L’Affaire Betty et Barney Hill

John G. Fuller[1] raconte avec grande minutie toutes les étapes de ce remarquable récit considéré encore à ce jour comme le plus important témoignage d’enlèvement, le plus enquêté, le plus médiatisé, le plus crédible et, mis à part celui de Antonio Villas Boas, sans doute le véritable premier dossier d’enlèvement à être rendu public.

Barney Hill est un Noir de 39 ans et Betty, une femme blanche de 41 ans. Le 19 septembre 1961, ils sont à bord de leur véhicule sur la route 3 dans le New-Hampshire et se dirigent vers leur résidence de Portsmouth, de retour d’une petite vacance à Montréal et aux Chutes Niagara. Leur récit fut par la suite repris sous hypnose, sur une très longue période de temps et les deux séparément, par le docteur Benjamin Simon, psychiatre et neurologue de Boston.

Les Hill observent les mouvements erratiques et plutôt curieux d’une étoile dans le ciel. Ils argumentent ensemble sur la nature de l’objet. C’est alors que munis de ses jumelles, Barney décide d’y voir de plus près et après avoir immobilisé son véhicule, en sort et pointe ses jumelles sur l’étoile. L’objet est relativement plat, entouré de lumières et il peut constater que des occupants se tiennent à l’intérieur. Il remonte à bord de sa voiture et se retrouve au volant alors qu’un curieux son provient du véhicule. Ce qu’ils ne comprennent absolument pas toutefois, c’est comment il se fait qu’ils soient à plus de 50 kilomètres de leur position initiale. Donc, outre cette curieuse observation, les Hills n’ont rien vécu de très extraordinaire. Mais voilà, ils ignorent ce qu’est le facteur missing time.

Betty et Barney Hill (Image du New England Historical Society)

Le lendemain, c’est Betty qui prendra l’initiative de communiquer avec la base aérienne militaire de Pease pour en savoir un peu plus. Le major Paul W. Henderson prendra son rapport et confirmera qu’un objet volant non identifié a bel et bien été capté sur le radar. Barney n’est pas content. Il aurait préféré ne pas en parler. On imagine facilement que durant ces années, les mariages mixtes n’étaient guère bien vus. Ce n’était sans doute pas une très bonne idée, selon lui, d’attirer l’attention sur eux avec l’observation d’un drôle d’avion. Ne soyez pas surpris que dans ces années-là révéler à des civils qu’un ovni a été repéré était plus fréquent qu’on ne le croit. Cette attitude va évidemment changer avec les décennies.

Leur sommeil est perturbé, ils font des cauchemars et, assez étrangement, des cauchemars dont le scénario semble identique tant pour Barney que pour Betty : enlèvement, vaisseau, créatures étranges, tout y est. Leur histoire se répand. On pose des questions. On finit par déterminer que les Hill ont perdu deux heures quelque part entre l’observation de l’étoile et les sons de cliquetis provenant de leur véhicule.

Rapidement, les experts ufologues de l’époque ont vent de l’affaire, dont le Major Donald Keyhoe ainsi que le Major James MacDonald.[2] Ce dernier prendra sur lui de recommander aux Hill de subir quelques sessions d’hypnose.

Le processus thérapeutique du docteur Benjamin Simon allait s’étendre sur une période de sept mois. À cette époque, Benjamin Simon est mondialement connu pour ses travaux sur l’hypnose en psychothérapie, il est conférencier à Harvard et Yale, membre de la Fondation Rockefeller en neurologie et président de l’association médicale de sa région. En plus de sa pratique privée, le docteur Simon est directeur de l’un des plus grands hôpitaux psychiatriques du Massachusetts. Une sorte de prédécesseur de John E. Mack, mais moins courageux. Il a été lieutenant-colonel durant la 2e guerre mondiale dans les principales installations traitant l’amnésie des soldats que l’expérience du combat avait incapacités. Son appréciation du dossier des Hill est donc vitale. Ce n’est pas un… ce beau mot très à la mode… complotiste qui pense qu’Elvis est encore en vie, bien que faut-il le dire, il l’était dans son temps !

Voilà donc un cas vu et revu pendant plusieurs mois par un psychiatre fort compétent et spécialisé dans les cas d’amnésie. Sa formation couplée au temps qu’il a consacré à cette affaire écarte dès lors toutes les explications conventionnelles. Qui plus est, ce n’est pas un, mais deux sujets qui, bien que mariés, n’ont aucun lien génétique entre eux d’autant plus que l’un est noir et l’autre blanche. Leur expérience ne s’est pas produite alors qu’ils dormaient dans leur lit, ils ne souffrent d’aucune forme de paralysie du sommeil et sont, en bout de piste, des gens normaux, comme vous et moi. Il restait maintenant à déterminer si les Hill avaient menti ou fabulé. Leur situation sociale, un couple mixte dans les années 60, au plus fort de l’apartheid américain suggère que non. Il est essentiel de se rappeler qu’en 1961, nous sommes au cœur du racisme institutionnalisé qui accordait par la Loi aux Américains blancs des droits et des privilèges interdits, toujours par des lois, aux Amérindiens, aux Afros, aux Asio et aux Latino-Américains. Bien que demeurant au Massachusetts et non pas dans le sud raciste et haineux, on peut penser qu’attirer l’attention sur eux avec un canular impliquant des extraterrestres ne leur est sans doute jamais venu à l’esprit.

