Et si on faisait un peu d’exopolitique avec Anton !

Vous devez bien vous douter que notre planète n’est pas plantée là au beau milieu de la Voie lactée comme une imbécile à tourner dans le vide. Elle appartient à un système, un regroupement de mondes, mais comme c’est une sorte de réserve naturelle, de camp de travail, de garderie, de planète expérimentale, nous qui l’habitons, n’avons aucun droit de regard et ne détenons aucune espèce d’autorité sur quiconque. Nous sommes une planète délinquante ! Déjà que nous la maltraitons jour après jour, nous sommes de bien piètres locataires, irresponsables, et à deux pas de l’évincement. Nous sommes une planète primitive et barbare, réputée comme telle et sans plus, surtout ces temps-ci. Nous sommes sans aucun doute la risée de la Galaxie, bien que rien ne soit drôle, mais bon, nous sommes encore très jeunes, à peine 300,000 ans d’évolution alors c’est normal, cela équivaut à 9 à 12 ans d’âge mental d’un enfant très mal élevé. Ou pire. On ne demande pas à des hominidés à peine sortis de leurs singeries d’inspirer des millions de mondes. Mais ce n’est pas entièrement de notre faute. Nous avons été sévèrement modifiés.

Cela signifie que nous sommes placés sous le contrôle de puissantes factions qui possiblement ne s’entendent pas entre elles. Dans le passé assurément, mais possiblement encore, l’Ordre et le Chaos étant des constantes universelles. J’ai eu mes expériences, mes contacts très rapprochés, et je dois vous dire que je me sens très proche de quelqu’un d’autre en ce sens. Anton Parks.

Anton Parks

Son parcours initiatique ressemble trop au mien pour que je le boude. Je ne me porte pas garant, et personne ne peut le faire, mais j’ai à son égard une excellente résonance. Mais d’abord, dressons la table.

L’homme a été modifié à de multiples reprises

Dans tous mes ouvrages porteurs du ballon ufologique, et ce depuis Manifeste pour l’Avenir publié en 1972, j’appuie sans condition la thèse que nous avons été modifiés dès notre émergence, sans doute à l’époque de l’homo erectus. On nous a retiré, par modification génétique majeure et transgénérationnelle, certaines facultés innées de transiger aisément avec l’Invisible. On nous a même retiré des centaines d’années de vie, nous laissant misérables et vulnérables dans la fange, et ce depuis de nombreux millénaires. Pour ces raisons, nous ne sommes pas l’humain que nous devrions être. Nous ne sommes pas même adéquatement conçus pour vivre sur cette planète. Notre corps, nos organes, ne sont pas indigènes de ce monde sans quoi nous ne serions pas là à souffrir de mille et un maux.

Le chercheur et journaliste d’investigation français Alain Gossens, qu’on retrouvait fréquemment sur le site Karmapolis avant son décès pas très net en 2010, a réalisé une superbe entrevue avec Anton Parks en 2005. Il nous dit :

Anton Parks, auteur autodidacte de nationalité française, a écrit, avec le Secret des Étoiles Sombres, le premier tome d’une trilogie surprenante parce qu’inclassable : récit épique, mythologique, saga mélangeant science-fiction et héroïc fantasy ou livre « historique » dans la mesure où il nous dévoile notre histoire la plus occulte et la plus mystérieuse ; que se passait-il sur terre avant la venue de l’homme ? Qu’est-ce qui a précédé et provoqué l’avènement des civilisations humaines.[1]

Parks est-il un channeler ?

En réponse à cette question, Parks répond d’une manière qui me trouble. J’ai l’impression de m’entendre, d’où cette formidable et puissante résonance que j’éprouve à son égard :

Tout a commencé en 1981, j’avais alors 14 ans, j’ai reçu mes premiers « flashs ». Je dirai que cela s’est toujours manifesté de façon spontanée à n’importe quelle heure de la journée. Je n’ai jamais eu de contrôle sur ce phénomène. Je ne le considère donc pas comme du channeling, puisque, sauf erreur de ma part, un channel décide de recevoir, il détermine même le moment où il va se détendre pour entrer en contact. Ceci n’a jamais été le cas pour moi. Je conçois qu’il ne soit pas très évident de se fier aveuglément au channeling, j’ai moi-même du mal avec cette pratique, car il y a autant de gens extraordinaires que de charlatans avérés dans ce milieu. Il existe aussi des personnes sincères qui, parfois, interprètent mal ce qu’elles reçoivent.

