Je Suis le Diable et j’ai à dire ! (article 32)

Crédit pour le montage graphique : Éric Dorion

Au Tout Début, deux Esprits Primordiaux régnaient, tous deux au sommet de leur Force, ils étaient Le Bien et Le Mal, en Pensée, en Mots et en Gestes. Extrait de Gathas de l’Avesta.

Il est suggéré de consulter le glossaire à la fin de ce texte afin de mieux comprendre certains termes utilisés dans cet article.

Image de celui qui se voulait le Diable et que j’ai reconnu plus tard en voyant la photo de cet acteur Anson Mount. (cf. L’Extraterrestre qui faisait de la radio à venir en 2021 chez Louise Courteau)

Je suis le Grand Maitre de la Genèse de cette excrétion du Ciel qu’est ton monde. Je suis le Père de toute chimère et de tout sophisme, de toute escobarderie. Je Suis Ahra Manyu, l’Insidieux, l’Esprit du Noir Brouillard, de la plus Funeste acrimonie qui soit et de la grande Nécrose. Ta mère n’eut point voulu que je fréquente ta sœur, qu’en charpie j’eus gaiement laissée devant sa porte avant de l’abjurer mille et trente fois, que veux-tu encore de Moi, ascaride inutile ? N’as-tu point saisi que Je suis une Créature spirituelle, éternelle et immortelle extrêmement puissante et si ancienne que même ce mot de ta langue est vain et ma langue n’étant qu’une acrimonie délétère apprend en guise d’entrée en bouche que Mon intention repose dans son entièreté sur une seule et unique démonstration auprès de Ma Supérieure hiérarchique qu’est la Divine et envers qui, sache-le, toi et tous ces corniauds que sont tes anagnostes, que Je n’en suis certes pas son plus grand Affidé ? Elle M’enjoint à M’abaisser jusqu’à ton niveau afin de diaprer ta conscience si tant un tel exploit de ta part est imaginable. Je subis cette ancillaire condition avec le plus grand mépris et je crache sur l’initiative, toute Divine soit-elle.

Cette Intention, disais-Je avant d’être interrompu par tes sarcasmes inaudibles, mais perceptibles, consiste à dévoiler la superfluité de ce projet, toujours en cours pour de funestes motifs, de fabrication tridimensionnelle d’un réceptacle évolutif pour tous les jeunes Esprits issus de la Matrice et auquel Elle a donné entre autres, le nom d’humains et Moi de béjaunes ou de limaces. Vous tous ne méritez pas de nom alors qu’en fait la limace a un certain charme dans sa bave gluante, déjà plus harmonieuse que ta démarche. Il y a d’autres sacs à stomie à foison dans cet univers dérisoire, mais en cette heure, concentrons-nous sur cette engeance à laquelle tu appartiens, cela suffira amplement. J’ai déjà le cœur qui se soulève à te humer. Aucun bain ne saura me faire mentir, que tu pues humain ! C’est alarmant !

L’infamie que de s’incarner dans un sac de stomie !

Si Mon propos paraît ne pas se présenter limpide comme il sied pour ce qui te sert de cervelle, que ta sauce blanche s’apaise, Je vais être précis. Tous, Je vous méprise. Non… c’est autre objet, l’angle est faible, l’amorce est courte, alors Je vais droit pour la jugulaire, Je vous hais, férocement. Je vous veux tous morts, loches, là maintenant, sans souffrances, sans drames, sans longues agonies, ces scénarios volent du temps à mon Éternité ce qui M’indispose. Ce que Je veux c’est que vous n’existiez plus. Pouf ! Là, maintenant, d’un simple Souffle Divin. Voilà qui a le mérite d’être source fraîche à ta soif de taré de Me connaître non ?

En syntagme que tu pourrais assimiler, Je m’érige en faux depuis des éons contre l’idéation menant Ma Maitresse à ce solécisme d’obliger tout Esprit s’extirpant plein d’espoir et de vie de la Goûve, de s’incarner, un verbe qui vient du latin pour viande, s’incarner donc, dans un agreste contenant tout en germes, virus et bactéries, appelé à se décomposer en un espace de temps si risible que c’en est navrant juste de l’apprendre. Et ne parlons pas de l’odeur infecte, qui déjà de ton vivant est intenable depuis tes couches à la naissance et qui te suit jour après jour et que dire de ton processus de décompo qui sature l’univers entier de ses fragrances galeuses et maudites depuis des centaines de milliers d’années. On vous sent tous à des années-lumière dans le cosmos. C’est par où la Terre ? Suivez l’odeur de fientes de gaupes mon ami. Écoute blatte, si Je te demandais chaque matin de te vautrer, dans tes propres déjections, serais-tu là, à remercier Dieu pour sa grande Bonté ?

La seule reconnaissance que J’éprouve envers la Divine Sans Nom, qui tôt ou tard finira par comprendre que chevauchant la Perfection je ne m’étrille jamais d’une errance, est qu’à ce jour, outre quelques très éparses exceptions certes pas ancillaires, Je n’ai pas eu à M’incarner dans cette répugnante enveloppe poisseuse car, dois-Je te le redire, ce qu’il y a de plus immonde chez les rampants de ton espère est cette cervelle de liquette avec laquelle vous comptez procéder à votre anagogie, mais bon. Quel est donc ce raffut ? Ça va, ça va, cessez de me sabouler. J’entends le petit Michel, ce Phébus archange noblet, qui frappe sur mon mur d’airain et c’est très énervant, alors il est temps que Je procède. Oui oui. Me voilà Mickey, rabats tes grandes ailes que Diable !

