Ma découverte ultime !

Cet article est l’aboutissement de plus de 60 ans de réflexions, c’est-à-dire lorsque j’ai sérieusement posé la question sur qui nous sommes, qui je suis, qu’est la Terre, l’univers, quel rapport entre ce que Dieu dit, selon certains, et ce que la science dit, selon d’autres. Il va sans dire que c’est ma réponse. Je ne suis pas plus prophète que prêcheur, mais je suis un communicateur, alors je communique. Ce questionnement a commencé alors que j’avais 12 ans et de très jolies dents. Il était strictement intériorisé, je ne l’exprimais à personne, pas même un peu, et surtout pas à mes religieux de parents ou à l’école, mon lieu de perdition. À 16 ans avec l’événement de l’Anneau,[1] tout se bouscule dans ma tête. Très rapidement, outre l’entièreté de la question extraterrestre, s’entremêle ce questionnement. Les années aidant, il s’est raffiné à mesure que des réponses métaphysiques se pointaient à l’horizon. Le Matin des Magiciens fut un déclencheur important, non pas tant par son contenu que par l’audace des auteurs, Pauwels et Bergier.

C’est à ce moment que je réalise que les ovnis, les extraterrestres, les phénomènes paranormaux ne sont que des petits cailloux blancs sur le sentier des mystères menant à une réalité colossale que déjà ces auteurs appelaient le Réalisme fantastique. Je l’ignorais encore à cet âge, mais c’est cette réalité que je vais pourchasser toute ma vie.

Quand l’étudiant est prêt, le Maître apparaît

Paul Labrie

C’est alors que ma rencontre avec le docteur Paul Labrie, rosicrucien et ésotériste de Québec – très discret sur ses activités – m’oblige à me défaire pour me refaire, à déconstruire ma petite réalité terrienne, catholique, d’estudiantin pour connaître ma première mort comme certains rituels maçonniques. Tout en continuant mon boulot d’enquêteur sur le terrain, je devais accéder à un autre niveau de conscience. Les affaires de type AFFA sont venues le confirmer comme un coup de gourdin.

En 1978, je n’en peux plus, je dois agir, je dois faire quelque chose pour comprendre, alors je connais ma seconde mort, la plus intense. Dans un élan monacal absolu, j’abandonne tout, femme, enfants, carrière, argent, gloire, tout. Je m’enferme pendant près de quatre ans dans un monde servant de cloison neutre entre celui-ci et l’autre dont je sais maintenant à quel point il est effectivement une réalité colossale née du Réalisme fantastique. Il s’agit de l’Institut de métaphysique appliquée.

Quand je reviens dans le monde des gens normaux quelques années plus tard, on me fait comprendre que je dois y revenir pour vrai, pour de bon. Et puisque je devais m’y mettre, je me suis alors légèrement encanaillé, je me suis plongé dans la chair, l’argent, le sexe, la matière et tout ce que cela implique d’humain, de terrestre, de charnel, de matériel bref, on ne s’incarne pas pour vivre dans les limbes, mais les deux pieds sur Terre. Solides. Il me faudra douze longues années pour réapprendre ce qu’est d’être humain sur ce monde.

C’est alors que j’ai rencontré ma femme en 1994, celle qui allait me servir de guide chez les humains normaux tout en poursuivant ma quête. Sans Hélène, je me serais égaré dès le départ. Elle a su et sait le faire avec une élégance stupéfiante que j’ai encore à apprendre à apprécier.

La suite ? Et bien elle est parsemée de tant d’histoires à raconter que ce parcours du combattant métaphysique devrait être réécrit, mais je n’en ai pas envie.

Je vous ai dit que j’avais trouvé finalement une réponse à mon questionnement ? C’est fait depuis longtemps, mais aujourd’hui ce n’est plus une réponse, c’est une fusion du magma de cette Réalité avec la pierre de résistance formidable qu’est l’ego, mais surtout, l’intellect humain. Ce dernier n’a pas résisté longtemps, mais il n’a pas éclaté, car il est essentiel dans l’équilibre yin yang taoïste des forces en présence. Il s’est adapté et comme le renard, il s’est laissé apprivoiser.[2] Cette réponse est maintenant en chacune des cellules de mon corps parce que cette foudroyante Réalité s’est enfin manifestée à moi par tant d’expériences vécues que plus jamais je n’ai le droit de douter.

Ni science ni religion

L’être humain, l’animal, la plante et la planète tout entière de même que l’univers ne sont rien d’autre que des excroissances de la Pensée. D’une Pensée en fait. Et nous en sommes les co-créateurs.

Est-ce une réponse qui relève de la science ou de la religion ? Ni une ni l’autre, parce que la science n’est tout simplement pas rendue là et poursuit sa quête d’une vérité sur les principes de base qui constituent la réalité matérielle d’une part et que la religion n’est qu’une fraude parmi tant d’autres. Je ne suis pas théiste, mais déiste et je ne vais pas revenir là-dessus je l’ai fait suffisamment dans Les Religions c’est assez ! (Québec Livres).