Changez 14 ans pour 16 ans et c’est aussi ma réponse. Identique. Dans les catégories de médiums selon Kardec, lui et moi sommes des médiums inspirés. Anton Parks explique longuement comment il reçoit de véritables flashs comme des photos ou même des vidéos.

Qui sont les responsables de notre situation ?

Gossens va d’abord faire la démonstration que tout ce qui touche la question des Annunakis est complexe et provient de sources très variées, mais qu’elles ont un point en commun :

Il semble acquis que les « dieux » qui auraient jeté les bases de colonies civilisatrices sur terre, il y a de nombreux millénaires, étaient de type « reptilien ».

Nous savons tous maintenant que dans l’ancienne Sumer, il existe des dieux colonisateurs bienveillants et considérés comme protecteurs du genre humain comme Enki ou dictatoriaux et cruels comme Enlil. Gossens rapporte, comme je l’ai fait aussi, de l’importance des dragons et autres reptiles qui s’est étendue jusqu’au Moyen-âge dans tous les pays du monde sans exception. Gossens prétend que Anton Parks va au-delà des travauxempiriques de Sitchin et R.A. Boulay[2] en nous montrant que cet arrière fond « reptilien » est encore plus vaste et plus présent qu’on le croyait.

Anton Parks se pose la question s’il ne serait pas une entité sumérienne réincarnée du nom de Sa’am.[3]

Toujours est-il qu’à chaque fois que j’ai reçu ces « flashs », je me trouvais à l’intérieur de son corps ! J’ai cette histoire à raconter. Il s’agit de la transcription d’une partie des annales qui proviennent du cristal dont Sa’am était le propriétaire. Ai-je été en contact direct avec le contenu du cristal ? Sa’am ayant été en rapport fréquent avec ce cristal (Gírkù) et la plus grande partie de ses chroniques y ayant été consignées par ses soins, que dois-je en conclure ? Je me suis posé beaucoup de questions à l’époque et ça a bien failli me rendre dingue. Mon ego serait tenté d’affirmer, « OUI ! J’ai été cette entité » et mon côté modéré dirait plus simplement que j’ai été en contact avec des entités qui possèdent le cristal, bien que ces deux probabilités ne soient pas incompatibles.

Anton Parks hésite et manifeste de la pudeur à parler de ces incarnations précédentes, conscient que près de 75% de la population vont le juger sur le banc. Par contre, ce que je sais, c’est qu’il y a de fortes chances que la grande majorité des gens qui ont cet article sous les yeux et qui ressentent une forte émotion soient de cette même lignée, tout comme ces expérienceurs avec qui j’ai travaillé qui partagent avec moi leurs secrets comme si nous nous connaissions depuis toujours. Parks poursuit sa réponse :

Bref, peu importe de savoir si j’ai été ou pas ce personnage aux mains palmées dont le premier nom était Sa’am. Tout ceci a suffisamment bouleversé ma vie pour en conclure que ce n’est pas un « hasard ». Je suis manifestement porteur d’un message. Je le fais à la fois pour les lecteurs qui le liront et bien sûr pour moi, car cela me libère d’un poids incommensurable.

Oui, je sais très bien ce qu’il ressent, je ne pourrais pas vivre normalement si je devais garder tout cela pour moi, je suffoquerais. Ma vie entière fut un bouleversement total suite à l’Anneau d’Ambre.

J’ai vraisemblablement choisi de recevoir ces informations et ensuite de les transmettre à qui voudra bien les entendre. Sans vouloir influencer qui que ce soit, j’ai la conviction au plus profond de mon être que toute cette histoire est véridique. J’ai ma conscience pour moi et je sais ce qu’il en coûte de mystifier son prochain, car il n’y a pas pire juge que soi-même en-haut ! L’histoire rédigée dans cette série de trois volumes est la stricte transcription de ce que j’ai reçu pendant 10 longues années.

J’ai un profond respect pour ce qu’il vient de dire. J’ai presque envie de signer mon nom.

J’ai examiné les travaux de traduction de Samuel Kramer, Jean Bottéro, Marie-Joseph Seux, Thorkild Jacobsen, René Labat ou encore André Caquot… J’ai tout de suite remarqué que les transcriptions étaient souvent différentes les unes des autres. Cependant, le sujet central restant le même, mes proches et moi n’avons pu que constater la surprenante similitude entre mes « flashs » et l’histoire fondamentale produite sur ces tablettes d’argiles vieilles pour certaines de plus de 5 à 6 000 ans !

