
Il est suggéré de consulter le glossaire à la fin de ce texte afin de mieux comprendre certains termes utilisés dans cet article.
Ainsi que dit plus tôt, l’humain pouacre allait se jeter dans mes enfers, mais qui me furent refusés. La satisfaction de besoins impérieux contre lesquels cette larve, ce stropiat, ne pourrait rien, l’obligerait à morigéner son prochain et modifier son milieu. Il voudrait faire cuire sa nourriture, il voudrait l’accumuler pour éviter les disettes et ne point la perdre et la protéger aussi contre les rapaces. C’est là que le raffinement byzantin allait se produire. J’aime le raffinement et plus il était oiseux, m’y opposer, je n’allais point faire. Cela l’eut contraint à jouer la bête ayant tout de la bête, or il fallait qu’il joue l’homme, le savant, le sais-tout et que malgré cette arlequinade au travers de laquelle on devine la venaison, fruit de multiples parentèles, on puisse en humer le désagrément profond.

Tout cela que pour le plaisir, sans aucun ostracisme ! Raffinement, raffinement que Je t’aime donc, ça et ton ego, petite ordure, voilà ce qui va te perdre, sanie ambulante, et me garantir par milliards un jour, des carcasses enfumées. Cela ne saurait tarder, la Divine Mairesse des Cieux ne peut quand même pas être sourde, gourde et amblyope éternellement.
Avec le temps, c’est ce que J’allais stimuler en lui, de sorte qu’il se concentre sur des moyens et des mesures sophistiquées et qui dit sophistication, évite d’être poncif et dit recherches de matériaux dignes au moins d’un hobereau, développement de valeurs artistiques, mais aussi l’acquisition de toutes ressources humaines et matérielles de plus en rares et de haute qualité pour y parvenir. Tu vois les rets tenus pour qu’il s’y précipite ? Et il le fit de bonne grâce sans même que j’eus à lui en souffler le désir. Vous avez perpétué la bêtise abyssale avec en plus, un sourire de porc sur les lèvres. Je pu donc vaticiner que va nu-pieds, chassant l’oryctérope aussi laid que lui-même et ramenant sa pitance pour que l’une de ses femelles grasses comme une truie en extirpe la viande avec ses dents pourries, il voudrait changer tout cela pour mieux. Et déjà, Je le voyais à bord de son luxueux VUS armé d’une carabine longue portée abattre une bête pour le plaisir de tuer et laisser les carnassiers se réjouir de cette agape, alors qu’il reviendrait chez lui, écluser une bouteille, entuber sa truie et raconter son exploit sur les intrusifs réseaux sociaux.

Mais connaissant la faune qu’est l’humanité, d’autres comme lui voudraient l’en empêcher, il lui faudrait réguler toutes les ressources et tout système de regroupement par la ruse ou par la force, sans jérémiades. Puis, il lui faudrait établir des règles sévères dont toute infraction pourrait mener à des châtiments exemplaires, malpiteux, tortionnaires, non conçus pour des mignards surtout la mort lente. Une fois tout cela mis en place, c’est alors que Je ferais naître le mamonisme, son pouvoir absolu et la tyrannie. Quel aspiole je fais. Si peu à faire et déjà il Me tombait dans les mains, l’anchois panouille, heureux de l’être, comme toi, face de porc farci !
Quand l’homme puant la fiente fraîche s’y sera vautré durant plusieurs millénaires à en devenir aphteux, Me suis dis-Je, le Créateur de ces rampants ne pourra qu’acquiescer et comprendre son mécompte et Me récompenser grandement pour la nitescence de Ma clairvoyance et de Mon génie !
Le mamonisme
Ne perd pas ton temps, ce terme est une chimère de Mon cru. Ce mot vient de Mammon qui n’est autre que la richesse matérielle sous la personnification inepte, fruit d’une gourde qui croit penser, d’une de vos divinités appelée ainsi. En tant que Créature éternelle vouée à la destruction de plébéiens ubéreux, Je n’allais certes pas imposer à ces godiches un système financier similaire à celui qui existe de vos jours. Vous n’étiez tous alors que des attardés uniquement préoccupés par des considérations primitives de perpétuation de ton espèce saugrenue. Palabrer sur le produit national brut et la gestion de crédits au regard de la valeur d’une monnaie par rapport à une autre à de parfaits débiles fadasses à peine capables de grogner, allait attendre. Je devais impérativement planter une sinistre gamète, créer un besoin mortel, le rendre aussi essentiel que faim et soif, mais hautement calamiteux par la dépendance vitale ainsi créée, alors J’inventai l’innocent troc comme première mesure. Je garde en anamnèse vos expressions littéraires les plus profondes : « Moi donner banane, toi donner grosse noix ».

Pour que tu comprennes, une libéralité que je consens, puisqu’Elle m’a ordonné de t’entretenir de mes desseins, J’ai compris que Je devais créer d’impérieuses appétences similaires à celles existantes pour la survie. Les mots Éblouissant Génie Créateur te viennent à l’esprit, n’est-il pas ?