J’ai donc à dire ceci

En tant que Créature imbue de Moi-même à un degré qu’il t’est impossible d’estimer, fais l’effort de déguster par tous les pores de ta flasque peau l’inévitable constat de ma supériorité sans nom et sache que Je proclame très haut que ce devis déjà tristement amorcé depuis trop longtemps est voué à l’échec et devrait être dilacéré avant qu’il ne se répande ad nauseam. On ne peut envisager la confection éventuelle par l’évolution d’une créature de chair molle, en perpétuelle attente d’un jet d’émonctoire, à l’intelligence si lente et qui peut se drainer de tout son liquide vital par suite d’une simple écorchure, sans parler de cet amphigouri que représente pour l’Esprit qu’il l’habite, l’existence dans un immonde sac d’hormones, de déjections et d’autres immondices. Un Esprit sain dans un corps sain, quel caligineux étourdi a bien pu inventer pareille parodie en si peu de mots, alors que sous l’éclairage de ma Pensée supérieure, on ne peut qu’admettre qu’il s’agit là d’une flagrante contradiction, un corps n’étant par définition qu’une fabrique de fientes et n’en changera jamais. Même propres parce que lavés, en santé, bien élevés et animés d’une pensée rudimentaire, vous êtes tous laids, informes, gourds, méphitiques, stupides, vulnérables. Je peux si aisément vous enfourcher avec mes Plaisirs, qu’on s’adjure ce qu’Elle a bien pu penser la Patronne, ou Dieu, ou la Divine Mère ! Ce qu’il est dont déplaisant de toujours devoir tout gloser quand, à des imbéciles heureux on s’adresse. Il M’arrive de groumer qu’elle a peut-être cru que vous pourriez être Mes hochets, tant il est aisé, pauvres larves que vous êtes, de vous obombrer jusqu’au petit jour!

Toi limace, cet Esprit que tu es va connaître la saugrenuité et ne pourra que mal tourner, d’où une colossale gabegie de matière et de temps, même si tout cela est inépuisable. J’ai expliqué cela à Mon Maître, Dieu, Yalla, Divine Mère, Grand Moufti, qu’un tel projet monopoliserait des milliards et des milliards d’entités de toutes sciences. Cela serait, oui, une colossale gabegie depuis l’ange tout benêt jusqu’au moindre petit Esprit de Service, sans parler de tous les autres Reîtres à des niveaux très élevés et tout cela pour un myrmidon, inégalement velu, sans aucune élégance, sale, répugnant, sans avenir, mortel et vraiment buse et godiche au point d’être pugnace pour un simple peut-être !

On M’a offert de prouver votre pestilence. J’ai dit oui !

On M’a invité à procéder, c’est-à-dire à faire montre que le projet humain est une déchéance et une cacade courues d’avance. Je Me suis promis de faire trébucher votre humanité naissante, de sorte que plus elle allait évoluer, plus infecte elle allait devenir, et je ne controuve pas en disant que l’intelligence allant simplement lui faire raffiner son exécrable nature d’origine simiesque, la rendant naturellement plus vile, plus sournoise, donc plus efficace et dès lors séide à ses instincts primitifs de grosse niquedouille. Chaque jour, vous me donnez raison depuis 300,000 ans. Si, je les compte sans obvier la moindre occasion.

Ainsi, Je ne Me suis pas trompé, ce qui au fait ne M’arrive jamais. Tes origines animales ont fait de toi une bécasse mutée, violente et hargneuse mais en plus, inutile. Dès lors, l’intelligence aidant, elle est devenue une abjection cruelle et monstrueuse. Tu serais complice de ton propre état de céladon, Je n’en serais guère étonné. Ouvre tes yeux de babouins, parcoure cette salade de balivernes qu’est ton histoire, n’avais-Je point raison dès l’aube de votre arrivée à tous ces larbins de ta famille de gnomes ?

C’est toi l’auteur de cet opuscule dans lequel on m’insère qui le dis lorsque tu mets en évidence dans tes propos cet ogre de Rais, bouffi de lulibérine et tueur d’enfants, mais qui brillant et raffiné a utilisé sa ruse aiguisée pour exécuter ses œuvres… Et Je n’y étais pour rien. Je Me bidonnais en humant leurs viscères fumants, mais c’était là son travail, lui la créature de Dieu ! Pas le mien. Quelle réussite, une vraie crapette !

Je ne Me trompe jamais ! Tous les univers ont les yeux fixés sur Moi. La pression cosmique qui s’y forme dépasse Mon propre entendement, car il y va de Mon Statut privilégié dans tous ces mondes et si J’échoue par le moindre solécisme dans l’écriture de Mes intentions, quel lamentable sort M’attend ! Loin du tien, il s’en faut mais si fait, je vais gagner, pétri d’une magnifique fatuité de proportion sidérale, Je savoure d’avance le jour où la Créatrice du design de ces vilenies rampantes, finira par se rendre compte que Je dis vrai, depuis le Début des Temps, et que ses repoussantes fabriques de sanie devront être incinérées, préférablement d’un seul coup d’astéroïde géant. J’ai des noms déjà, tel Apophis, ou pourquoi pas, noyés dans un autre Déluge, un vrai celui-là, pas un apologue plagié pour merdaillon aliéné. Et qui sait, si la Divine Omnipotentis, confuse par sa propre amaurose ne cédera pas sa place à l’Être extraordinaire que Je suis, depuis une éternité. Ils ne rajeunissent pas tu sais tes Divins Chorèges géniteurs !