Anton Parks a fait un récit, une sorte de Genèse alternative extrêmement détaillée appelée la Chronique de Girku[4] qui pourrait très bien se comparer à de nombreux autres récits inspirés dont celui de Roseline Pallascio,[5] mais aussi à Oashpe, Urantia, les écrits de Nidle, de Lyssa Royal, de Marciniak de Loliad R-Khan[6] et même les textes Védiques. Alors que valent les visions d’Anton Parks ? Pour clore le débat, il n’y a donc plus que votre propre résonance à vous lecteur pour créer l’équilibre.

Tous d’accord : Ils ont modifié nos gènes

Ce que je retiens pour le moment est que les Annunakis étaient de nature reptilienne et je n’ai aucun problème avec cela. Ici aussi Parks soutient la thèse que ces dieux, qui n’en sont pas, ont modifié, voire trafiqué les gènes de l’humain de l’époque pour fabriquer une race d’esclaves.

…L’idée d’un être esclave totalement soumis aux « dieux » est renforcé dans l’équivalence du terme Á-DAM en akkadien qui est Nammaššû et qui se traduit phonétiquement en sumérien en nam-maš-šû, soit littéralement : « la demi-portion à charge » … Je pense que l’on ne peut être plus précis !

Gossens lui demande :

Zecharia Sitchin a présenté les « Anunnakis » comme une seule race, un groupe monolithique composé de plusieurs clans d’une même famille qui s’opposent, Enki s’opposant à Enlil, etc. Or, lorsqu’on lit votre livre, on s’aperçoit que l’histoire est bien plus complexe et que ces entités qui seraient venues sur terre, ou qui s’y seraient intéressée, représenteraient plusieurs races dissemblables dont certaines proviendraient même d’autres dimensions : il y a la race reptilienne, en général représentée par le terme Gina’abul, race comprenant les Sutum, les Amasutum, les Kingu, les Musgir, etc.

Oui je sais, sans vouloir manquer de respect à l’auteur, moi aussi j’ai l’impression en lisant cela de me retrouver en plein épisode de Stargate à la télévision avec les Goa’ul. Mais savez-vous où Carter a trouvé son inspiration pour X Files ? Dans les témoignages bien réels.

Pourriez-vous détailler ces clans, ces différentes races et nous expliquer brièvement si ces créatures ont des caractéristiques physiques différentes des nôtres et d’où elles viennent. Quel est le statut précis des Anunnakis ? Pourquoi les tablettes sumériennes évoquent particulièrement ces entités et d’où vient ce nom, les Anunnakis ?

Certains Reptiliens étaient ailés ce qui vous le comprendrez, nous ramène à l’homme-phalène. Parks traite alors de Pazuzu. C’est très important, ce personnage étant un démon mésopotamien.

Illustration de Pazuzu

Tous les démons et les diables évoqués dans la littérature religieuse ont comme modèle le type Reptilien. Même la genèse en fait un serpent. Chez les Assyriens, c’est le démon Pazuzu que vous reconnaîtrez si vous êtes familier avec le film l’Exorciste. Parks mentionne l’existence des Gris. Mais tout ce beau monde traite l’humain comme du bétail, qu’ils soient d’un camp ou de l’autre, et ils sont en conflit constant entre eux, entre castes, entre ethnies, voire entre tribus. Bref, une situation guère différente de ce que nous vivons présentement et de toute manière, d’où viennent nos propres ethnies si différentes ? Du climat peut-être ? Le climat explique les géants scandinaves versus les pygmées africains ?

À l’opposé des démons, il donne aux anges le nom de Kadistus. Parks fait alors un séjour prolongé avec nous dans un monde très complexe. On y retrouve des prêtresses, de l’érotisme, la notion du bien et du mal, le caducée, la tentation d’Ève, la maîtrise des chakkras, mais surtout un combat idéologique très élevé, mais cette fois entre les Mâles et les Femelles. Il écrit :

