AVI LOEB, LE JOHN MACK DE L’ASTRONOMIE ?

Avi Loeb, Directeur du département d’astronomie de Harvard (Tahiti.com)

Il n’y a pas que des Julie Payette, des Chasteney et des Hubert Reeves dans le monde. L’intolérance absolue de ces derniers envers l’ufologie n’est pas méritée. Ce domaine commande plus de respect que leur indifférence paradoxalement cynique. Je le sais, vous le savez, et malgré cela, rien ne va changer.

Cela dit, il existe un très grand nombre de scientifiques depuis 1948 qui ont démontré plus qu’un simple intérêt envers la phénoménologie extraterrestre et qui se sont impliqués à fond, autant Jean-Jacques Vélasco, Allan Hynek, Jacques Vallée, Nick Pope, Coral Lorenzen, James MacDonald, Wilbert Smith etc., la liste est très longue.

Plus récemment, il s’est produit un autre phénomène qui dépasse les frontières et permet aux ufologues d’espérer qu’un jour la communauté scientifique cesse de se conduire comme si elle n’était constituée que de bourriques entêtées. Mais d’abord il faut savoir qu’il n’y a plus de gros noms qui sont venus appuyer la recherche en ufologie depuis le début des années 2000, car faut-il le dire, il n’y en a presque plus de cette recherche. Par dépit dirais-je, à la suite d’une sorte d’écœurement d’être pointé du doigt comme les idiots du village on a vu les chercheurs, les vrais s’entend, disparaître et la relève n’y est pas.

Les deux derniers furent Peter Sturrock[1] et John E. Mack qui ont tout donné pour revaloriser l’ufologie dans son vaste ensemble, mais malgré leurs lettres de créance, leurs titres très impressionnants et leurs travaux considérables, rien n’y fit et je crains que plus jamais on ne reverra de si nobles efforts. Il y a un grand nombre d’amateurs, de weekenders et de suricates qui veulent bien s’y attarder, mais l’ufologie ne s’en porte guère mieux. Également, ce qui tue est ce vent de folie qui s’est emparé d’Internet depuis 1995 avec l’apparition de sites grotesques et absurdes, relents fétides des petits journaux jaunes de mon époque et du National Enquirer pour des gens qui s’épuisent à tenter de lire plus qu’un paragraphe et aiment bien les images ridicules d’Aliens dans les bras d’Hillary Clinton. Les esprits faibles compensent leur savoir absent par une culture hyper facile de données fantaisistes aussi bêtes à nos yeux qu’amusante et vraie aux leurs. Aimer les Avengers est une chose, mais croire qu’ils vont nous sauver des extraterrestres en est une autre. La vie n’est pas un cartoon !

J’ai posté sur ma page Facebook un lien You Tube qui nous montre des autobus et des automobiles volantes absolument incroyables qui se posent et décollent sur le tarmac de l’imaginaire de très doués jeunes hommes et jeunes femmes qui adorent étaler leur capacité de fabriquer n’importe quelle image de synthèse, ce qui, effet pervers oblige, rend très suspecte toute image fixe ou mobile d’un authentique ovni.

Est-il possible que j’aie refusé de diffuser une fabuleuse vidéo authentique ? Oui. Je préfère cela que de perdre mon nom et ma réputation à diffuser les canulars maison de dizaines de jeunes geeks du pixel. Les Ovnis de l’Internet viennent tous de la planète Pixel et malheureusement la contamination est mondiale et rien ne peut l’arrêter. Si je devais me mettre à la favoriser, je ne pourrais plus me regarder dans la glace le matin. J’ai coupé de nombreux liens également avec des gens que je croyais plus sérieux, mais qui eux aussi sont tombés le sourire aux lèvres dans le Puits des Miracles et s’y trouvent bien.

Toutefois, ce qui m’encourage, ce qui me redonne foi en mon domaine, est l’apparition de gens de science qui commencent de plus en plus à nous sortir de la primitive conception de l’univers qu’avait jusqu’à ce jour la grande majorité des scientifiques.