L’argent est une valeur x donnée, reconnue partout pour être transigée contre un bien ou un service de même valeur, mais autrefois, cela s’effectuait par un bien ou un service évalué sur le tas par l’acquéreur. Je m’efforce de choisir des mots d’enfants alors tu suis ou je t’égare ? C’était l’amorce du système à venir, mais très limité, à ton image. De nos jours, avec ces trois W, le monde est à Mes arpions. Vous voyez tout, vous savez tout, vous croyez tout et vous en voulez plus et plus encore, car êtres irrassasiables que vous êtes, autant de démence vous agitant, rien ne vous comble. Votre veulerie s’étale et tout ce qui brille vous aveugle et tels des affamés du désert, vous vous jetez sur tout oasis même factice et pour Ma plus grande jouissance, vous le faites TOUS, toi inclus fiente de drosophile. La pie voleuse devrait être votre animal de totem collectif. J’y ai donc enfin trouvé Mon compte et j’ai poussé la note. Une fois cet auguste portail ouvert sur votre viduité congénitale et transmissible, tels des pourceaux possédés, vous vous êtes jetés dedans sans même vous défier de l’hubris.
C’est là que le mamonisme est né, un besoin aussi essentiel que se nourrir et sans retour possible. Un besoin pérenne à l’échelle de l’humanité. C’est en mirant votre profonde insignifiance incarnée se jeter gaiement vers l’affadissement puis l’extinction de sa conscience, que Je me suis dit que Me reposer je pourrais enfin. Pas un humain n’allait pouvoir résister à l’irrésistible. Je vous tenais par les gonades, à pleines mains et mieux encore maintenant, et pour cela, votre pretintaille se précise. C’est le mamonisme qui vous perdra tous et à l’ombre d’un palétuvier sirotant un hydromel de Cluny entre les seins d’une énorme walkyrie, Je jouirai de tous mes orifices. Moi seul le peux ! C’est épique comme spasme et quand nous serons seuls toi et moi, je te l’enseignerai, de sorte que tu puisses crever plus hâtivement et répandre tes fluides pestilentiels sur la moquette de la Divine Mère. Je ne ferais quand même pas ça chez Moi !
En inventant l’argent, J’ai inventé la civilisation
Le piège a fonctionné comme prévu, car Je ne Me trompe jamais. Il y a bien encore quelques attardés ou débiles qui échangent un poulet pour des courges, mais ceux-là ne perdent rien à languir. Il est si facile de fomenter une guérilla, une haine subite, un vent d’algarade et soudainement, 800 000 corps flottent guillerettement dans un fleuve érubescent de cruor, dans l’indifférence absolue. Ah, que m’enivre tôt le matin, le son de la machette sur une nuque endormie ! Attendez que Je me souvienne, ah oui, ces crétins de cul-terreux du Rwanda, ça Me revient. Quels grands épisodes, sur vos écrans, c’eut fait un tabac !
En tes jours, le tourbillon virevoltant de la finance n’a plus rien à voir avec le passé simpliste. Mammon a grandi et tel que présagé par Moi-même, il est devenu la Bête essentielle et dont plus personne ne peut se passer, pas même pour un verre de lavure. Me vénérer ne suffit plus, il faut M’idolâtrer pour cela. À genoux, les mains jointes comme Je vous l’ai enseigné ! Allahu Akbar, c’est Moi ça aussi. J’aime bien les cervelles de bourriches européennes qui explosent comme des cantaloups sur le macadam à la faveur d’un attentat bien songé. Il n’y en a pas assez, c’est lassant à la fin cette pax mundi.
Mammon est une créature biblique, donc inventée, mais très ancienne, archaïque même, et que Matthieu, le spin docteur de votre Jésus, va citer en 6, 24 : « Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l’un et aimera l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon ». Et Je sais dont lequel tu préfères toi et ta termitière de cloportes ne suis-je point vérace ? Je vous tiens tous par les gonades je me répète et vos femelles, de toute manière, n’ont d’yeux que pour votre bourse, n’est-il point vrai ? Alors autant l’une que l’autre est aussi entre mes mains ! Ce qu’on s’amuse à ne point vous blairer ainsi, est si fécondant. Rendre un poison essentiel à la survie comme au bonheur, relève du génie le plus élevé. Même Lui votre Bon Dieu, n’y a pas pensé, trop embesogner à fabriquer des mondes pourris d’avance ici et là. Je ne taris plus de dithyrambes à Mon endroit. Personne ne peut vivre sans argent à moins de renoncer à tout, en squattant une cabane misérable dans la forêt se nourrissant de baies sauvages et de petits animaux abattus avec une fronde fait main et préférablement dans un climat tempéré, comme le font encore quelques agrestes et hirsutes tribus très rares et parsemées sous la canopée des forêts pluviales d’Amérique du sud notamment, et qui m’indifférent au plus haut point, que dis-Je, à un degré souverain bien au-delà de tes mots mêmes les plus biscornus ! Ils sont si près des singes qu’ils abattent à la sarbacane, qu’il m’arrive d’être confus. J’évite ces endroits rançonnés par la mouscaille, aucun intérêt.