Pour prouver Mon point, J’ai créé de parfaites conditions

Que furent-elles ? Revenons alors que du singe au cul rubicond dont tu venais à peine d’en quitter la matrice, masse molle apparemment pensante, tu es devenu. Je Me rapporte à ces heures de parfaite ataraxie au cours desquelles J’élaborais mes Plans sacrés, Je Me revois, sous un délinéament auquel jamais ton esprit tordu ne pourrait imaginer. Inutile pour moi de t’asperger de tes propres mots, si limités sont-ils en nombre et en qualité, alors Je suis là, une Pure Merveille et Je Me dis qu’il Me faut évaluer les asthénies innées de cette venaison qui tient à peine sur ses jambes et réfléchit autant que son gourdin. Il s’agira donc, Me disais-Je, de déterminer ses besoins innés, non pas que pour se souscrire au mésaise, mais ceux qu’elle ne peut contourner et qui vont la suivre tout au cours de sa réforme évolutive à venir, fut-elle celle d’un cafard. On ne lutte jamais contre les forces de l’antagoniste, on s’en détourne, on découvre ses inappétences, ses faiblesses et ce sont elles qu’on exploite. Prends-en de la graine d’un Maître et Devancier en ces tâches.

Évidemment, Je ne suis pas une Créature ignare et bestiale, Je suis une Créature d’une très grande finauderie, je ne drosse jamais et Je maîtrise le concept de l’Ordre qui M’indiffère tant il est terne, mais à tester, jusqu’à sa reculade complète s’il le faut, par un juste Chaos adapté au besoin de Ma cause. En ces temps vétustes, Je savais tout de cette petite crotte bipède que tu étais et mieux encore, Je savais tout sur ton avenir et je pariai Ma vénusté que, sous Mes soins, le portrait que la Divine s’en faisait allait être source d’une dévastatrice Déception faisant couler son rimmel cosmique en flots lugubres. J’avais cela en tête en créant les religions, ces machines à fabriquer de l’idolâtrie en chaîne, car soyons probes et licites, ne fallait-il pas que vous, humains, provende de bestiaux, soyez dominés par la peur, la haine et dès lors, comment torpiller une telle occasion ? Je vous ai offert des dieux, des déesses, puis un seul Dieu, à Mon Image bien sûr, un Dieu de Jactance Suprême, dénué de toute commisération, punissant, menaçant, que vous avez adoré comme des niais, frisant l’épectase, bref on n’a parlé de Moi dans Hénoch, tu n’as pas déjà oublié ? Et que dire de cette Bible où Dieu se dit l’Amour absolu ! N’aie crainte, il n’y a rien de tel pour Celui dont tu lis la Céleste biographie dans vos écrits dits saints pour éviter toute confusion. Ce Dieu-là est Ma création. Une galéjade de proportion cosmique. Et il te hait ! Mais de mieux en mieux, vous êtes tous dans la triste obligation, contre enfer promis, de l’adorer et blattes que vous êtes, vous le faites. Pauvres monothéistes atteints de crétinisme aigu que vous fûtes et – rires dans la salle – que vous êtes encore. Mes meilleurs élèves ! Vous n’existeriez pas, il faudrait vous élucubrer pour cirques ambulants le jour, puis vous incendier pour faire la fête le soir venu, une mesure coruscante s’il en est une.

Je m’égare et j’erre, parler de toi et de tes semblables me rend cacochyme, valétudinaire. Or, voici donc que l’extrait de singe qu’est l’humain éprouve des besoins physiques essentiels avec lesquels aucune marge de manœuvre n’est ostensible. S’il veut vivre, et il y tient semble-t-il, pour mon plus grand blasement trempé dans le dégoût, il se doit de respirer, de boire, de se nourrir, de se purger des déchets de son corps déjà miasmatique et nidoreux, de dormir et de se reproduire, mais sans périodes de rut et plutôt à tout venant, ce qui allait M’offrir de très larges ouvertures sur une éventuelle conduite si plaisamment abusive. Le pleutre mièvre qu’est l’humain, dont tu es, a besoin d’un environnement stable, il ne peut vivre constamment dans la souleur des éléments et des prédateurs, il doit donc se sentir en sécurité le petit, et ressentir le moins d’affres possible, sa nature trop branlante supportant mal l’orage. Encore de larges portes qui s’ouvraient à Moi. Je vénère l’anxiété et l’insécurité, il n’est guère de terre plus fertile pour la saturer de Mon aconitine préférée et démontrer aux Univers quelle poisse vous êtes. L’humain, aussi laid et difforme soit-il, ressent en tout temps l’urgence d’être prisé, estimé, et pourquoi pas admiré, aimé et dans certain cas adulé. Portes, portes, encore des portes, cet animal est un gruyère ! Que J’aime donc ces aménités.

Pour s’occuper à engraisser son corps mal velu, puant le margouillis, cet héritage des singes qui ont eu la sagesse de demeurer comme tels encore à ce jour, il allait donc développer des fiefs spécialisés telles l’agriculture, la pêche, la chasse et acquérir des talents de bâtisseurs, de constructeurs, d’inventeurs pour protéger sa charpente fragile comme du verre et ce chyme duodénal infect avec lequel il croit réfléchir. Il allait donc forger ce qui n’existe nulle part ailleurs dans le monde animal, un jouet extrêmement bien musqué et utile pour quiconque voudrait le manœuvrer : un égo de taille lilliputienne ou d’une ville entière.

Ah l’égo ! De la pâte à modeler pour Mes doigts fins et blancs comme la lueur d’une lune sépulcrale. L’intelligence aidant, allait se développer et grandir dans la démesure le besoin de quintessencier son milieu et de le protéger. Ce seul et unique propylée, immense, allait Me permettre de lui offrir le césarisme, la domination par la force, le besoin pugnace de rendre ses armes de plus en plus alambiquées, provoquant rébellions et belligérances à n’en plus finir. Peut-être alors la Divine n’allait pas devoir le détruire. Le crétin de naissance allait le faire lui-même et de cette glaire verdâtre sur le salon de l’univers de la Pécore Divine, on ne parlerait plus jamais.