Les Kadištu sont les émissaires de la Source Originelle (« Dieu ») dont nous sommes tous issus. Aux yeux des Mésopotamiens, la Qadištu était une prostituée sacrée. J’insiste suffisamment sur le rôle du sexe et sa relation avec le divin dans le premier ouvrage, je ne reviendrai donc pas dessus. Il me faut, par contre, rappeler que chez les Gina’abul, les femelles (les prêtresses Amašutum) sont des émissaires de la Source et font partie des Kadištu. Il n’est donc pas étonnant de retrouver ces prêtresses avec des définitions comme « l’image du mal » …

Qu’il s’agisse des prêtresses élevées Qadištu des traditions akkadiennes ou des Kadištu (les planificateurs), tous possèdent le secret des chakras symbolisés par le caducée. Une bonne maîtrise de l’ensemble des chakras permet l’élévation de la conscience que ne souhaitent justement pas les Gina’abul mâles qui manipulent ce monde en coulisses depuis des millénaires !

Ne faisons pas d’angélisme,[7] l’absence de conflits dans l’ensemble d’un univers est littéralement impossible et impensable, c’est vouloir faire de « Dieu » un bon grand-papa très barbu qui pleure sur son trône parce que le petit Robert se masturbe sous les couvertures ! Me semble entendre un chœur d’Esprits chanter Grow up kiddo. Pour l’Église, l’ennemi juré du salut de l’homme et de la femme n’était rien d’autre que le sexe. Pas la violence, la jalousie, l’égocentrisme, mais… le désir sexuel. C’est quand même effarant et cette contamination a encore des effets surtout aux États-Unis où le conservatisme chrétien fait d’un sein nu à la télévision une horreur pis encore qu’une tête arrachée par un projectile de 44 magnum ! Ça c’est bien !

Donc, il y a à la base de tous ces récits, qu’importe leur source, un conflit entre factions et l’une d’elles, selon Parks, à tout le moins les Mâles Reptiliens ne veut pas que l’humain grandisse, évolue et devienne à leur image, un concept très biblique aussi au niveau du célèbre terme Élohim. J’ai longuement traité de cela dans mon livre, Il était une fois des humains et des extraterrestres.

À partir de l’ensemble de son récit, Anton Parks dresse un portrait de notre Genèse, mais également des conséquences sur notre monde actuel et je partage avec lui ce qu’il écrit.

La collectivité des Kadištu est assez présente dans l’histoire que je raconte, car elle est en conflit avec une grande partie des Gina’abul. Il s’agit plutôt d’une communauté de différentes races extraterrestres. Son rôle est d’unifier les espèces de notre univers au nom de la Source de toute chose que l’on associe à Dieu sur la Terre. Il faut savoir que les Kadištu sont très puissants. Ils disposent d’un principe fondamental qui est celui de ne pas trop interférer dans les affaires des êtres à fréquences réduites qui sont en pleine évolution.

La notion d’Esprit éternel s’exprime ici : un Esprit Élevé ne doit pas interférer avec le processus d’évolution d’un Esprit jeune et sans expérience. Ce dernier doit apprendre à marcher seul. Ne faisons-nous pas de même avec nos petits lorsqu’ils réussissent à se tenir sur leurs jambes et font leur premier pas ? Qu’adviendrait-il si à chaque fois qu’ils tombent on les prenait dans nos bras ? Des mauviettes !

L’humanité terrestre actuelle fait partie de ce type d’êtres à cause de la manipulation millénaire des Anunna. Malheureusement, pour ces derniers qui dirigent en secret les affaires des Hommes, l’être humain est en pleine mutation et va bientôt sauter de dimension… C’est un moment historique très attendu dans l’histoire de l’humanité.

Voici donc à nouveau cette prophétie, la plus célèbre d’entre toutes, à l’effet que le statut de cette planète est appelé à changer et que les humains vont enfin se souvenir de qui Ils sont. Mais surtout, que nous serions au beau milieu de l’amorce de cette transition vers une 5e dimension. La pandémie actuelle correspond-elle à cette transition ? Ce n’est pas une question ironique, je pose la question très sérieusement. Serions-nous en train de séparer les adultes des enfants ?

Les Kadištu nous surveillent plus que jamais et nous envoient des messages par l’intermédiaire de personnes qu’ils contactent directement (par enlèvements) ou de façon allusive (par contacts télépathiques), bien qu’il faille parfois rester vigilant, car la plupart des personnes contactées de cette façon sont souvent de bonne foi, mais peuvent aussi faire de mauvaises interprétations de ce qu’elles ont reçu.