Encore de nos jours, les petits dénigreurs de service persistent à dire que le couple Hill a inventé cette histoire à partir d’un fait banal et que leur tendance à l’exagération l’a transformé en scénario fabuleux. L’un de ces dénigreurs s’est-il seulement donné la peine de rencontrer Barney et Betty ? Non évidemment, car ils ne le font jamais ce qui les caractérise tous sans exception.

Loin d’en tirer la conclusion qu’il s’agissait d’un délire mystico-spatial, le docteur Benjamin Simon répondra aux questions du journaliste John G. Fuller sur le dossier des Hills. Retenez cette réponse.

« Il s’agit d’un cas extrêmement intéressant de double amnésie avec l’amnésie de voile levée via une hypnose régressive attentive. Il est très difficile de mentir sous le motif de régression dans lequel je les ai placés. Il est très difficile de mentir sous une hypnose administrée de manière appropriée. Les barrières sont baissées entre le conscient et l’inconscient. Il serait presque impossible pour eux de mentir sous un tel programme intensif couvrant 7 mois. J’ai examiné attentivement les bandes d’enregistrements et je ne pense pas qu’ils hallucinent. Je n’ai détecté aucun signe de psychose autant chez Barney que chez Betty. »[3]

Simon refusera de se mouiller en répondant à la question la plus attendue.

« En tant que scientifique je ne peux pas me prononcer sur les ovnis et les extraterrestres, puisqu’il n’a pas été démontré scientifiquement qu’ils existaient. »

C’est une excellente réponse, un psychiatre n’est pas exobiologiste, ce qu’il pense de tout cela au niveau du contenu relève de l’opinion sans plus et il a la prudence et l’élégance de ne pas l’émettre.

Mais revenons sur cette autre réponse qui elle, relève de sa compétence. « Il serait presque impossible pour eux de mentir sous un tel programme intensif couvrant 7 mois. » En aucun moment, ils n’ont réclamé d’argent pour leur récit, ils n’ont jamais requis les services d’un publiciste et n’ont jamais convoqué la presse. Ceux qui veulent s’amuser à relever le presque dans la réponse du psychiatre doivent se rappeler que les gens de science répugnent à donner du 100% dans leurs réponses quelles qu’elles soient. Ils laissent toujours, en tout temps, une petite ouverture dans un sens ou dans l’autre.

Cela dit, time is the bullshit’s worst ennemy, le temps est l’ennemi du baratin. Le cerveau éprouve énormément de difficultés à se rappeler des détails qui font partie d’une invention ou d’un mensonge. Les romanciers vont tous vous dire qu’ils se doivent de prendre des notes sur leurs personnages et les évènements qu’ils leur font vivre sans quoi ils risquent de commettre des erreurs. J’ai vécu les deux. J’ai écrit des histoires fictives pour mes romans et j’ai écrit mes propres expériences. J’ai absolument besoin de me relire pour les détails de mes romans, mais d’aucune manière, je ne ressens ce besoin pour mes expériences. Parce qu’elles sont vraies ayant été vécues et enregistrées. Je n’ai donc aucune peine à croire Simon quand il nous dit que 7 mois de travail intensif, et même bien moins que ça, auraient eu raison d’un canular inventé et plus encore à deux, avec les risques de contradictions flagrantes.

Le récit sous hypnose démontre que les Hill ont été bloqués sur la route par le vaisseau. Les occupants les ont fait monter à bord. La description de ces créatures est la toute première faisant allusion aux Gris. Chauve, aucun poil corporel, une tête en forme de poire et disproportionnée, de très grands yeux très sombres. Une longue aiguille sera introduite dans le nombril de Betty et on lui dira qu’il s’agit d’un test de grossesse. Barney se fera collecter un échantillon de sperme. Les Hill rapporteront avoir observé que les occupants ne semblent pas avoir conscience de la nature du temps et de l’existence des couleurs.[4] Ils vont également rapporter le fait que les occupants du vaisseau se sont montrés curieux face aux prothèses dentaires de Barney. Betty a rapporté avoir demandé à ces créatures leur origine. On lui montrera une carte stellaire lui demandant si elle pouvait identifier la Terre sur la carte. « Non ! », répondit-elle. « Alors dans ce cas, c’est inutile de vous dire d’où nous venons » et ils retirèrent la carte de sa vue.