Toujours en ces temps anciens, en tant que Créature, dit le Diable, Je puis ainsi augurer que la grotte, la caverne ou le sommet de l’arbre allaient être remplacés par des constructions plus élaborées, fortifications et châteaux forts. J’avais l’éternité comme manœuvre dilatoire. Cela Me permettait de prédire la nature des prochains halliers dans lesquels cette pouacre répugnante allait se prendre les pieds, y fonçant tel un aurige et chutant dans mes enfers tout spécialement caligineux et conçus pour elle, mais que finalement on me refusa ! Caprice de Mère, la Divine, qui comme bien des rombières gâchées par l’Éternité a sans doute peur du feu.

La suite dans l’article 33.

(Ce texte de Jean Casault ne peut être reproduit sans autorisation)


Glossaire des mots rares

  • Abjection : État de celui qui est infect.
  • Abscons : Mystérieux.
  • Abjurer : Violer.
  • Acabit : Type, sorte.
  • Aconitine : Poison mortel.
  • Acrimonie délétère : Fiel toxique.
  • Adjurer : Supplier.
  • Admonestations : Punition châtiment.
  • Ad nauseam : Jusqu’à s’en rendre malade.
  • Adouber : Le Roi ou la Reine adoubait un homme pour en faire un Chevalier. Se situe dans ce contexte.
  • Affidé : Fidèle et capable de tout pour son maître.
  • Affres : Grandes angoisses.
  • Agape : Repas joyeux.
  • Agreste : Grossier et primitif.
  • Ahra Manyu :  Nom persan d’Ahriman.
  • Algarade :  Échange de mots violents et dans ce contexte incitant à la violence.
  • Alambiquées : améliorées à l’extrême.
  • Alanguir : Se fatiguer.
  • Amaurose : Aveuglement.
  • Amblyope : Aveugle d’un œil.
  • Aménités : Faiblesses.
  • Amphigouri : Propos qui ne fait aucun sens.
  • Anadipsie : Soif excessive.
  • Anagnoste : Lecteur.
  • Anagogie : Élévation de l’âme.
  • Anamnèse : Relatif à la mémoire.
  • Ancillaire : Destiné à être servile.
  • Acrimonie : Une grande hargne.
  • Appétences : Besoins.
  • Aphteux : Malade
  • Apologue : Un court récit.
  • Arcane : Secrets.
  • Archontes. Grands dirigeants.
  • Arguer : Présenter un argument, souvent pour conclure.
  • Arlequinade : Comédie burlesque.
  • Arpions : Pieds.
  • Ascaride : Ver parasite.
  • Aspiole : Une sorte de Génie.
  • Ataraxie : Quiétude absolue de l’âme.
  • Atavisme : Caractères génétiques qui font leur réapparition.
  • Atma : Âme.
  • Augias : Dans ce contexte, fait allusion aux écuries nettoyées par Hercule.
  • Augurer : Prédire.
  • Aurige : Conducteur de char romain.
  • Bancal : Dans ce contexte, qui ne fonctionne pas, imparfait.
  • Barbante : Ennuyant à mourir.
  • Béjaune : Sot stupide, ignorant.
  • Bibliomanes : Lecteurs.
  • Bigarrés : Hétéroclites, variés.
  • Bigoterie : Lèche-bottes.
  • Biscornu : Absurde.
  • Bistre : Terne, sombre, sans éclat.
  • Bourbeux : Boueux ou vaseux.
  • Bourriches : Têtes.
  • Bubons : Ganglions gonflés par la peste bubonique.
  • Byzantin : Dans ce contexte, expression cynique supposant avec grand goût.
  • Cacade : Excrément humain.
  • Cacochyme : Vieux.
  • Caillette sapiens : Dans ce contexte, la boulette de porc gras qui pense.
  • Calancher : Mourir.
  • Caligineux : Ténébreux.
  • Casus belli : Raison de faire la guerre.
  • Césarisme : Tyrannie.
  • Céladon : Fade, terne.
  • Chimère : Projet séduisant, mais irréalisable, une illusion.
  • Chorège : Chef.
  • Chyme duodénal : Dans ce contexte, on compare le cerveau à une partie de l’intestin.
  • Claboter : Mourir.
  • Cloaque : Endroit malsain, impur.
  • Coercible : Qui oblige.
  • Controuver : Mentir, inventer.
  • Coruscante : D’une éclatante brillance.
  • Coprolithe : Excrément.
  • Crapoussin : Petit être méprisable.
  • Cruor : Dans ce contexte, du sang.
  • Déhiscence : Séparation cruelle.
  • De facto : De fait.
  • Délétère : Qui met en danger.
  • Délinéament : une forme quelconque adoptée.
  • Délictueux : Criminel.
  • Démiurge : Divinité qui donne forme à l’univers.
  • Déplétion : Dans ce contexte une baisse dramatique de la vitalité des organes du corps.
  • Derche : Cul, dans ce contexte.
  • Déréliction : Solitude morale.
  • Dessiller : Ouvrir les yeux.
  • Deus ex machina : Du théâtre. Dans ce contexte : personnage magique qui sauve tout un chacun.
  • Devancier : Qui nous précède, dans le contexte.
  • Diaprer : Rendre plus attrayant.