Qui donc a dit que j’en voulais à vos âmes déjà ? Ah oui, ce Goethe polymathe à tête de nœud avec sa littérature lubrique et infantile de Faust ! Et bien, il avait tort, vous n’avez aucune atma ectoplasmique ou autre, c’est Mon invention et vous en auriez une que Je ne saurais qu’en faire sinon Me nettoyer le derche de ces déjections sales et répugnantes, si j’excrétais bien sûr, une de vos grandes passions quotidiennes ! Qui donc a dit un jour que c’était meilleur que de ramoner ? Ce que Je veux de vous est simple. Soyons vulgaire, Je veux vous voir tous calancher de bas en haut, du pelvis à la fontanelle et qu’on ne jacte plus jamais de ce projet de faire s’incarner dans le pus, l’Esprit issu de la Goûve.
Le mamonisme est donc Ma définition du caractère premier de l’argent sous toutes ses formes. Inutile de diaboliser l’argent, ce n’est pas lui le problème, c’est votre enchaînement et votre servage et c’est là où réside le mamonisme. Même toi et tes petits bibliomanes en érection devant Ma présence, dans vos saintes prétentions ne vous en pouvez plus si l’argent vient à manquer. Vous êtes tous comme des soiffards, des dipsomanes, des drogués à l’électuaire au fentanyl, incapables de vous sevrer, car si vous le faites, vous mourrez. Fais-le donc, Me rendre cette desserte serait si aimable de ta part. Ah, l’argent, Mon plus Aimé Laquais !
Le mamonisme fait ressortir le pire en vous
L’argent a de tout temps généré ce qu’il y a de plus vil en toi et ta race de suidés : l’envie, la jalousie, la cupidité, le mégotage et surtout la peur de l’impécuniosité, la peur de tout perdre, causant une formidable insécurité à la base de l’abandon de vos valeurs morales, déjà hypocrites au passage tels l’honnêteté, l’intégrité, la franchise, votre lutte contre le jésuitisme, la transparence, qui ne sont que de prétentieuses toquades typiques de votre viduité. Ne prenez pas cet air languide, elles servent à cacher votre hideuse et perfide nature intrinsèque, la bigoterie étant votre quotidien du lever au coucher voire aussi du coucher au lever dans vos oniriques excursions.
Tôt ou tard à échelle variable selon vos capacités, on ne peut demander à un vermisseau de potasser ses crimes avec sophistication, mais éventuellement ce sera par la commission d’actes délictueux ce qui sonne délicieux à mes oreilles, d’autant que par sa grande imagination, le cancrelat humain n’a aucune entrave. Mon Empyrée bien à Moi. Ma preuve devant la Divine Maman de ces crapoussins qu’obliger un Esprit pur à s’incarner dans un déambulateur d’excréments, narcissique et fier de ses crottes fut et est encore la plus ultime Nigauderie Divine qui soit. Oui, il m’arrive de l’harpailler Celle-là. Que peut-elle contre Moi, m’envoyer en Enfer ? Ça où dans Ma chambre !
Je termine enfin !
Ah, ce tintamarre, voilà que l’Archange Miquette remet ça. Couronnons ! En créant le mamonisme, admettez-le babouin puant, J’ai vu juste. Ne pouvant vous en passer et simultanément en n’en voulant toujours plus, car nul autre désir n’est plus probant que celui d’améliorer constamment votre condition, les plus faibles d’entre vous, les plus séides, dont toi lombric gluant, n’hésitent pas un instant à tout faire pour se thésauriser. Tu me suis très bien Je le sens, il suffit de respirer. Je ne comprends toujours pas comment Elle a pu accepter de mazouter l’Esprit en le rendant sensible à votre puanteur innée, incapacitante et si effroyable qu’il faut venir d’ailleurs pour s’en rendre compte. Mais Diable mire-toi dans une glace, tu pues, tu es hideux et contrefait sur tes pattes poilues, osseuses et repoussantes. Tu es difforme comme les monstres de tes contes, votre règne, à tous, achève ! Même Elle ne peut demeurer Gourde si longtemps.
La très grande majorité des gestes bourbeux et faisandés infligés par méchanceté et des crimes à importance croissante, du petit larcin banal aux meurtres de masse, commis par des particuliers ou des États sont générés par le mamonisme. J’ai vraiment visé au mitan et J’ai atteint mon but. Cinquante points, n’est-il pas ? Tant que l’argent sera au cœur de tout, rien ne s’arrangera sur votre monde, le mamonisme ayant imprégné la moindre de vos ostéocytes, tant sur le plan personnel que collectif. Pas de mélopées je vous en conjure. Tous les systèmes existants se dégorgent tous de la même manière en répandant leur flot fangeux, qu’importe leurs intentions, il en va donc ainsi de tous les arcanes de vos systèmes. Le mamonisme enclore tous les genres et personne n’y échappe. Je vous ai tous piégés, tous autant que vous êtes, incluant surtout vos archontes.