Prenons Oumuamua par exemple

Oumuamua (Sputnicknews.com)

Je m’étais rendu, en 2017, à l’émission de Denis Lévesque pour lui parler de ce très étrange objet céleste auquel les astronomes ont donné le nom hawaïen de Oumuamua qui signifie messager.

Il fut l’ovni de tous les astronomes du monde entier. Cette communauté n’est pas très facile à émouvoir, mais sur ce coup-là, ils sont demeurés bouche bée et certains ont osé désacraliser l’omerta sous-jacente à leur fonction et partager ouvertement avec les incultes que nous sommes leur conviction que cet étrange bolide qui passait dans notre système solaire pouvait être la preuve de l’existence d’une intelligence extraterrestre.

C’est alors que l’Agence Science Presse nous apprend qu’un type, qui ne fait pas la promotion de petits shows dans un planétarium à deux sous, est venu secouer tout le monde. Directeur du département d’astronomie de l’Université de Harvard (Oups ! comme Mack qui était directeur du département de psychiatrie) Avi Loeb nous dit ceci à propos de son livre Le premier signe d’une vie intelligente extraterrestre paru à Paris au Seuil : « Si j’ai raison, c’est la plus grande découverte de l’histoire de l’humanité ».

Le gars est spécialiste des trous noirs et nous jase de Oumuamua qui fut repéré par le télescope Pan-STARRS1 à Hawaï. L’objet faisait 400 mètres de long par 40 mètres de large. Les observateurs ont tous convenu qu’en raison de sa vitesse, il ne pouvait provenir que d’une très lointaine étoile, devenant de la sorte le premier objet détecté venant d’un autre système stellaire.

Au début l’Agence spatiale européenne parlait d’un astéroïde, puis changea d’idée émettant l’hypothèse d’une comète éjectée d’un autre système stellaire. Avi Loeb n’y croyait pas. À ses yeux, ces hypothèses ne permettaient pas d’expliquer l’accélération excessive de la chose ni le fait qu’elle n’ait dégagé aucune traînée de gaz ou de poussières en passant à proximité du Soleil, mais surtout cela n’expliquait pas sa forme insolite. Avec un autre chercheur d’Harvard, il joue d’audace et publie dans Astrophysical Journal Letters, la théorie que Oumuamua ne peut être qu’une sonde propulsée par une civilisation extraterrestre.

BANG ! la grosse roche dans l’étang calme des astrophysiciens et astronomes ! Inutile de dire que l’article fut vivement critiqué. Aujourd’hui, écrit Avi Loeb : « Le débat se prolonge faute de preuves tangibles et quoi que l’on finisse par conclure au sujet de Oumuamua, force est de constater qu’il a été, et demeure, une anomalie en soi. » Dans ce livre généreux de 272 pages, l’homme de Harvard reconnait que ce sont des hypothèses, mais jamais encore elles ne furent traitées comme telles auparavant par un homme de science réputé. Je n’ai pas encore lu cet ouvrage, mais voilà enfin un grand nom de la science qui ose s’aventurer sur la glace mince de la pluralité d’êtres intelligents dans l’univers.

Cette fois c’est une autre folie qui nous vient de la NASA

J’ai déjà présenté le professeur Jack Scudder de l’Université de l’IOWA dans un de mes livres, mais j’y reviens car on a tendance à oublier les divergents. Subventionné par la NASA, il a publié en 2012,[2] les résultats de sa réflexion concernant l’existence éventuelle de portails dans l’espace. Le simple fait que la NASA finance ce genre de recherches fait rêver, car enfin on sort des sentiers battus par les semelles décharnées des astronomes classiques obsédés par les noms d’étoiles et leur magnitude, n’ayant aucune imagination et aucune intention d’en avoir, l’œil collé à vie sur leur écran lié à leur télescope. Ces gens-là peuvent être parfois imbuvables et de mauvaise foi au-delà même de la définition. Je me souviens dans les années 1990 avoir discuté avec l’un d’eux, évoquant la possibilité des trous de vers comme canal de communication entre deux points de l’espace. Voilà que mon astronome se met presque à vociférer comme si je voulais attenter à sa pudeur. Des années plus tard, Stephen Hawking en parle gaiement dans ses ouvrages et n’est pas le premier venu. N’oublions pas le physicien quantique Michio Kaku bousculait le conservatisme du monde scientifique en publiant son livre, Physics of the Impossible, dans lequel il démontrait que bon nombre de technologies, présentes dans la série Star Trek, sont tout à fait concevables et qu’il ne s’agit que d’une question de temps, d’argent et de volonté politique pour y parvenir.