  • Dilacérer : Déchirer avec violence.
  • Dilatoire : Dans ce contexte, dans le but de retarder.
  • Dilettantes : Passionnés.
  • Dipsomane : Alcoolique.
  • Diserte : Qui s’exprime avec grande aisance.
  • Dithyrambes : Éloges, très…élogieux.
  • Donation : Cadeau.
  • Drosophile : Mouche domestique.
  • Drosser : Dévie de sa course.
  • Dupeur : Menteur.
  • Dyptique : Portrait en deux tableaux.
  • Ectoplasmique : Évanescent, comme de la fumée.
  • Égrégore : Esprit de groupe influencé par les désirs communs de plusieurs individus réunis sous un but commun.
  • Électuaire : Médicament utilisé comme mélange pour certaines drogues.
  • Élucubrer : Dans le contexte inventer une extravagance.
  • Émonctoire : Canal servant à l’élimination des excréments.
  • Empyrée : Le lieu le plus élevé des Dieux grecs.
  • Engeance : Catégorie de gens méprisables.
  • Épectase : Mourir en plein orgasme.
  • Érubescent : Qui devient rouge.
  • Escobarderie : Mensonge
  • Étriller : Battre de façon manifeste.
  • Excrétion : Excréments.
  • Fadasse : Terne, sans aucune envergure.
  • Faisandé : Se dit d’une viande vieillie
  • Fatuité : Très haute satisfaction de soi-même visant l’extrême vanité.
  • Faustien : Allusion au pacte diabolique signé par le docteur Faust de Goethe.
  • Fiefs : Dans ce contexte, spécialités.
  • Filouter : Enlever, kidnapper.
  • Formique : Qui vient des fourmis.
  • Fuligineuse : Qui ne comprend rien.
  • Gabegie : Gaspillage inconsidéré.
  • Galéjade : Une blague.
  • Gamète : Dans le sens d’une cellule.
  • Gaupe : Prostituée dans un sens peu avantageux.
  • Géhenne : L’Enfer.
  • Glaires : Accumulation de mucus.
  • Gloser : Expliquer, éclaircir.
  • Godiche : Stupide, idiot.
  • Gonades : Fait partie des organes sexuels.
  • Grège : Variété de gris.
  • Groumer : Ronchonner faire le bruit d’un cochon.
  • Halliers : Buissons épineux.
  • Harpailler : Insulter.
  • Herbes Rhodes : Herbes hautes qui parsèment toute la savane africaine.
  • Hobereau : Paysan sans envergure.
  • Hubris : Une grande démesure.
  • Idoine : Propice aux besoins de.
  • Immarcescible : Inaltérable.
  • Impassibilité : Calme.
  • Impavide : Ne pas avoir peur.
  • Impéritie : Incompétence.
  • Impécuniosité : Manquer d’argent.
  • Inadéquation : Inadapté pour effectuer…
  • Inanité : Être vide.
  • Inappétence :  Manque de désir.
  • Incoercible : Que rien ne peut contenir ou retenir.
  • Indicible : Extraordinaire.
  • Inénarrable : Invraisemblable.
  • Insidieux : Le diable qui trompe.
  • Intrication : Qui s’enchevêtre, s’emmêle.
  • Ire : Colère.
  • Iridescent : Luminescence nacrée.
  • Jactance : Arrogance.
  • Jacter : Parler.
  • Jaculatoire 😦 oraison) Prière ardente.
  • Jérémiades : Plaintes incessantes.
  • Jésuitisme : Associé à l’hypocrisie et utilisé pour dénigrer les Jésuites.
  • Jugulaire : Artère importante dont l’incision peut provoquer une mort rapide.
  • Languide : Abattu.
  • Lavure : Une eau non potable.
  • Licite : permissif, honnête, qui a le droit de…
  • Lilliputienne : De très petite taille.
  • Limbique : Système cervical du mot limbe signifiant ici une frontière entre différents autres systèmes.
  • Liquette : Limace.
  • Loche : Limace de grande taille.
  • Logorrhée : Paroles incompréhensibles.
  • Lucifère : Ce qui porte la lumière.
  • Lulibérine : Hormone de la libido.
  • Magistère : Enseignement du Maître.
  • Malpiteux : Sans pitié.
  • Malthusien : De Malthus qui voyait en la surpopulation la fin de l’humanité.
  • Mammon : Un des sept princes de l’Enfer associé à l’avarice.
  • Margouillis : Excréments dans ce contexte.
  • Marivaudé : Dans ce contexte : écrit avec prétention.
  • Mazouter : Contaminer.
  • Mégotage : Avarice.
  • Mélopées : Chants tristes.
  • Méphitique Odeur repoussante.
  • Mésaise : Situation créant un malaise.
  • Miasmatiques : Qui dégage une odeur fétide.
  • Mignards : Dans ce contexte, petits et faibles.
  • Mièvre : Fade.
  • Mitan : Centre.
  • Mnémonique : Relatif à la mémoire.
  • Morigéner : Punir.
  • Mouise : Pauvreté extrême.
  • Mouscaille : La misère, difficultés de la vie.
  • Munificence : Générosité.
  • Myrmidon : Homme insignifiant et de petite taille.
  • Nécrose : Relatif à la mort.
  • Nicolaïtes : Secte juive très ancienne vénérant Satan.
