert par ses opérations. Il raconte avoir reçu un appel de la Base de Lakenheath concernant un objet lumineux visible à l’œil nu au-dessus de leur base. C’est lui qui a dépêché le premier Venom.

Un tel geste suppose une alerte et nécessite une équipe au sol. Le contrôleur en chef était donc assisté par un second contrôleur, dit de combat, soit un officier, un caporal, un traqueur et un lecteur d’altitude. Wimbledon confirme également avoir pris connaissance du contact radar du pilote du Venom et du verrouillage de ses armes sur l’objet en utilisant le nom de code Judy.

Ce personnel est grandement qualifié et l’ovni fut rapidement détecté. Wimbledon confirme également la manœuvre de l’objet pour passer derrière le chasseur et la perte de contact aussitôt signalée par le pilote ainsi que sa demande d’aide. Il confirme l’envoi d’un second Venom et, finalement, la perte de contact radar avec l’ovni. Au total, neuf militaires impliqués dans cette chasse seront par la suite interrogés par des représentants de la Défense britannique.

Il reste maintenant à déterminer les causes alternatives à l’ovni classique. De l’aveu même des enquêteurs du Bluebook et de la Commission Condon, c’est le cas le plus embarrassant des dossiers ovni VS radar qui existe. L’utilisation du MTI exigé par le contrôleur de Lakenheath élimine les anges ou faux échos radars. Il a été établi que les ernis détectés plus tôt dans la soirée pourraient être les mêmes, mais cet aspect du phénomène ne sera jamais résolu. L’étrangeté des premiers ernis, soit leur vitesse, le regroupement du groupe d’ernis en un seul, leurs manœuvres impossibles, sont placées en corrélation avec l’ovni chassé par le Venom, mais pas davantage puisque malgré les apparences troublantes, rien ne prouve qu’un lien existe entre les premiers ernis et le dernier ovni chassé par le pilote du Venom et devenu lui-même poursuivi par l’objet. Toutefois, il est clair que l’ovni qui était devant le chasseur est le même que celui qui est passé derrière pour le poursuivre et finalement disparaître en sortant du champ de localisation des radars. Une manœuvre qui exclut totalement un avion-espion puisqu’il a été identifié visuellement par le pilote comme un objet lumineux et non un avion de chasse qu’il aurait immédiatement reconnu puisqu’ils étaient à moins de 500 pieds l’un de l’autre et à la même altitude. Les météorites sont exclues évidemment. Elles pourraient peut-être expliquer certaines observations au début, mais si le principe de corrélation ne suffit pas à relier les deux manifestations, il en va de même pour l’explication des météores qui de toute manière ne peut aucunement expliquer la nature de l’ovni chasseur.

Quel objet peut passer d’une position fixe dans le ciel à une grande vitesse, effectuer sans ralentir des manœuvres brusques et s’immobiliser brusquement ? Aucun objet fabriqué de main d’homme ou naturel, même de nos jours. Dans leurs propres mots, les officiers impliqués ont déclaré : « Il n’y avait aucun habillage à cette vitesse – elle était constante de la seconde où elle a commencé à se déplacer, jusqu’à ce qu’elle se soit arrêtée. »

Revenons au moment où le pilote Brady dit avoir verrouillé la cible. Il s’est produit une pause après qu’il eut verrouillé la cible avec ses armes, et c’est alors qu’il a demandé où était passé l’ovni. L’opérateur de Lakenheath l’a informé que l’ovni avait manœuvré de façon très rapide et qu’il s’était positionné derrière lui. Le pilote a alors confirmé que l’ovni était derrière lui et dit qu’il essayerait de le secouer (to shake it) un terme utilisé par les pilotes pour exprimer une manœuvre visant à se défaire d’un chasseur menaçant derrière eux. Le pilote du Venom a tenté de nombreuses manœuvres évasives, mais il ne parvenait pas à secouer l’ovni. Rappelons-nous – ce point est extrêmement important – que le radar de Lakenheath a dépisté sans interruption l’ovni derrière l’avion, soit deux échos distincts avec une distance entre les deux de pas plus de 150 mètres. Après cet événement, l’ovni n’est pas disparu du radar de Lakenheath. Il aurait effectué d’autres manœuvres pour finalement sortir du champ radar. Il devait être 3h30 du matin.