Laissez-m’en jouir en insistant. L’argent étant un bien essentiel, il s’ensuit plusieurs ruades devenues inhérentes à votre vile condition d’hominidé. La vénalité de votre essence à son plus grand naturel de posséder toujours plus d’argent, se répercute sur votre fragile conscience de godiche, d’une manière qui m’émoustille. En bonus, tout autant chez votre femelle engourdie, votre insécurité atavique est fascinante, vous permettant d’atteindre des pinacles d’avarice depuis les petits gestes radins jusqu’à la thésaurisation extrême, vous caractérisant par une défiance envers les moyens de paiement scripturaux, une accumulation de pièces sonnantes et trébuchantes. Vous de cette terre de Caïn, entretenez un personnage de fiction symbolisant cette maladie.[1] C’est tout à votre honneur, mais vous auriez dû en faire un saint et non un paria. Par contre, la cupidité collective n’existe pas sous ce terme, pas plus qu’avarice, ces termes religieux empruntés aux chrétiens et leurs thuriféraires.
Il y a bien un nom provenant de votre terrier qui convient. Les veaux de votre arsenal financier appellent cela le productivisme. Pas trop de syllabes ? Tu suis ? C’est un terme revendiqué par un certain Jacques Ellul.[2] C’est une productivité normale, mais branchée sur un soluté de stéroïdes. C’est parce qu’Elle m’y oblige, la Sainte Divine, que Je perds un peu de Mon éternité à t’enseigner ces choses, ignare décervelé. En ce qui Me concerne, Je t’aimais bien plus singe qu’homme, cela t’agréait et l’odeur est la même. Comme on dit chez vous, de la chierie de l’un ou de l’autre, on cause chierie !
Le mamonisme est d’une telle omnipotence terrifiante que produire que pour produire n’est plus la simple réponse aux besoins matériels d’une vaste population crasseuse de milliards de cancrelats, mais de tout simplement produire par hantise virale laquelle, pour Ma jouissance péremptoire, est devenue incurable et n’étanche plus aucune anadipsie et s’accélère de jour en jour, atteignant toutes les couches de la population en mesure de produire et de consommer. Car c’est là le but absolu et secret : n’apaiser aucune fièvre, mais en créer une plus monstrueuse afin d’accroitre la production et la consommation. Et comme le rapporte ce Ellul :

« Le productivisme est universellement considéré comme une fin en soi, il est sacralisé et cette sacralisation fait que tout système économique est intrinsèquement un système productiviste. Ainsi, avant même la destruction du mur de Berlin, le productivisme a été accepté par l’ensemble des acteurs politiques, aussi bien dans les pays communistes que dans les pays occidentaux acquis au capitalisme. Partout sur le globe, une immensité d’individus a vécu l’accroissement de la production comme un progrès, une promesse de bonheur, la voie naturelle de l’Humanité. »
Et ils y ont tous cru ! Son productivisme, c’est Moi qui l’ai conçu. Par sérendipité vous auriez pu le découvrir et comme cette femelle, Marie-Monique,[3] le dit. « Voilà pourquoi certains estiment qu’une majorité d’humains, du simple citoyen au dirigeant, a érigé la croissance économique au rang de dogme religieux ».
Je suis fébrile. Ah petite Mère Divine que ton règne achève et qu’on n’en parle plus. Épargne-nous de la tentation d’y remédier et faisons-les tous cadavérer ici comme au ciel. Tiens causons virus, pas cette insignifiance des années 20 et 21 de votre siècle si mal entamé, mais du costaud, de l’Ébola ou pourquoi pas le retour du règne des Bubons avec la petite et adorable Yersinia ? Je prendrais bien une absinthe du 19e moi pendant que tu sèches de douleur dans des draps souillés de sanie morbide.
Vous seuls pensez que 8 milliards d’humains peuvent survivre !
N’est-ce pas merveilleux ? Cette planète est incapable d’assurer un tel rythme de vie à ses huit milliards de limaces baveuses. Inspirer des réflexions malthusiennes ne fut alors pour Moi qu’un jeu d’enfant, une véritable donation, mais navrante est son insuffisante exploitation. Alors Je vous l’annonce en dyptique : comme des rats dans un égout vous êtes trop nombreux, et cette planète finira bien par s’épouiller ! Tu aimes prier ? Fais-le pour un pandémonium global, une guerre nucléaire de classe mondiale, la mort de trois ou quatre milliards et le reste suivra bien, une vision rafraîchissante comme celle d’une gouleyante boisson. Allez toi, le joli Minois, explique à ces larves ce qui en est, Mon impassibilité est dans le rouge.