  • Nidoreux : Mauvaises odeurs.
  • Nitescence : Éclat.
  • Nitide : Blancheur sublime.
  • Niquedouille : Niais.
  • Notule : Commentaires en notes, pamphlets.
  • Obduration : Persistance dans le mal.
  • Obombrer : Obscurcir.
  • Obsidional : Sorte de délire de persécution.
  • Obvier : Éviter.
  • Oiseux : Sans aucun intérêt.
  • Omnipotentis : Du latin, Toute puissance.
  • Onanisme : Masturbation.
  • Opuscule : petit livre, petit ouvrage, brochure
  • Orbe : Dans ce contexte, sans fenêtre ou sans ouverture.
  • Oryctérope : Semblable au tatou.
  • Ostensible : Qu’on remarque.
  • Ostéocytes : Cellules osseuses.
  • Ostracisme : Frappé d’interdit, banni.
  • Pandémonium : Cité des enfers.
  • Panouille :  Un être stupide.
  • Paradigme : Le modèle avec lequel on travaille.
  • Parentèle : Dans ce contexte, mariages consanguins.
  • Paréidolie : Tendance naturelle de voir des formes concrètes même lorsqu’abstraites comme un nuage en forme de lapin.
  • Pax mundi : Paix mondiale.
  • Pécore : Femme prétentieuse et stupide.
  • Péremptoire : Qui ne tolère aucune objection, final décisif.
  • Pérenne : Qui suggère presque une éternité.
  • Phébus : Orateur au langage obséquieux.
  • Piétaille : Servants, subalternes.
  • Plébéiens : Qui vient de la plèbe, du peuple.
  • Pleutre : N’ayant aucun courage.
  • Polymathe : Génie en de nombreuses disciplines.
  • Poncifs : Banalités.
  • Pouacre : Très sale.
  • Pretintaille : Qui joue un rôle explicatif.
  • Probe : Honnête.
  • Propylée : Dans ce contexte une très grande porte.
  • Provende : Mélange d’aliments destiné au bétail sur une ferme.
  • Pugnace : Propension à faire la guerre.
  • Quintessencier : Améliorer grandement.
  • Reîtres : Guerriers brutaux. Grossiers et très violents.
  • Rets : Pièges.
  • Ritualisme : Observance stricte des rituels.
  • Rombière : Terme peu flatteur désignant une femme.
  • Sabouler : Donner une sévère raclée.
  • Sac de stomie : Utilisés par les gens ayant subi une déviation de l’intestin.
  • Sanie : Pus.
  • Sardanapalesque : Qui étale un luxe tapageur et démesuré.
  • Saugrenuité : Ce qui est saugrenu, soit absurde et ridicule.
  • Scories : Dans ce contexte : les éléments jetables.
  • Séide : Être atteint d’une servilité fanatique.
  • Simiesque : Relatif au singe.
  • Solécismes : Dans ce contexte : sorte d’erreurs graves.
  • Sophisme : Fait de mauvaise foi.
  • Souleur : Peur terrifiante.
  • Spécieux : Trompeur.
  • Spin docteur : Conseiller en communication d’une personnalité politique dans le but de toujours la mettre en valeur.
  • Stropiats : Infirmes.
  • Suidés : Famille à laquelle appartiennent entre autres le phacochère et tous les porcins.
  • Superfluité : Inutile, superflu.
  • Syntagme : Groupe de mots.
  • Telos : Du grec, but, intention, objectif.
  • Thaumaturge : Qui accomplit des miracles.
  • Théocratie : Société dominée par la croyance en Dieu ou en un système de dieux.
  • Théophanie : Dans ce contexte prétend être une manifestation de Dieu.
  • Thésaurisation : Action compulsive de ne rien jeter.
  • Thésauriser (se) : Accumuler de l’argent sans investir. Allusion à Séraphin dans ce contexte.
  • Thuriféraire : Celui qui porte l’encensoir ou tout autre symbole analogue selon le contexte.
  • Tissue Universel de la Matrice : Expression utilisée en métaphysique appliquée pour désigner l’ensemble des univers visibles et invisibles.
  • Topique : local, qui ne dépasse pas les limites de l’action en cours.
  • Toquade : Obsession.
  • Torchonnant : Travail mal effectué.
  • Trente Glorieuses : 1946-1975.
  • Tribade : Homosexuelle.
  • Ubéreux : Fertile.
  • Uchronie : Imaginer les conséquences futures d’un fait historique.
  • Valétudinaire : Vieux.
  • Vaticiner : Prophétiser l’avenir.
  • Venaison : Viande, chair.
  • Vénalité : Cupidité.
  • Vénusté : Beau comme Vénus, la planète associée à Lucifer.
  • Vérace : qui dit la vérité.
  • Vésanie : Moments de pure folie.
  • Vespa : Dans ce contexte on parle du frelon asiatique.
  • Vétustes :  Antiques.
  • Veulerie : Lâcheté, couardise.
  • Viduité : Vide total.
  • Vultueux : Laid et bouffi.
  • Walkyrie : Dans ce contexte, femme combattive et au physique impressionnant.
  • Yersinia : Yersinia pestis, le virus de la peste.