En toute modestie, j’aurais pu écrire le texte suivant tant il est près de moi. Ce n’est plus de la résonance c’est de l’orgasme psychique.

Dans le cas des enlèvements, précisons que les « Gris » en pratiquent aussi, alors qu’ils sont habituellement au service des Gina’abul… Les Kadištu sont en quelque sorte les Elohim de la Bible, c’est-à-dire les Anges de « Dieu » (de la Source Originelle). Ils vivent dans les dimensions supérieures et très peu d’entre eux peuvent se mouvoir dans la troisième dimension, ce qui ne facilite pas le contact direct et qui explique leur façon détournée de nous approcher.

Il est là le lien entre les Esprits et les extraterrestres comprenez-vous ? Les Kadistus évoluent dans le royaume sacré de Dieu où l’Esprit se retrouve après la mort de son enveloppe corporelle. Sur un point, il rejoint aussi le Livre d’Urantia, à l’effet que des conflits sévères ont eu lieu et le Mahabaratha n’est pas en reste. D’autres sources parlent de luttes entre Orion et Sirius, etc. tout comme celui entre l’Archange Michel et Lucifer… Parks étonne toutefois avec cette histoire de Mâles et de Femelles. Mais je ne le suis pas. Au milieu des années 90, j’ai subi une longue session d’hypnose. J’ai alors révélé un personnage plutôt reptilien du nom de Asroth ayant vécu il y a 17,000 ans. Il est devenu très colérique à un moment de la séance quand il a réalisé qui était la personne avec « lui » dans le cabinet de l’hypnotiseur. Une femme, et sachez-le, je ne suis pas macho, mais lui OUI ! Gossens lui dit :

Vous décrivez une vraie guerre entre le féminin et le masculin, entre reptiliens et reptiliennes. Les mâles sont froids, avides de pouvoir et tournés vers la technologie tandis que les femelles semblent plus équilibrées, capables d’empathie et de compassion.

Ce à quoi Parks répond :

Bien sûr, il ne faut pas généraliser, toutefois nous pouvons relever que ce ne sont pas les femmes qui provoquent les guerres sur Terre ! Je vais retourner la question. L’histoire, et surtout les événements mondiaux actuels, ne nous montrent-ils pas que les hommes qui possèdent le pouvoir sont très souvent froids, avides de puissance, tournés vers la technologie alors que les femmes paraissent, d’une façon générale, plus mesurées ? Comme je l’ai précisé précédemment, les femelles Gina’abul (les Amašutum) se sont protégées des mâles en se mettant à l’écart de ces derniers. Cela a créé des tensions qui se sont ensuite transformées en conflits sanglants. Le sexe ayant été banni pendant longtemps, les Gina’abul s’employèrent à procréer à l’aide de la génétique, ce qui donna toutes sortes de spécimens et d’hybrides auxquels appartiennent par exemple les Mìmínu (les « Gris ») qui ne sont que des esclaves au service des mâles Gina’abul… Ce fut donc en se déconnectant mutuellement que les Reptiliens femelles et certains mâles se spécialisèrent dans le clonage. On peut effectivement voir cela comme une décadence inéluctable.

Lors de ma conversation téléphonique avec l’expérienceur Betty Andreasson, celle-ci me dit que les Gris sont au service des Elders, (Anciens ou ici les « bons »). Mais ces Elders au physique étonnant sont-ils mâles ou femelles ? Sur ce point Betty a toujours dit que les deux étaient possible bien qu’elle crût qu’ils étaient mâles. Androgynes en fait. Mais si on s’intéresse tant aux Annunakis c’est en raison de la présence constante du phénomène des Reptiliens, comme je l’ai mentionné dans mon livre, Ce dont je n’ai jamais parlé. Je parle alors de la traduction d’un rouleau des Manuscrits de la Mer Morte. Cette traduction du livre de Robert Eisenmann et Michael Wise, The Dead sea Scroll Uncovered, établit effectivement que Aram, le père de Moise est confronté à des dieux et décrit l’un d’eux de terrifiant avec ce visage d’une vipère alors que l’autre était plaisant d’aspect.