Dans son analyse, la Commission Condon écrit : « En conclusion, bien que des explications conventionnelles ou normales ne puissent certainement pas être éliminées, la probabilité de telles explications semble faible dans ce cas-ci et la probabilité qu’au moins un OVNI véritable fût impliqué semble être assez haute. »

Il n’y a pas d’explications conventionnelles, alors c’est quoi dans ce cas un ovni véritable aux yeux de la Commission Condon ? Un objet volant non identifié, vraiment non identifié et de toute évidence non identifiable ? C’est pourtant bien ce qu’était cet ovni non ? Il en faut combien d’ovnis véritables pour constituer un dossier majeur ?

Dans le chapitre 5 du rapport Condon sur les analyses optiques et radars de cas sur le terrain, on peut lire : « En résumé, ceci est le plus embarrassant et le moins commun des cas dans les dossiers radar-visuels. Le comportement apparemment raisonnable et intelligent de l’OVNI suggère un dispositif mécanique d’origine inconnue comme explication la plus probable de cette observation. Cependant, en raison de la faillibilité inévitable des témoins, des explications plus conventionnelles de ce rapport ne peuvent pas être entièrement éliminées. »

Pardon ? À quoi, la faillibilité des témoins fait-elle allusion ? À l’incapacité du pilote à identifier l’objet qui se moque de lui et dont on confirme la présence par radar et qu’il a vu de ses yeux vu ? Météores, faux échos ont été éliminés, aucun appareil même de nos jours ne peut exécuter ce genre de manœuvres, aucun phénomène naturel non plus, alors quelles sont ces explications conventionnelles ? Certains dénigreurs ont prétendu que le MTI, chargé d’éliminer les faux échos, devait mal fonctionner. Devait ? Cette éventualité n’a jamais été soulevée par aucun opérateur radar et les spécialistes des bases militaires impliquées ont vérifié et contre-vérifié leurs appareils. Le MTI était en parfait ordre de marche. De toute manière, si l’ovni chasseur du Venom était un faux écho sur le radar de l’un, qu’était cette matière solide et lumineuse sur le sien et sur laquelle le pilote a verrouillé ses armes ? Certes pas un mirage visuel puisque les verrouillages d’armes sur un avion-chasseur, même en 1956, ne fonctionnent sur ce type d’équipement que lorsqu’un objet solide est détecté. Un écho du sol, une étoile, un nuage, une illusion ou une hallucination n’ont aucun effet sur ces appareils.

Ce dossier démontre que cette fois des ovnis furent bel et bien captés sur différents types de radars en plus d’être observés visuellement. Les conclusions de l’enquête ont été une véritable risée de l’avis de plusieurs, dont le professeur James McDonald[2]. Et pour ceux qui seraient tentés de miser sur l’année de l’observation en corrélation avec l’utilisation du radar, sachez que les radars modernes opèrent toujours sur le même principe que les anciens. Certains prétendent qu’une mauvaise explication, même saugrenue vaut mieux que celle d’un appareil provenant d’un autre monde. Pas moi. Une mauvaise explication qui ne colle pas est une mauvaise explication qui ne colle pas, ne me prenez pas pour un journaliste qui couvre la COVID ! On ne peut l’adopter sous prétexte de ne pas avoir à envisager ce qui paraît impossible, ce que recommande la philosophie inadaptée du Rasoir d’Occam !

Évidemment, il faut alors se rabattre sur un minimum de sens entouré d’un maximum de crédibilité, en d’autres termes, sans se tromper, on peut décrire l’ovni de Lakenheath comme étant un objet solide (capté par les radars et le système de verrouillage du Venom) lumineux (tel que décrit par le pilote en visuel) se déplaçant d’abord comme un objet chassé (le Venom se dirige vers lui) puis comme un objet qui refuse d’être chassé et se place derrière son chasseur. Voilà un comportement que l’on peut qualifier d’intelligent. Cet objet démontre qu’il peut aller où il veut, quand il veut et à la vitesse qui lui convient, et en plus, d’inverser le rôle du chasseur chassé. On a presque envie de dire que ça devait rigoler dans l’ovni ! Mais qu’importe, cet objet a adopté et modifié son comportement en fonction des événements, et seuls les objets contrôlés par un être intelligent ont un comportement de ce type.

Il faut une réponse

Alors qu’était cet objet dont personne ne peut raisonnablement nier l’existence ? Qu’était cet objet ? D’où venait-il ? Pourquoi était-il là ? Qui ou quoi contrôlait ses déplacements ? Le phénomène ovni n’est pas inexistant, il est inexpliqué. Le phénomène n’est pas expliqué donc il faudrait qu’il soit inexistant ? Il n’en est pas question !