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L’ère nouvelle

Jean Casault croit sincèrement que nous sommes en plein développement vers une nouvelle ère. Il sait que cela ne se fera pas sans heurts et assez curieusement la crise internationale de la COVID-19 lui donne peut-être raison, comme si nous étions confinés dans un cocon avant de déployer nos ailes. Ce livre recèle également de fabuleux exemples de Vols de nuit, ces rêves… qui n’en sont pas.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



Catégories :Le Mal

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6 réponses

  1. Je crois que le Mal existe, en faite je suis persuadé qu’il existe, je veut dire par la, c’est que je crois qu’il y a des forces maléfique qui existe dans le monde invisible qui nous entoure en permanence et qui opère sur Terre, je veut dire il y a tellement de témoignage distincts de différente personne d’un peut partout sur Terre qui le démontre, je veut dire nié l’existence des forces du mal parmi les humains serait a titre de comparaison comme si cela reviendrait a affirmé que la Terre n’est pas ronde mais qu’elle est plate, bref…je crois que toute les choses suivante c’est a dire les esprits frappeurs, les expériences de possessions démoniaque et de hantise et toute les autre type connexe d’expériences que de très nombreuses personnes affirment avoir vécu (subit) qui ont un lien avec les entités malfaisante et/ou démoniaque du monde invisible qui nous entoure en permanence, a mon humble avis a la lumière des très nombreux témoignages d’un peut partout a travers le monde, ils devraient être considéré comme étant des phénomènes naturel, je veut dire par la qu’il semble évident qu’ils font partie naturellement et depuis toujours de la vie de l’être humain,

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    • Ce que je retiens de ce texte est que, malgré cette puissance maléfique décrite avec pour le moins qu’on puissent dire <> en employant des termes très inhabituels à faire rougir d’envie les membres de la très célèbre Académie Française, il nous dit que malgré lui il est quand même soumis à la volonté de la très grande Mère Divine… Est ce que ça pourrait vouloir dire que nous sommes tout de même entre de bonnes mains? Qu’une très grande puissance bénéfique est là qui, comme une Mère aimante surveille de loins ses rejetons expérimenter librement leurs choix? Je pense que Oui.

      Aimé par 3 personnes

    • Suite a mon commentaire précédent, je tiens juste a préciser quelque chose qui je crois est pertinent a mentionné, se que je veut préciser c’est que a la lumière de mon propre vécu et aussi des nombreux témoignages distincts de plusieurs personnes d’un peut partout a travers le monde, c’est qu’il semble évident que de s’intéresser a tout se qui se rapporte au diable, à Satan et autre sujet connexe du même type, quand je dit s’intéresser je vaut dire par la de joué et/ou d’utiliser des jeux comme Ouija et/ou de consacré son temps et ses énergies a regardé des images satanique et/ou a penser souvent a se genre de chose, fait a la longue rendre ses gens la dépressif et même ils peuvent avoir des idées noir (des idées suicidaire), je veut dire par la qu’il semble évident que s’intéresser a se genre de chose attire les forces du mal et/ou démoniaque et donc je crois que je peut déduire que ses forces du mal se colle a l’âme des personnes qui joue et/ou s’intéresse trop passionnément a se genre de chose. Moi par exemple quand j’étais adolescent je m’intéressais a se genre de chose et a cause que m’intéressais a se genre de chose, je ressentais durant cette période la une sorte de lourdeur, de la déprime et des idées noir qui m’habitais presque en permanence et ensuite à l,âge de 16 ans j’ai vécu une expérience très étrange qui ma fait beaucoup réfléchir et changé sur différent aspects de ma vie, pour ceux et celles qui connaissez mon histoire de vie, c’est a dire les expériences étrange qui j’ai vécu, donc vous savez de quoi je fait allusion, mais pour ceux et celles qui l’ignorez, je raconte cette expérience que j’ai vécu a la fin de se commentaire.

      Donc c’est a dire ensuite à l’âge de 16 ans graduellement durant ma vie j’ai réaliser que m’intéresser a se genre de chose (des choses satanique) étais néfaste pour mon épanouissement et donc j’ai décidé d’arrêter complètement de m’intéresser a se genre de chose et ensuite j’ai ressentie une bonne différence, c’est a dire mes états d’âme étais beaucoup moins lourde, je me sentais beaucoup plus léger et ensuite graduellement de façon automatique et naturel je me suis tourné vers les choses positive et ma vie a pris une tournure beaucoup plus joyeuse et agréable (dans une certaine mesure que je puise dire ça) et se malgré toute les autres épreuves qui j’ai vécu (subit) durant ma vie. Et j’ai maintenant 47 ans..

      Donc voici cette expérience :

      Cette expérience est survenu en 1990 quand j’étais âgé de 16 ans a Cartier (c’est un quartier a Laval (Québec)), au Centre de réadaptation Cartier.

      Je vous met un peut dans le contexte, avant de vous racontez cette expérience, pour que vous compreniez mieux cette expérience.

      Ce centre est très gros (c’est comme une prison pour jeune) et dans chaque unité fermé, il y a environ une douzaine de chambre, des très petite chambre qui sont fermé (la porte de ses chambres sont fermé et barré la nuit).

      Description de la chambre :
      Il y a pas de fenêtre sur les murs, les murs sont fait en béton (ciment), le sommier du lit (base du lit) est moulé après le plancher, il est fait en ciment, et il y a un petit matelas simple par dessus, il y a une très petite table qui est fixé avec des vis après le plancher, et une petite chaise pour cette table, il y a un interphone dans le mur de la chambre,et il y a défois de la musique dans cette interphone, et dans la porte de la chambre il y a une petite fenêtre qui est fait sur le long (verticalement), et quand ont regarde par cette fenêtre ont voient un étroit corridor qui longe toute ses chambres. Et un peut plus loin dans cette unité, il y a un salon avec une télévision et se salon a une porte qui est fermé quand il y a les jeunes et les éducateurs de l’unité qui écoute la télé et/ou un film.