Gossens rappelle alors les travaux d’un certain Paul Von Ward à l’effet que le système implanté par les Reptiliens ou les Annunakis existe toujours, soit un système patriarcal, hiérarchisé et centralisé avec des monarchies héréditaires de droit divin. Anton Parks le confirme. Reconnaissons toutefois que si c’est bien le cas, alors ce vieux monde est en train de s’écrouler puisque toute personne surveillant de près ce qui se passe sur cette planète constate que le système patriarcal est extrêmement fragilisé par la montée des femmes dans toutes les sphères de l’activité humaine. Quant au pouvoir divin des monarchies actuelles, il faut reconnaître que cela appartient au passé.[8] Par contre, dès que quelqu’un se met à me dire en courriel que la Reine d’Angleterre a des pupilles de chat quand on regarde bien, c’est là que tout le débat perd sa crédibilité et son intérêt. Est-il possible de parler des Reptiliens sans devenir complètement cinglé ? Please ?

Le lien Sacré a été brisé

Dans tous mes ouvrages, je reviens sur cette thématique : un lien sacré a été rompu entre l’homme et les dieux. La condition humaine actuelle n’est pas ce qu’elle devrait être. Nous devrions avoir un accès libre aux autres dimensions et ce n’est pas le cas. Selon Parks, le Sheneset de Chenoboskion, découvert à Nag Hammadi, nous indique notre monde serait le fruit d’une erreur d’un processus de création généré par l’entité Sophia (ou Sagesse). Je n’ai pas retrouvé cela dans mes lectures sur Sophia, mais elles furent brèves.

Pour bien suivre ce qui suit, il importe de retenir que le KI, ou fréquence de la 3e dimension, fait allusion à notre dimension bien physique et matérielle et Uras serait le nom de notre planète.

La Terre s’appelle Uras

Parks rajoute :

Dans la cosmologie gnostique, Sophia est un Éon, une divinité cosmique, donc extraterrestre, qui fait partie d’un ensemble organisé de divinités que l’on nomme les divinités du Plérôme. Nous pouvons identifier sans mal ces divinités galactiques qui travaillent dans la lumière aux Kadištu (planificateurs). Ces mêmes Kadištu que l’on devrait aussi assimiler aux Élohim de la Bible qui est le terme hébreu utilisé dans l’antiquité pour désigner les premières divinités créatrices de la Terre et de l’être humain originel de la Genèse. Avant que les Gina’abul et Anunna ne prennent totalement la Terre en main, Uraš était un « zoo » où les Kadištu (planificateurs) avaient placé l’ensemble de leurs connaissances, ce qui explique qu’il s’y trouve une telle diversité. La fréquence du KI (3e dimension) était beaucoup plus élevée avant toutes ces guerres reptiliennes. Comme le dit si bien Barbara Marciniak, la Terre est une bibliothèque vivante. Notre système solaire est au carrefour de routes importantes qu’empruntent les planificateurs depuis la nuit des temps. Avec l’arrivée des Gina’abul, cet endroit est devenu une zone de libre arbitre. Qu’à cela ne tienne, on y revient et tous les chemins channelés mènent à cette Rome inévitable où l’homme a été trafiqué !

Voilà pourquoi certains d’entre nous ont choisi de s’incarner en cette période

Le passage qui suit a eu chez-moi une très forte résonance. En fait, c’est à cause de ce dernier que j’ai pris la décision de publier cet article.

Beaucoup considèrent que c’est une chance de pouvoir s’incarner sur Terre aujourd’hui parce que l’instruction y est intensive et tout à fait inhabituelle. Ce qui peut s’apprendre sur plusieurs millénaires terrestres ailleurs dans notre galaxie peut prendre deux ou trois vies ici, sur la Terre ! Or, la situation va changer et le règne des Gina’abul va s’achever prochainement

Ceci fait partie de l’ordre des choses et les âmes qui s’incarnent sur la Terre depuis plusieurs millénaires et qui n’ont pas fini leur enseignement le savent très bien. Ceci explique, je pense, le fait que de plus en plus d’âmes s’incarnent sur la Terre. Elles veulent profiter de cette situation jusqu’au bout ! Comme vous l’avez compris, les Gina’abul permettent par leurs actions passées et présentes (finement dissimulées) cet ordre des choses… Les Gina’abul ont tronqué le code génétique des êtres humains pour transformer ces derniers en Á-DAM (animaux) à leur service. Cette situation est toujours d’actualité aujourd’hui, surtout lorsque l’on distingue avec détachement les comportements anormaux et souvent inhumains des dirigeants de ce monde au service des fossoyeurs galactiques que les Kadištu (planificateurs) nomment Gílimanna (Bestiaire Céleste). Désolé de me répéter, mais les âmes qui s’incarnent sur Terre savent où elles mettent les pieds !