De nombreux enquêteurs dont Hynek et le docteur Stanton Friedman[5] ont poursuivi l’enquête. Il y eut d’autres régressions hypnotiques. Tous sont d’avis que les Hill n’ont pas inventé cette histoire et que leur récit est celui d’un évènement qui s’est bel et bien produit. Pour en arriver à une telle conclusion, il faut être en mesure, dès le départ, de nous ouvrir à la simple évidence que nous sommes l’objet d’une certaine attention de la part d’explorateurs/visiteurs venant d’ailleurs et qui compteraient des centaines ou des milliers d’années d’avance sur nous. Nous vivons dans un univers de sextillions de mondes.[6] Si on s’arrête à la simple logique de l’évolution de toutes formes de vie, ne pas être visités serait l’anomalie.

La carte stellaire

Quelques études ont été faites sur la carte stellaire qu’a dessinée Betty Hill. Elle fut d’ailleurs à l’origine des motifs qui ont poussé plusieurs experts à dénigrer le cas des Hills, la carte ne correspondant à rien de connu. Mais c’était en 1963 ! Il faudra attendre huit ans pour qu’enfin on puisse déterminer que la carte correspondait à une section du ciel récemment découverte. Avec l’aide d’un ordinateur, des astronomes de l’Université d’Ohio ont pu déterminer que les étoiles indiquées par l’occupant du vaisseau sont maintenant connues sous le nom de Zeta Reticuli 1 et Zeta Reticulli 2. Ces étoiles sont situées à environ 37 années-lumière de la Terre. Fait à noter, l’ordinateur fit une réplique exacte de la position des étoiles en question dans un enchevêtrement d’autres points indiqués sur la carte, et ce à la perfection. Betty Hill aura donc gravé de mémoire en 1963 une carte astronomique dont les étoiles n’allaient être connues que plusieurs années plus tard. Malheureusement cette découverte fut effectuée bien après la révélation du dossier Hill. Et comme nous le savons, la décennie 60-69 est sans aucun doute la plus intense, après celle des deux grandes guerres, avec les meurtres des Kennedy, de Martin Luther King et des débuts de la guerre au Vietnam. L’affaire Hills tomba dans l’oubli jusqu’en 1973 avec la découverte liée à cette carte stellaire. Mis à part les ufologues du temps, dont moi-même et quelques passionnés de la question, le public ne sut jamais ce qui fut dit sur la carte de Betty.

Explications

Astronome amateur passionnée, Marjorie E. Fish ne fut pas très impressionnée la première fois qu’elle entendit parler de la carte stellaire de Betty Hill. Deux ans plus tard, avec l’aide de sa nièce Connie Limpert et plus tard du docteur David Saunders, elle parvient à réunir suffisamment de données pour construire un modèle. Elle rencontre Betty Hill et à partir de toutes les informations qu’elle peut glaner, elle construit un modèle de 10 parsec[7] avec toutefois, trois étoiles plus difficiles à définir. En 1972, à partir du Catalogue Gliese,[8] elle monte un inventaire complet des étoiles pouvant avoir en orbite des planètes porteuses de vie. À cette époque, il ne s’agissait que de probabilités. Ce fut un travail de moine qui leur permit toutefois d’en arriver à un résultat concluant en février 1973.

La carte observée par Betty Hill dans le vaisseau mesurait environ un mètre carré, elle était en trois dimensions, les étoiles brillaient et l’ensemble pourrait être comparé à un hologramme, mais la définition de l’image était à ce point élevée, qu’aucun grain, pixel ou autre forme de représentation graphique n’était visible. Les recherches de Marjorie E. Fish l’amenèrent à conclure que la carte dessinée par Betty Hill était authentique. Aucun astronome des années 60 à 64 ne connaissait l’existence des cet amas de trois étoiles en triangle dans leur présente position. La distance évaluée et très précise n’a pas été effectuée avant 1969 et au moment de l’enlèvement 1961, les distances connues n’étaient pas correctes dans le Catalogue Gliese, ce qui rendait la carte fausse. Maintenant qu’elles sont connues, elles démontrent que c’est la carte de Betty Hill qui était correcte. Sa conclusion ne fut pas critiquée outre mesure et son modèle 3D fut par la suite adopté officiellement par le département d’Astronomie de l’Université d’Ohio.