Scudder parle de ces éventuels portails en les appelant des points X. Il explique que la Terre dégage un champ de force magnétique relativement puissant, généré par le fait que nous avons un centre mou et liquide, qui tourne à l’intérieur de la planète. La Terre en somme est comme un œuf, avec une coquille très mince, un blanc d’œuf liquide et un centre beaucoup plus dense. Comparaison boiteuse, j’en conviens puisque le tout, surtout le jaune atteint des températures de 6000 degrés centigrades.

Mars, à titre d’exemple n’a pas de champ de force, la Lune non plus, avec le résultat que ces corps célestes sont bombardés continuellement par toute une gamme de radiations pas très salutaires pour la vie de couple ! Le Soleil aussi a un champ électromagnétique extrêmement puissant, ainsi que Jupiter, Mercure, Saturne, Neptune, Uranus. Bref, on a un manteau qui nous protège au point qu’on appelle notre champ à nous, le bouclier terrestre. Il est là en permanence et sans lui nous recevrions constamment des particules mortelles. Il semble donc que là où ces deux champs se rencontrent, celui de la Terre et du Soleil, se trouveraient ces points X. Selon Scudder ces portails : « créent un chemin ininterrompu, qui mène de notre propre planète à l’atmosphère du soleil à environ 150 000 000 km ». Ce n’est pas rien ! Toujours selon le chercheur, ces portails ne sont pas à des années-lumière de notre planète, mais tout juste à notre porte, à quelques dizaines de milliers de kilomètres de la Terre. Il explique :

« Les portails sont créés par un processus de reconnexion magnétique dans lequel les lignes de force magnétiques des deux corps célestes se mêlent et s’entrecroisent à travers l’espace. Le chassé-croisé crée ces x-points. Ces portails sont invisibles, instables et insaisissables, s’ouvrant et se fermant sans aucun avertissement. Quand ils s’ouvrent, cependant, ils sont capables de transporter des particules énergétiques à grande vitesse, de l’atmosphère du Soleil jusqu’à la Terre, provoquant des tempêtes géomagnétiques. »

Scudder n’a pas dit, et ne dira jamais, que des vaisseaux extradimensionnels utilisent ces portails pour déverser sur Terre de plus petits vaisseaux conçus pour un déplacement en atmosphère terrestre, parce que ce faisant, la subvention de la NASA pourrait se rétrécir comme une peau de chagrin et le monsieur ne pourrait même plus travailler à l’Université d’Iowa et se retrouverait au centre-ville, la main tendue pour payer son dîner ! Je rigole, mais à peine. J’ai failli perdre mon emploi à la radio à plus d’une reprise à cause des Ovnis, alors imaginez un scientifique de renom. Donc, Scudder aurait réussi à localiser ces fameux points X. Comment il a fait relève de la prouesse technique et d’un esprit de déduction qui n’est pas sans rappeler les émissions policières. En 1990, la NASA avait envoyé un satellite du nom de Polar pour étudier la magnétosphère. Déjà là, il y avait dans les trouvailles du Polar des indices bizarres, des empreintes de pas d’intrus dans le décor si on peut dire. Dans le jargon de Scudder ça donne :

« En utilisant les données du Polar, nous avons trouvé cinq combinaisons simples de champ magnétique et des mesures de particules énergétiques qui nous indiquent un X-point ou une zone de diffusion d’électrons. Un seul engin spatial, bien instrumenté peut prendre ces mesures. »

Justement, à partir de ces indices, il a su quoi chercher dans les données d’autres expéditions spatiales, dont celle de la NASA, THEMIS, lancée en 2007 et qui a terminé sa mission en 2010, et avec la mission de l’Agence Spatiale Européenne, CLUSTER,qui a livré en 2013 le résultat de ses pérégrinations dans la magnétosphère. La NASA a lancé en 2014 une mission qui portait le nom de Magnetospheric Multiscale Code 461 (MMS)et placé 4 sondes autour de la Terre pour étudier la magnétosphère et entourer les portails afin d’observer comment ils fonctionnent. C’est en marche actuellement. Quant aux portails, Scudder croit qu’ils s’ouvrent et se referment plusieurs dizaines de fois par jour.