Le fait que la plupart des Gina’abul soient devenus des hors-la-loi galactiques et qu’ils soient en conflit avec la communauté planificatrice de notre univers n’est pas incompatible avec le travail karmique exécuté ici-bas. Tout n’est qu’une histoire d’appréciation. L’âme qui aura éprouvé la négation sous toutes ses formes sur la Terre se fera « justice » elle-même lorsqu’elle se retrouvera là-haut. Elle finira par expérimenter l’allégation universelle en se mettant au service de son prochain et ensuite de la Source (« Dieu ») dont elle est issue et vers laquelle elle reviendra de toutes les façons. Les chemins tortueux et détournés qu’elle empruntera pour atteindre ce but et qui cependant engendreront différentes formes de souffrance ne regardent qu’elle… 

Et voilà… un Esprit qui choisit de vivre dans cette Vallée de Larmes obtient 1000 fois plus de points Air miles en trois vies que l’Autre qui se prélasse sur les petits mondes faciles pendant des dizaines de milliers d’années. J’imagine une réclame publicitaire cosmique quelque part entre deux dimensions : « Évoluez à vitesse grand V, laissez tomber les centres pour enfants, devenez un Esprit fort, équilibré et puissant en moins de deux. Choisissez Uras ! Dès maintenant chez votre Planificateur local ! »

Toujours selon Parks :

Depuis leur arrivée sur Terre, les Anunna et leurs acolytes consanguins n’ont cessé de faire des manipulations de toutes sortes pour baisser la fréquence du KI. La caste dominante des Gina’abul mâles ne connaît pas l’Amour tel que certains humains l’ont intégré. L’être humain, même diminué aujourd’hui, représente donc toujours un danger pour cette communauté.

Or, si on se base sur les rapports modernes, une association entre les Gris et les Pléiadiens ou autres semble maintenant une évidence.

Une des plus remarquables manipulations des Gina’abul est d’avoir aliéné l’être humain pour en faire un animal à son service. Pour cela, les Gina’abul sont partis de l’humanoïde originel qu’ils ont mixé avec leurs propres gènes et ceux du singe. L’être humain originel fut assemblé par les Kadištu (planificateurs). Son rôle était de garder l’animalerie du jardin planétaire. Comme le précise justement la Genèse (1,26), il fut le dernier spécimen à avoir été intégré dans la réserve vivante des planificateurs. Le but de cette réserve était d’assembler les connaissances génétiques des émissaires de la Source. L’être humain originel était très respecté, car il regroupait à lui seul le patrimoine génétique de nombreuses espèces planificatrices. Le mixage particulier que les Gina’abul ont dû imaginer pour obtenir leurs Á-DAM relève d’une composition tout à fait impossible à réaliser aujourd’hui pour les scientifiques humains. Il s’agit du même genre de manipulation qu’avaient effectué les Kadištu (planificateurs) pour assembler l’être humain originel. C’est Enki, le fils d’An et de Nammu qui se chargea de cette triste besogne sous la contrainte.

Par la suite, Anton Parks fait part du contenu fort intéressant, mais trop envahissant ici, d’extraits du Livre D’Adam traduit de l’araméen en 80 chez Robert Laffont et dans lesquels on retrouve entre autres :

Qui m’a plongé dans cette tristesse infinie des mauvais anges dont l’odeur est fétide, dont la forme est abominable ? Pourquoi ma forme primitive a-t-elle été changée ?

Qu’on me rende les réunions célestes et les entretiens et les prières pleines d’effusions des pacifiques ; qu’on m’illumine de la lumière d’en haut et que je sois enfin dépouillé de cette enveloppe d’opprobre. Combien de temps serai-je lié à ce corps de boue ?

D’autre part, les auteurs d’Urantia disent que le Monde de la Croix fait parler de lui partout dans les univers puisque c’est là que l’un des Leurs s’est sacrifié pour aider toute une race d’humains, un geste extrêmement rare. D’autres entendent parler de la Terre comme étant un accélérateur d’évolution puisqu’en une seule vie, on peut connaître des situations extrêmement variées en termes d’intensité. Un thème récurrent. On m’a déjà expliqué que l’incarnation sur Terre est comme un centre d’entrainement pour l’élite sportive et ou militaire. C’est très dur, plusieurs renoncent et s’enlèvent la vie, mais une fois terminée… quelle glorieuse carrière nous attend.