« Le malthusianisme est une doctrine politique qui prône le contrôle démographique en visant la restriction en raison des prévisions du déséquilibre à venir entre les ressources disponibles et la population. Ce sont les travaux de l’économiste anglais Thomas Malthus (1766-1834) qui sont à l’origine de cette réflexion. Devenue une doctrine, elle se veut hostile à tout accroissement de la population avec toutes les conséquences qu’une telle position peut avoir chez certains leaders. »[4]
L’usage d’armes à bousillage massif est évoqué par plusieurs comme étant des outils malthusiens, alors pourquoi attendre ? C’est rapide, les Coréens du petit gros vespa d’Asie n’attendent que cela et vos leaders militarisés à souhait sont avides de casus belli. Ce qu’il fleure bon le parfum de l’atome au matin d’une mortelle irradiation. Les virus de comptoir ne suffiront pas, ne m’en crois pas spécieux pour autant, vérifie, blatte sceptique !
Si le productivisme a eu pour effet de faire jaillir le confort matériel et la paix économique donnant naissance aux Trente Glorieuses, cela n’allait certes pas durer. D’exubérantes crises d’inflation et de récessions, altérant le sens de votre sardanapalesque rêverie a également causé la surproduction de coprolithe et d’immondices créant une pestilence vous convenant parfaitement. Comme vous étiez dépourvus de cervelle, vous avez bêtement opté pour enfouir et enfouir de plus en plus ce que même les rats font fi de. Depuis votre navrante conception, le mamonisme vous étrangle et vous aveugle. Vous n’en claboterez que plus hâtivement. J’y veille, J’y aspire et J’en rêve.
C’est absolument magnifique, encore un tout petit siècle de présence humaine et vous serez fossilisés comme des trilobites. Quand tout sera noblement accompli, J’ouvrirai un Musée, immense, gratuit avec des friandises de fentanyl pour les enfants. Ce sont d’ailleurs ces derniers, ces petites crottes sur pattes qui seront les premiers à crever dans la déferlante de désastres naturels. Si périssables avec leurs yeux mielleux dégoûtants, comment s’émouvoir d’une facière aussi banale, bête et vide. Je suis moi-même fébrile comme un petit diable, tant J’ai hâte d’y assister. J’ai réservé mon banc aux premières loges. Je ne vous dis pas de quoi il est conçu, vous pourriez en vomir sur Mon chapitre et J’en ai soupé de vos déjections. Sentez-vous Ma haine gainée d’un ostensible mépris être crachée à votre face écœurante ?

Je vous abandonne maintenant, toi qui depuis le début ne cesses de parler du Mal comme si tu savais de quoi tu causes, tu vas prendre Ma relève et cet Honneur. Tu as intérêt à en profiter, inculte ébouriffé, mais avant de te laisser ainsi à ton minable sort, J’aimerais te révéler ce qu’est le Mal. Après quoi, tu n’auras qu’à fermer cet opuscule dont le seul chapitre à ne pas être inénarrable est le Mien. Le Mal n’est autre que la version améliorée par Moi du Bien. La Divine Motheure a commis une très grave erreur en créant la caillette sapiens. Pour le Bien de tous, de tous les Univers de dimensions plus élevées que cette exécrable tridimensionnalité lourde puante et poisseuse, Je m’active à la faire disparaître comme les gros bras l’ont fait avec les écuries d’Augias ou à tout le moins, de la décontaminer en vous oblitérant tous, alors bien sûr que pour vous c’est… mal. C’est aussi ce que le cancrelat, l’araignée, le mulot ou le rat pensent de toi lorsque pour assainir ton bercail infesté, tu pulvérises sur eux ce gaz tueur comme jadis vous le fîtes pour ces cloportes de Juifs. Ne le faites-vous pas pour le Bien des vôtres ? Tu as compris maintenant ? Alors cafard sapiens, puisses-tu avec les tiens, tous mourir asphyxiés, incendiés ou noyés, que Nous puissions à Notre tour, nous Esprits désengorgés de votre pugnace incarnation, faire litière de votre souvenir et cette fois pour l’Éternité sans qu’un seul surnage.
Que Ma Volonté soit faite sur votre planète pourrie comme au Ciel où Je finirai bien par régner.
(Ce texte de Jean Casault ne peut être reproduit sans autorisation.)
[1] Séraphin Poudrier du roman Un Homme et son péché de Claude-Henri Grignon. 1933.
[2] Jacques Ellul. Les nouveaux possédés. 1973. Réédition Mille et une nuit. 2003.
[3] Sacrée croissance. En finir avec le dogme de la croissance. Marie-Monique Robin, Natura – Science. 31 octobre 2014.
[4] Georges Minois. Le poids du nombre : l’obsession du surpeuplement dans l’histoire. Paris. Perrin. coll. Pour l’histoire. 2011.
Glossaire des mots rares
- Abjection : État de celui qui est infect.