Barney Hill meurt le 25 février 1969 d’un accident vasculaire cérébral. Betty Hill meurt le 17 octobre 2004 d’un cancer des poumons. De nos jours, ce dossier n’est presque plus jamais cité alors qu’il s’agit pourtant du premier dossier expérienceur important, du premier dossier à deux témoins, du premier à être traité sous hypnose par un professionnel, du premier à être couvert par un journaliste qui en fera un ouvrage, du premier à soulever la question de Zeta Reticulli et du premier à faire état de créatures correspondant à celle que nous appellerons des Gris des décennies plus tard et finalement du premier cas d’interventions de type médical sur les témoins, sans parler du premier cas de missing time répertorié officiellement.

Il faudra attendre presque vingt ans avant que le phénomène des expérienceurs devienne monnaie courante grâce aux travaux notamment de Budd Hopkins qui publiera en 1988 l’Affaire Copley Woods. C’est alors que naîtra la théorie voulant que des humains soient enlevés en très grand nombre à des fins d’expériences génétiques. Plus tard, on comprendra le concept de modifications génétiques transgénérationnelles[9] dans le but évident, et soulevé notamment par Spielberg dans la série Steven Spielberg présents TAKEN, que nos visiteurs sont à créer une race hybride, une race humaine différente, destinée soit à vivre ailleurs que sur Terre ou ici, ce qui de toute évidence soulève une question ultime non encore répondue, bien que… je m’y risque dans un manuscrit à venir.


[1] FULLER, John G. The interrupted Journey. Berkley Trade Publisher. 1975.

[2] Ce sont deux des plus grandes vedettes de l’ufologie de l’époque. L’un sera à la tête du National Investigations Committee On Aerial Phenomena (NICAP) et le second œuvrera temporairement pour la Commission Condon qu’il désavouera avec vigueur.

[3] Ce qui est d’ailleurs rapporté par la très grande majorité des spécialistes de santé mentale qui ont reçu des enlevés.

[4] Sauf en de très rares exceptions, les couleurs décoratives sur les murs, plafonds, planchers et vêtements semblent absentes ou rares dans tous les récits. On les retrouve toutefois sur certains équipements ou lors de manifestations de scènes holographiques.

[5] FRIEDMAN, Stanton et MARDEN, Kathleen. Captured! The Betty and Barney Hill UFO Experience. The True Story of the World’s First Documented Alien Abduction. Career Press / New Page Books.

[6] Un sextillion est mille milliards de milliards.

[7] Le parsec est une unité de longueur en astronomie déterminée par un calcul trigonométrique équivalent à environ 3.2 années-lumière.

[8] Du nom de Wilhelm Gliese, le catalogue Gliese liste toutes les étoiles dans un rayon supérieur à 25 parsecs de notre planète. De nos jours on parle plutôt du Catalogue Gliese-Jahreiss, du nom de Hartmut Jahreiss.

[9] Cf. Il était une fois des humains et des extraterrestres.

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3 réponses

  1. Passionnant comme récit, merci.

    Aimé par 1 personne

  2. Betty et Barney Hill sont des victimes et avez-vous remarqué comment on traite les victimes ? Ce couple a vécu l’enfer en vivant et en divulguant leur expérience d’enlèvement par les gris. Je ne sais pas si je l’aurais fait.

    Je connais les vols de nuit. Mais, je ne les provoque pas, ces rêves arrivent comme ça sans prévenir.

    Je crois que les petits gris sont des robots créés par une race d’extraterrestres beaucoup plus évoluée scientifiquement que nous. Ils sont programmés pour trouver les planètes peuplées de vies intelligentes. Voilà pourquoi, ils s’intéressent à nous. Il faut croire que nous sommes intelligents. lolll

    Merci pour cet article que j’ai aimé lire.

    Aimé par 1 personne

    • Ce que vous mentionnez kpotvinivicqcca concernent les petits gris, c’est a dire qu’ils seraient des robots, je trouve que c’est une hypothèse intéressante, moi mon hypothèse concernent les petits gris, c’est qu’ils ne sont pas des robots, mais des êtres vivant et qu’ils aident des êtres extraterrestre qui ont une apparence humaine et ses 2 races distincts différentes cohabitent ensemble sont sur le même vaisseau spatial (ovni), je crois que les petits gris seraient ceux qui aident les extraterrestres a l’apparence humaine durant les enlèvements. A titre d’exemple (de preuve) concernent des petits gris et des extraterrestres a l’apparence humaine qui cohabitent ensemble a bord des vaisseau spatiaux (des ovni), il y a le cas de Travis Walton, je veut dire Travis affirme qu’il y avait ses 2 races distincts qui étaient avec lui a bord du vaisseau spatial (ovni) qui la enlevé et toujours concernent ses 2 races distincts d’extraterrestre qui cohabitent ensemble a bord du vaisseau spatial (ovni), il y a aussi le cas connu de l’enlèvement d’Alan Godfrey qui est survenu à Todmorden, Yorkshire en Angleterre le 29 Novembre 1980 pour ne nommé que ceux la.

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