La décision en Haut Lieu a été prise de rendre à l’homme ce qui lui a été enlevé par des millénaires de manipulations outrageantes. Une gigantesque opération est donc en marche depuis déjà quelques siècles et est presque achevée présentement. Elle vise à rétablir l’humain au rang qui lui était destiné depuis le tout début avant l’intervention intempestive d’espèces étrangères exogènes. Voilà pourquoi, sous la forme d’êtres humains habités par des Esprits d’ailleurs et directement par l’intervention de races appartenant à des castes scientifiques et autres, l’homme est actuellement en voie d’être ramené à ce qu’il aurait dû être, mais je ne suis pas certain que cela va se réaliser sur Terre.  

Voilà pourquoi certains commencent à réaliser avec plus d’aisance et de confort mental qui Ils sont vraiment. Le Processus est amorcé et va se poursuivre jusqu’à ce que le dernier humain existant sur Terre ait pu se brancher de nouveau sur son Esprit, en toute liberté, en toute conscience et que ce magnifique trait de naissance soit convoyé aux générations à venir.

Voilà pourquoi de nombreux humains qui occupent des fonctions sur Terre, et qui n’ont évidemment aucun rapport avec ce Processus, se sentent malgré tout interpellés, ou alors ils deviennent témoins de certains phénomènes qui troublent leur quiétude. Tout cela fait partie du Plan gigantesque en opération, en chantier sur cette bien drôle de planète que les humains ont appelé la Terre. Mais d’autres lieux nous attendent !


[1] Éditions Nenki

[2] Auteur du livre Les serpents et les dragons volants. La version électronique fut initialement une publication privée de Galaxy Books de Clearwater, Floride, en 1990.

[3] J’ai eu le même questionnement pour Asroth et j’y reviendrai dans ce site.

[4] Éditions Pahana Book. 2015

[5] Le Grand Mensonge. Louise Courteau 2000, mais également Rencontre du 4e type.

[6] La source inspiratrice de Winifred Barton de l’Institut de Métaphysique Appliquée.

[7] Entreprenez la lecture de la série Le Mal existe sur ce même site.

[8] L’assassinat du Tsar, en fait de l’ensemble des Romanov en 1918 en fut le dernier signe. De nos jours plus aucune monarchie ne détient un quelconque pouvoir politique comme ce fut le cas autrefois. Pas même l’Empereur japonais qui dut renoncer à son titre d’Empereur divin, s’il ne voulait pas être fait prisonnier par les Américains en août 1945.

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Il était une fois des humains… et des extraterrestres

Depuis l’anneau d’ambre lumineux, cette mystérieuse initiation survenue chez moi en décembre 1966, je révèle sans aucune retenue les arcanes de l’ufologie et de la métaphysique au grand public. Après 50 ans, je présente enfin ce que réclament tous mes lecteurs depuis longtemps : l’histoire commune des terriens et des extraterrestres.

Je tire mes sources de mes propres expériences, de mes travaux auprès d’autres expérienceurs privilégiés et de gens dotés de capacités métaphysiques. Il était une fois des humains et des extraterrestres. Nous nous sommes connus il y a près d’un million d’années, nous avons grandi, prospéré ensemble, puis, un jour tout a changé. C’est une relation complexe dont voici tous les tenants et aboutissants, les où, les quand, les comment et surtout les pourquoi! Retenez bien ceci : tout a déjà été dit, il n’y a jamais eu de secretsque de l’ignorance et surtout de l’indifférence.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



Catégories :Ufologie profonde

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5 réponses

  1. Wow, Je me suis inscrit hier et j’ai reçu cet article 12 heures plus tard. Dire que j’aurais raté cela si j’avais attendu une journée de plus pour m’inscrire.

    Très intéressant et encourageant.

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  2. Tout ce que nous vivons présentement nous permet de nous relier de plus en plus vite à la source, de nous reconnaitre parmi ceux qui ont compris.

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  3. Tout ce que nous vivons présentement nous permet de nous relier de plus en plus vite à la source, de nous reconnaitre parmi ceux qui ont compris.

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  4. Je comprends mieux se qui se passe maintenant, l’évolution doit se faire et je sais encore il y à des modifications génétique qui se fait encore par les petits gris et cela vous le savez très bien je vous ai déjà parler sur ça

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