- Abscons : Mystérieux.
- Abjurer : Violer.
- Acabit : Type, sorte.
- Aconitine : Poison mortel.
- Acrimonie délétère : Fiel toxique.
- Adjurer : Supplier.
- Admonestations : Punition châtiment.
- Ad nauseam : Jusqu’à s’en rendre malade.
- Adouber : Le Roi ou la Reine adoubait un homme pour en faire un Chevalier. Se situe dans ce contexte.
- Affidé : Fidèle et capable de tout pour son maître.
- Affres : Grandes angoisses.
- Agape : Repas joyeux.
- Agreste : Grossier et primitif.
- Ahra Manyu : Nom persan d’Ahriman.
- Algarade : Échange de mots violents et dans ce contexte incitant à la violence.
- Alambiquées : améliorées à l’extrême.
- Alanguir : Se fatiguer.
- Amaurose : Aveuglement.
- Amblyope : Aveugle d’un œil.
- Aménités : Faiblesses.
- Amphigouri : Propos qui ne fait aucun sens.
- Anadipsie : Soif excessive.
- Anagnoste : Lecteur.
- Anagogie : Élévation de l’âme.
- Anamnèse : Relatif à la mémoire.
- Ancillaire : Destiné à être servile.
- Acrimonie : Une grande hargne.
- Appétences : Besoins.
- Aphteux : Malade
- Apologue : Un court récit.
- Arcane : Secrets.
- Archontes. Grands dirigeants.
- Arguer : Présenter un argument, souvent pour conclure.
- Arlequinade : Comédie burlesque.
- Arpions : Pieds.
- Ascaride : Ver parasite.
- Aspiole : Une sorte de Génie.
- Ataraxie : Quiétude absolue de l’âme.
- Atavisme : Caractères génétiques qui font leur réapparition.
- Atma : Âme.
- Augias : Dans ce contexte, fait allusion aux écuries nettoyées par Hercule.
- Augurer : Prédire.
- Aurige : Conducteur de char romain.
- Bancal : Dans ce contexte, qui ne fonctionne pas, imparfait.
- Barbante : Ennuyant à mourir.
- Béjaune : Sot stupide, ignorant.
- Bibliomanes : Lecteurs.
- Bigarrés : Hétéroclites, variés.
- Bigoterie : Lèche-bottes.
- Biscornu : Absurde.
- Bistre : Terne, sombre, sans éclat.
- Bourbeux : Boueux ou vaseux.
- Bourriches : Têtes.
- Bubons : Ganglions gonflés par la peste bubonique.
- Byzantin : Dans ce contexte, expression cynique supposant avec grand goût.
- Cacade : Excrément humain.
- Cacochyme : Vieux.
- Caillette sapiens : Dans ce contexte, la boulette de porc gras qui pense.
- Calancher : Mourir.
- Caligineux : Ténébreux.
- Casus belli : Raison de faire la guerre.
- Césarisme : Tyrannie.
- Céladon : Fade, terne.
- Chimère : Projet séduisant, mais irréalisable, une illusion.
- Chorège : Chef.
- Chyme duodénal : Dans ce contexte, on compare le cerveau à une partie de l’intestin.
- Claboter : Mourir.
- Cloaque : Endroit malsain, impur.
- Coercible : Qui oblige.
- Controuver : Mentir, inventer.
- Coruscante : D’une éclatante brillance.
- Coprolithe : Excrément.
- Crapoussin : Petit être méprisable.
- Cruor : Dans ce contexte, du sang.
- Déhiscence : Séparation cruelle.
- De facto : De fait.
- Délétère : Qui met en danger.
- Délinéament : une forme quelconque adoptée.
- Délictueux : Criminel.
- Démiurge : Divinité qui donne forme à l’univers.
- Déplétion : Dans ce contexte une baisse dramatique de la vitalité des organes du corps.
- Derche : Cul, dans ce contexte.
- Déréliction : Solitude morale.
- Dessiller : Ouvrir les yeux.
- Deus ex machina : Du théâtre. Dans ce contexte : personnage magique qui sauve tout un chacun.
- Devancier : Qui nous précède, dans le contexte.
- Diaprer : Rendre plus attrayant.
- Dilacérer : Déchirer avec violence.
- Dilatoire : Dans ce contexte, dans le but de retarder.
- Dilettantes : Passionnés.
- Dipsomane : Alcoolique.
- Diserte : Qui s’exprime avec grande aisance.
- Dithyrambes : Éloges, très…élogieux.
- Donation : Cadeau.
- Drosophile : Mouche domestique.
- Drosser : Dévie de sa course.
- Dupeur : Menteur.
- Dyptique : Portrait en deux tableaux.
- Ectoplasmique : Évanescent, comme de la fumée.
- Égrégore : Esprit de groupe influencé par les désirs communs de plusieurs individus réunis sous un but commun.
- Électuaire : Médicament utilisé comme mélange pour certaines drogues.