Scudder reconnaît que certains de ces portails sont vastes et demeurent ouverts longtemps et ce qu’on prétend, c’est que des particules solaires voyagent à la tonne dans ces tunnels et, qui dit particules, dit matière. Les neutrinos n’ont pas de masse, mais les autres oui. Une particule solaire c’est petit, c’est même très petit, mais ce n’est pas une pensée spirituelle ou une prière, c’est de la matière et, dès lors, la question se pose : quelle est la vitesse de ces particules ? Parle-t-on d’approcher celle de la lumière ? Sommes-nous sur le point de découvrir de véritables tachyons ?

« C’est un raccourci qui vaut tous les vortex de la sci-fi sauf que cette fois, ils sont vrais et avec ces nouvelles découvertes nous savons comment les trouver. »[3]

Partant donc du principe que des portails s’ouvrent et se ferment, ma question est donc : s’ouvrent sur quoi ? J’attends la prochaine conférence de presse au cours de laquelle Tony Phillips nous apprendra qu’ils ont lancé une sonde télémétrique dans un de ces portails. Il s’agit peut-être d’un simple raccourci entre deux points de notre univers physique, comme les trous de vers de la mécanique quantique le suggèrent. Il s’agit peut-être aussi d’une ouverture qui permet de jeter un coup d’œil sur une autre dimension, une des 6 restantes annoncées par la Théorie des Super Cordes.  

Encore une frontière dépassée ?

Dans une émission scientifique dont malheureusement j’ai oublié le nom,[4] j’entends cette nouvelle :

« Des neutrinos, particules élémentaires de la matière, ont été mesurés à une vitesse dépassant légèrement celle de la lumière, jusqu’alors considérée comme une limite infranchissable, ont annoncé des physiciens du Centre national de la recherche scientifique de France (CNRS). Ainsi, d’après les mesures effectuées par les spécialistes de l’expérience internationale Opera, des neutrinos ont parcouru les 730 km séparant les installations du CERN à Genève, en Suisse, du laboratoire souterrain de Gran Sasso, en Italie, à une vitesse de 300 006 kilomètres/seconde, soit un peu plus que la vitesse de la lumière. La vitesse de la lumière est de 299 792 kilomètres/seconde. Autrement dit, sur une course de fond de 730 km, les neutrinos franchissent la ligne d’arrivée avec 20 mètres d’avance sur la lumière si elle avait parcouru la même distance à travers l’écorce terrestre.

Ces données enregistrées sont si époustouflantes que les scientifiques ont demandé à des collègues de les vérifier avant de prétendre à une percée scientifique. S’ils se confirmaient, ces résultats totalement inattendus par rapport aux théories formulées par Albert Einstein en 1905 pourraient ouvrir des « perspectives théoriques complètement nouvelles, souligne le Centre national de la recherche scientifique de France. »

Les scientifiques savent très bien qu’avec le LHC (Large Hadron Collider) de Suisse, ils courent le risque ou la chance de tout avoir à réécrire la science et particulièrement la science des particules. Et quand vous commencez à jouer avec les particules, tout le reste suit parce que TOUT est soit énergie ou particules. Certains commencent à se demander si les particules plus petites encore que celles déjà connues ne seraient pas elles aussi de l’énergie et que donc tout est énergie. Mais c’est un autre débat.