      Voici cette expérience :
      A ce moment la, quand sais arrivé, j’étais très triste et très découragé. J’étais dans ma chambre, coucher dans mon lit, le visage tourné du côté du mur, ma porte de chambre était fermé, l’interphone était fermé, et tout les autres jeunes avec les éducateurs était dans le salon entrain d’écouté un film, et la porte de se salon était fermé. Alors j’étais couché dans mon lit, le visage du côté du mur, et je pleurais, je venais juste de me grafigné les veines des poignets avec une canette de liqueur que j’avais déchiré avec mes mains, alors après m’avoir grafigné les poignets, je me suis couché dans mon lit, et je pleurais, quand tout a coup, j’ai entendu une voix d’un homme (et cette voix ne venais pas de dedans ma tête, mais de l’extérieur de moi), c’était une voix très calme, très douce, très apaisante, et cette voix ma dit “tourne toi”, et quand j’ai entendu cette voix, j’ai ressentie une émotion très intense, je ressentais que cette voix me transmettais une espèce d’énergie, je me ressentais très rassuré, très réconforté (autrement dit, cette énergie que je ressentais fortement était très rassurante, très réconfortante) et j’ai fortement ressentie que cette énergie m’enveloppais d’un amour inconditionnel, je me suis sentie tellement bien.

      Voici, premièrement lorsque j’ai entendu la voix extrêmement rassurante remplie d’amour inconditionnel d’un homme a la voix calme me dire “tourne toi”, à l’âge de 16 ans au centre d’accueil fermé a Laval en 1990 et qu’en suite le lendemain, j’allais un peut mieux moralement, j’avais des bandages sur les poignets, quand par hasard, j’ouvre une bible (catholique), se que je fait jamais, car j’aime pas du tout se qui a rapport a la bible et a les religions et j’ai ouvert cette bible et vers le milieu de la bible (et je n’es pas changé de page), le premier mot que j’ai lue en ouvrant cette bible était “tourne toi”, la je me suis dit, WOW ! qu’est-ce qui se passe, j’étais vraiment très saisi (figé) et très impressionné par tout ça, (s’est a dire d’avoir entendue une voix me dire “tourne toi” et ensuite le lendemain d’avoir trouvé une bible par hasard en en ouvrant cette bible vers le milieu de la bible, le premier mot que j’ai lu en ouvrant cette bible a été “tourne toi”). Moi je ne crois pas du tout au hasard et/ou au coïncidences dans la vie, je suis convaincu que certaine choses qui nous arrive dans la vie, ont une raison d’être et même si parfois ont ne les comprend pas et j’ajouterais ceci, il semble évident qu’une entité que l’ont peut aussi nommé « ange gardien » et/ou « guide spirituel » qui habite en permanence le monde invisible qui nous entoure, il a et/ou ils ont faite en sorte, je ne sais pas trop comment, mais ils ont faite en sorte de contrôlé le cerveau et par le fait même les gestes et/ou les actions de cette personne de façon très subtile, c’est a dire sans que la personne en question s’en rende compte, je veut dire par la qu’il y a une entité qui vie dans se monde invisible qui a contrôlé le cerveau et par le fait même les gestes et/ou les actions pour trouvé une bible et ensuite la déposé au bon endroit au bon moment, pour qu’ensuite je la trouve. Et je dois aussi préciser que j’ai vécu un ans environ dans se centre d’accueil (dans l’unité fermé) et je n’est jamais vue aucune bible a aucun moment et n’y a aucun endroit dans l’unité fermé.

      *Petite précision:
      Quand je dit: j’ai entendue une voix remplie d’amour inconditionnel, très calme, très rassurante et très paisible d’un homme me dire “tourne toi”.
      Je veut précisé que j’ignore si s’était un homme, car je le voyais pas physiquement, je veut précisé que cette voix avait l’apparence et/ou le même timbre de voix qu’un homme, mais s’était sûrement pas un humain.

      Alors durant les les jours, les semaines, les mois et les années qui ont suivi cette expérience, j’asseyais de trouvé se que voulais dire “tourne toi”, et avec le temps, j’ai réalisé, compris qu’il fallait que je me tourne vers les autres, m’ouvrir aux autres, ne pas me renfermé sur moi même, autrement dit, parlé aux autres de se que je ressentais dans ma vie et dans mon quotidiens et il y a aussi je crois avoir compris a travers se message « tourne toi » de me tourné vers les choses positive et non vers les choses satanique comme j’avais l’habitude de faire.

      J’ai oublié de vous mentionnez que : tout de suite après avoir entendu cette voie me dire “tourne toi”, j’ai arrêté de pleuré d’un coup sec et je me suis assit sur le bort de mon lit et j’ai dit a haute voix, »qui a dit ça !!! », bien sur personne ma répondu, et il y avait personne dans le corridor, car ma porte de chambre était fermé et tout le monde était dans le salon entrain d’écouté un film.

      Et je tiens juste a préciser que je ne suis pas fou, autrement dit, je ne suis pas schizophrène, car je n’es jamais entendu d’autre voix avant cette évènement dans ma vie et je n’es jamais entendu d’autre voix dans ma vie après cette évènement.

      Aimé par 1 personne

  2. J’ai eu l’envie d’arrêter ma lecture après le premier paragraphe, mais j’ai poursuivi ma lecture jusqu’à la fin parce que je suis curieuse.

    C’est ardu de lire quand il faut chercher la signification de certains mots savants qui à la fin ne veulent pas dire grand-chose de nouveau. Pour plusieurs mots employés rarement dans le langage populaire, avant de consulter le lexique, je me suis amusée à deviner leur signification. C’est du français.

    Anson Mount est un personnage glauque. Son écriture est sinistre sans reflet lumineux. L’Amour et l’espoir ne font pas partie de son esprit. Il a dû canaliser une forme d’énergie du mal comme d’autres canalisent l’énergie du bien. J’aurai une pensée d’amour pour lui!

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    • Anson Mount n’a rien à voir avec ce texte, il faut lire correctement. Son VISAGE sur cette photo est une fidèle reconstitution de celui observé dans une rencontre en sortie extra-corporelle de ma part. Ne mêlez pas les cartes.

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