- Élucubrer : Dans le contexte inventer une extravagance.
- Émonctoire : Canal servant à l’élimination des excréments.
- Empyrée : Le lieu le plus élevé des Dieux grecs.
- Engeance : Catégorie de gens méprisables.
- Épectase : Mourir en plein orgasme.
- Érubescent : Qui devient rouge.
- Escobarderie : Mensonge
- Étriller : Battre de façon manifeste.
- Excrétion : Excréments.
- Fadasse : Terne, sans aucune envergure.
- Faisandé : Se dit d’une viande vieillie
- Fatuité : Très haute satisfaction de soi-même visant l’extrême vanité.
- Faustien : Allusion au pacte diabolique signé par le docteur Faust de Goethe.
- Fiefs : Dans ce contexte, spécialités.
- Filouter : Enlever, kidnapper.
- Formique : Qui vient des fourmis.
- Fuligineuse : Qui ne comprend rien.
- Gabegie : Gaspillage inconsidéré.
- Galéjade : Une blague.
- Gamète : Dans le sens d’une cellule.
- Gaupe : Prostituée dans un sens peu avantageux.
- Géhenne : L’Enfer.
- Glaires : Accumulation de mucus.
- Gloser : Expliquer, éclaircir.
- Godiche : Stupide, idiot.
- Gonades : Fait partie des organes sexuels.
- Grège : Variété de gris.
- Groumer : Ronchonner faire le bruit d’un cochon.
- Halliers : Buissons épineux.
- Harpailler : Insulter.
- Herbes Rhodes : Herbes hautes qui parsèment toute la savane africaine.
- Hobereau : Paysan sans envergure.
- Hubris : Une grande démesure.
- Idoine : Propice aux besoins de.
- Immarcescible : Inaltérable.
- Impassibilité : Calme.
- Impavide : Ne pas avoir peur.
- Impéritie : Incompétence.
- Impécuniosité : Manquer d’argent.
- Inadéquation : Inadapté pour effectuer…
- Inanité : Être vide.
- Inappétence : Manque de désir.
- Incoercible : Que rien ne peut contenir ou retenir.
- Indicible : Extraordinaire.
- Inénarrable : Invraisemblable.
- Insidieux : Le diable qui trompe.
- Intrication : Qui s’enchevêtre, s’emmêle.
- Ire : Colère.
- Iridescent : Luminescence nacrée.
- Jactance : Arrogance.
- Jacter : Parler.
- Jaculatoire : (oraison) Prière ardente.
- Jérémiades : Plaintes incessantes.
- Jésuitisme : Associé à l’hypocrisie et utilisé pour dénigrer les Jésuites.
- Jugulaire : Artère importante dont l’incision peut provoquer une mort rapide.
- Languide : Abattu.
- Lavure : Une eau non potable.
- Licite : permissif, honnête, qui a le droit de…
- Lilliputienne : De très petite taille.
- Limbique : Système cervical du mot limbe signifiant ici une frontière entre différents autres systèmes.
- Liquette : Limace.
- Loche : Limace de grande taille.
- Logorrhée : Paroles incompréhensibles.
- Lucifère : Ce qui porte la lumière.
- Lulibérine : Hormone de la libido.
- Magistère : Enseignement du Maître.
- Malpiteux : Sans pitié.
- Malthusien : De Malthus qui voyait en la surpopulation la fin de l’humanité.
- Mammon : Un des sept princes de l’Enfer associé à l’avarice.
- Margouillis : Excréments dans ce contexte.
- Marivaudé : Dans ce contexte : écrit avec prétention.
- Mazouter : Contaminer.
- Mégotage : Avarice.
- Mélopées : Chants tristes.
- Méphitique Odeur repoussante.
- Mésaise : Situation créant un malaise.
- Miasmatiques : Qui dégage une odeur fétide.
- Mignards : Dans ce contexte, petits et faibles.
- Mièvre : Fade.
- Mitan : Centre.
- Mnémonique : Relatif à la mémoire.
- Morigéner : Punir.
- Mouise : Pauvreté extrême.
- Mouscaille : La misère, difficultés de la vie.
- Munificence : Générosité.
- Myrmidon : Homme insignifiant et de petite taille.
- Nécrose : Relatif à la mort.
- Nicolaïtes : Secte juive très ancienne vénérant Satan.
- Nidoreux : Mauvaises odeurs.
- Nitescence : Éclat.
- Nitide : Blancheur sublime.
- Niquedouille : Niais.
- Notule : Commentaires en notes, pamphlets.
- Obduration : Persistance dans le mal.
- Obombrer : Obscurcir.
- Obsidional : Sorte de délire de persécution.
- Obvier : Éviter.
- Oiseux : Sans aucun intérêt.
- Omnipotentis : Du latin, Toute puissance.
- Onanisme : Masturbation.
- Opuscule : petit livre, petit ouvrage, brochure
- Orbe : Dans ce contexte, sans fenêtre ou sans ouverture.