C’est au niveau de la structure même de la philosophie scientifique qu’on verra les plus grands bouleversements. Les scientifiques ont toujours la très détestable habitude de mépriser ouvertement et de ridiculiser tout ce qu’ils n’ont pas encore découvert et prouvé. Ils sont extrêmement arrogants ! Et lorsqu’ils réalisent qu’ils avaient tort, ils ne s’excusent jamais. De l’eau sur Mars ? Fiction, mais il y en a. Des anneaux autour d’Uranus ? Fiction, mais il y en a. Un océan sous la croûte de glace d’Europe ? Fiction, mais il y en a. Des particules plus petites que le neutron ? Fiction, mais il y en a. Des bactéries se nourrissent d’arsenic pendant que d’autres survivent dans l’acide sulfurique ? Fiction, mais il y en a. La liste est sans fin puisque la science n’est que ça… une série d’erreurs corrigées avec le temps.

Mais attention, je le répète, ne vous attendez pas à voir des scientifiques aux cheveux hirsutes et armés de petites lunettes rondes, emmitouflés dans un sarrau blanc se présenter à Tout le monde en parlepour s’excuser de nous avoir induits en erreur depuis 120 ans… et de continuer à le faire pour encore 120 ans parce que pour eux, rien ne change ; ce qui n’est pas encore prouvé scientifiquement n’est que de la fiction. On pourrait espérer qu’ils se gardent une petite gêne et admettent que ce qui n’est pas encore prouvé scientifiquement est peut-être vrai quand même. Mais oubliez ça, c’est comme demander à un politicien d’être entièrement honnête et intègre en pleine pandémie, ou même sans.

Dans le monde de la science, tel que perçu par les gens, tout est très calme, ennuyeux, terne, mais dans le monde de la science, ça bouille actuellement. L’astronomie, l’astrophysique et également la physique quantique sont sollicitées par des mystères effarants, incroyables qui déjà dépassent la fiction. Mais cela demeure un monde très prudent, pas secret, mais discret, qui n’aime pas fanfaronner et faire part de tout, comme d’autres qui dégueulent leurs platitudes conspirationnistes surannées. D’ici très peu, au moins dans ce siècle, des bulles énormes d’un savoir, contenu sous verre, vont exploser révélant au monde ce qu’on leur dit depuis des milliers d’années : Nous ne sommes, nous n’avons été et nous ne serons jamais seuls dans cet univers !


[1] Cf dans la section Ufologie de ce site. Éventuellement on y retrouvera aussi d’autres grands noms dont celui de John E. Mack.

[2] On retrouvera sur le site de la NASA l’essentiel de l’article.http://science.nasa.gov/science-news/science-at-nasa/2012/29jun_hiddenportals/

[3] Déclaration officielle du docteur Tony Phillips, éditeur du site Science@Nasa, le site officiel de la NASA sur le Net.

[4] Radio-Canada.ca avec Agence France Presse et Associated Press

__________________________________________________________________________________________________________________

L’ère nouvelle

Jean Casault croit sincèrement que nous sommes en plein développement vers une nouvelle ère. Il sait que cela ne se fera pas sans heurts et assez curieusement la crise internationale de la COVID-19 lui donne peut-être raison, comme si nous étions confinés dans un cocon avant de déployer nos ailes. Ce livre recèle également de fabuleux exemples de Vols de nuit, ces rêves… qui n’en sont pas.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



Catégories :Articles - Ufologie profonde

Mots-clés :, , , , , , , , ,

4 réponses

  1. Très Très intéressant comme lecture j’adore lire ça je crois qu’il y a beaucoup plus à apprendre un jour les gens seront au courant de se qui se passe et je crois aussi a d’autres dimensions et autres vies au delà ont avance un peu plus vite dans la science et autres Oui une nouvelle ère sans viens plus vite qu’on pense

    Aimé par 1 personne

  2. Bonjour, votre description de ces phénomènes espaces sonne quelque chose pour moi, j’ai écouter hier la vidéo sur youtube du Memorendum de Dieu de Og Mandino sous la narration de Jean Coutu, et toutes ces descriptions de ce qui fait de notre corps une si grande merveille, il y a une telle similitude avec votre texte de ce matin, ce qui se passe en est ce qui se passe en bas et ce qui se passe en bas est ce qui se passe en haut. Est-ce possible?

    Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire

Pour oublier votre commentaire, ouvrez une session par l’un des moyens suivants :

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueueurs aiment cette page :