C’était quoi cet objet solide, lumineux, capté par plusieurs radars et capable de jouer au chat et à la souris avec un pilote de chasseur en mission ? C’était quoi ? Il existait, personne ne le nie, même les plus critiques, alors ? C’était quoi ?

D’ailleurs, comment expliquez-vous un aspect très mystérieux qui n’a jamais été abordé par les autorités officielles ? En 1956, nous le répétons, en pleine guerre froide avec les Soviétiques, un objet en contrôle de ses manœuvres, ne faisant pas partie de l’arsenal de l’air d’aucun pays connu, se moque impunément du système de défense le plus élaboré de l’époque. Une bande d’officiers plus ou moins motivés appartenant au club sélect des chasseurs de soucoupes du Projet Bluebook fait l’enquête et hausse les épaules, n’ayant trouvé aucune explication ? Tout s’arrête là et on passe autre chose ? Ce n’est qu’un petit incident ? Une anecdote ?

Pourquoi une enquête de très haut niveau n’a-t-elle pas été activée, alors que de toute évidence, il aurait pu s’agir d’une nouvelle arme soviétique ? Personne ne s’est posé cette question ?

Un objet capable de se jouer de cette manière des meilleurs pilotes de chasse semble appuyer cette éventualité. Mais au lieu d’être la source de très sérieux maux de tête et déclencher une véritable enquête monstre on se butte à… À moins que…

…À moins qu’à Washington et Londres, on savait déjà très bien de quoi il s’agissait et que l’Union soviétique n’avait rien à voir dans cette histoire ! À moins qu’en 1956, les hautes autorités américano-britanniques savaient très bien qu’une fois de plus des visiteurs d’un autre monde étaient venus se moquer d’eux !

Si cet article vous a intéressé vous serez également un auditeur très attentif à l’entrevue que j’ai réalisée pour le FM 93 avec un ancien opérateur-radar et qui se trouve sous l’onglet Podcast sous le titre Révélation d’un ex-militaire – Entrevue au FM 93,3


[1] Voilà pourquoi en cas d’observation d’un ovni, il est inutile de communiquer avec les opérateurs radars d’un aéroport commercial.

[2] James E. McDonald (1920-1971) est un ufologue qui a critiqué les conclusions du projet BlueBook. Il était physicien senior à l’Institute for Atmospheric Physics et professeur à l’université d’Arizona. Il s’est malheureusement suicidé en 1971.

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Il était une fois des humains… et des extraterrestres

Depuis l’anneau d’ambre lumineux, cette mystérieuse initiation survenue chez moi en décembre 1966, je révèle sans aucune retenue les arcanes de l’ufologie et de la métaphysique au grand public. Après 50 ans, je présente enfin ce que réclament tous mes lecteurs depuis longtemps : l’histoire commune des terriens et des extraterrestres.

Je tire mes sources de mes propres expériences, de mes travaux auprès d’autres expérienceurs privilégiés et de gens dotés de capacités métaphysiques. Il était une fois des humains et des extraterrestres. Nous nous sommes connus il y a près d’un million d’années, nous avons grandi, prospéré ensemble, puis, un jour tout a changé. C’est une relation complexe dont voici tous les tenants et aboutissants, les où, les quand, les comment et surtout les pourquoi! Retenez bien ceci : tout a déjà été dit, il n’y a jamais eu de secretsque de l’ignorance et surtout de l’indifférence.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



Catégories :Ufologie profonde

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5 réponses

  1. Fascinant cette histoire et bien entendu ils se sont montrés parce qu’ils le voulaient bien, mais pour quelle raison?

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  2. Préparer le terrain !

    Aimé par 1 personne

  3. Wowww ! Très intéressant ce moment inexpliqué.
    Selon moi, le pourquoi ils ne sortent pas l’arsenal du pourquoi et du comment c’est qu’ils savaient sûrement qqchose. On nous a toujours laissé dans l’ignorance pour nous faire passer pour des imbéciles simplement parce qu’ils ne peuvent pas identifier l’objet en question. Merci beaucoup pour cette histoire, ça me passionne énormément!

    Aimé par 1 personne

  4. Très intéressant je crois que ça fait un bout de temps qu’on vient nous visiter comme ça et je suis presque sûr que les autorités de haut gradé savent ont en voit de plus en plus et d’autres témoignage ont nous préparés à voir leur présence car ont les vera bientôt

    Aimé par 1 personne

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