- Oryctérope : Semblable au tatou.
- Ostensible : Qu’on remarque.
- Ostéocytes : Cellules osseuses.
- Ostracisme : Frappé d’interdit, banni.
- Pandémonium : Cité des enfers.
- Panouille : Un être stupide.
- Paradigme : Le modèle avec lequel on travaille.
- Parentèle : Dans ce contexte, mariages consanguins.
- Paréidolie : Tendance naturelle de voir des formes concrètes même lorsqu’abstraites comme un nuage en forme de lapin.
- Pax mundi : Paix mondiale.
- Pécore : Femme prétentieuse et stupide.
- Péremptoire : Qui ne tolère aucune objection, final décisif.
- Pérenne : Qui suggère presque une éternité.
- Phébus : Orateur au langage obséquieux.
- Piétaille : Servants, subalternes.
- Plébéiens : Qui vient de la plèbe, du peuple.
- Pleutre : N’ayant aucun courage.
- Polymathe : Génie en de nombreuses disciplines.
- Poncifs : Banalités.
- Pouacre : Très sale.
- Pretintaille : Qui joue un rôle explicatif.
- Probe : Honnête.
- Propylée : Dans ce contexte une très grande porte.
- Provende : Mélange d’aliments destiné au bétail sur une ferme.
- Pugnace : Propension à faire la guerre.
- Quintessencier : Améliorer grandement.
- Reîtres : Guerriers brutaux. Grossiers et très violents.
- Rets : Pièges.
- Ritualisme : Observance stricte des rituels.
- Rombière : Terme peu flatteur désignant une femme.
- Sabouler : Donner une sévère raclée.
- Sac de stomie : Utilisés par les gens ayant subi une déviation de l’intestin.
- Sanie : Pus.
- Sardanapalesque : Qui étale un luxe tapageur et démesuré.
- Saugrenuité : Ce qui est saugrenu, soit absurde et ridicule.
- Scories : Dans ce contexte : les éléments jetables.
- Séide : Être atteint d’une servilité fanatique.
- Simiesque : Relatif au singe.
- Solécismes : Dans ce contexte : sorte d’erreurs graves.
- Sophisme : Fait de mauvaise foi.
- Souleur : Peur terrifiante.
- Spécieux : Trompeur.
- Spin docteur : Conseiller en communication d’une personnalité politique dans le but de toujours la mettre en valeur.
- Stropiats : Infirmes.
- Suidés : Famille à laquelle appartiennent entre autres le phacochère et tous les porcins.
- Superfluité : Inutile, superflu.
- Syntagme : Groupe de mots.
- Telos : Du grec, but, intention, objectif.
- Thaumaturge : Qui accomplit des miracles.
- Théocratie : Société dominée par la croyance en Dieu ou en un système de dieux.
- Théophanie : Dans ce contexte prétend être une manifestation de Dieu.
- Thésaurisation : Action compulsive de ne rien jeter.
- Thésauriser (se) : Accumuler de l’argent sans investir. Allusion à Séraphin dans ce contexte.
- Thuriféraire : Celui qui porte l’encensoir ou tout autre symbole analogue selon le contexte.
- Tissue Universel de la Matrice : Expression utilisée en métaphysique appliquée pour désigner l’ensemble des univers visibles et invisibles.
- Topique : local, qui ne dépasse pas les limites de l’action en cours.
- Toquade : Obsession.
- Torchonnant : Travail mal effectué.
- Trente Glorieuses : 1946-1975.
- Tribade : Homosexuelle.
- Ubéreux : Fertile.
- Uchronie : Imaginer les conséquences futures d’un fait historique.
- Valétudinaire : Vieux.
- Vaticiner : Prophétiser l’avenir.
- Venaison : Viande, chair.
- Vénalité : Cupidité.
- Vénusté : Beau comme Vénus, la planète associée à Lucifer.
- Vérace : qui dit la vérité.
- Vésanie : Moments de pure folie.
- Vespa : Dans ce contexte on parle du frelon asiatique.
- Vétustes : Antiques.
- Veulerie : Lâcheté, couardise.
- Viduité : Vide total.
- Vultueux : Laid et bouffi.
- Walkyrie : Dans ce contexte, femme combattive et au physique impressionnant.
- Yersinia : Yersinia pestis, le virus de la peste.
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L’ère nouvelle
Jean Casault croit sincèrement que nous sommes en plein développement vers une nouvelle ère. Il sait que cela ne se fera pas sans heurts et assez curieusement la crise internationale de la COVID-19 lui donne peut-être raison, comme si nous étions confinés dans un cocon avant de déployer nos ailes. Ce livre recèle également de fabuleux exemples de Vols de nuit, ces rêves… qui n’en sont pas.
Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.
Catégories :Le Mal
Ouf tout un texte, nous avons qu’une toute petite idée de sa puissance maléfique, ça donne des frissons.
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Nag Hammadi version 2021 😉
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