Malgré tout, la science, en soi, est fabuleuse

Cest l’accomplissement de la pensée humaine afin de circonscrire l’ensemble de son environnement dans le but de le comprendre et de l’utiliser. Cette démarche étant celle qui s’adresse à la matière et aux énergies de ce même environnement, le tout doit donc être étudié de manière concomitante.

On a d’abord ramené cette matière à sa plus simple expression en l’étudiant sous l’angle de ses particules les plus petites et ce n’est pas terminé. Et on croyait que l’atome était la rock star de l’univers jusqu’à ce qu’on réalise qu’elle n’était qu’un casier à l’intérieur duquel se cachait un autre univers celui des quarks et tutti quanti. Le dernier trésor en lice, le boson de Higgs et les nouvelles données sur la masse du neutrino.

La science quantique vient de jouter la classique et comme déjà dit, cela ne fait que commencer. Même en 2022 on n’a encore rien vu. L’étude de l’infiniment grand se fait également et, ces temps-ci, on compte sur James Webb, le télescope infrarouge pour avancer. Mais là comme ailleurs, la science est très lente, elle évolue à la vitesse de sa technologie et celle-ci évolue à la vitesse de la volonté argentière de la développer ou pas et dans quel domaine par rapport à un autre. L’armement à titre d’exemple est autrement plus favorisé par les investissements des gouvernements que ne le sont les projets scientifiques de haut niveau. Alors oublions la science, elle ne comprendra pas ce que j’ai à dire.

La religion est une fraude

Absolument ! Et je ne vais pas traîner longtemps sur ce sujet. Ce ne sont pas ce que disent et affirment les religions qui les rendent coupables de ce grave méfait, mais l’assurance qu’elles nous donnent que leurs propos viennent de Dieu, par l’intermédiaire d’êtres humains choisis ou élus par Lui. Elles sont les prophètes et les prêcheurs et c’est grotesque. Ça l’est parce que l’effet primaire de cet état de chose implique notre silence, notre soumission absolue, notre acquiescement total et notre vénération pour ces grands personnages auréolés de pseudo mystique. Voilà, c’est grotesque et pathétique. Mais en plus, les Élus de Dieu ne tuent pas les orphelins, ne massacrent pas les autochtones, ne torturent pas les femmes un peu rebelles et n’agressent pas sexuellement des enfants de 9 ans… Et ils ne font pas sauter des autobus, des restaurants, des salles de spectacles ou de grandes tours à bureaux…

Déisme, spiritualité, métaphysique, mystères anciens, noétique, que choisir ?

J’ai adhéré à de nombreux courants dits spirituels très tôt dans ma vie alors même que je n’étais pas encore sexuellement actif. Honnêtement, si je devais faire l’énumération des livres, des groupes de rencontre en organisations structurées, des sectes, de ceci et de cela, ce qui fut ma démarche, ce serait long et fichument ennuyant alors qu’il s’agisse de la Franc-maçonnerie, la Rose-croix, l’hermétisme, la métaphysique, les enseignements des doctrines de Blavatsky ou de Steiner, etc., rien de tout cela n’a entièrement répondu à mon questionnement, mais j’avançais. Oh que oui j’avançais.

Je sais ce que je suis. Un déiste. Ça dit tout. En une petite phrase très courte, cela signifie que je fais la connaissance du divin en moi, sans intermédiaire pour me guider, sans aucune structure et sans appui littéraire. Il faut être très prudent quand on utilise le mot divin. Pour trop de gens, il est une représentation très subjective de leur croyance héritée d’une forte manipulation religieuse structurée, alors divin devient Jésus, Dieu, Allah, Brahma, Vishnu et même Bouddha et même s’ils prétendent que non, ce qui nous ramène à une vitesse excessive au concept du théisme pur et dur, lequel est en nette opposition avec le déisme. De plus, ce déisme que j’entretiens va encore plus loin que simplement connaître le Divin en moi. Je dis que nous sommes physiquement la manifestation de notre Pensée, nous en sommes l’excroissance.

Une grosse erreur dès le départ

Je crois que la plus grande erreur qui se soit manifestée dans le processus humain d’acquisition de connaissances physiques et métaphysiques (ou spirituel, un terme avec lequel il faut être aussi prudent) est de partir de la particule pour expliquer la galaxie. C’est la méthode scientifique puisqu’elle ignore tout de la méthode métaphysique qui, au demeurant à ses yeux, n’est qu’une hérésie de plus.

Alors on ne part pas de ce qu’est notre petit monde pour expliquer l’autre réalité. Notre monde porte un nom qu’on retrouve souvent en philosophie hermétique. Il est le Manifesté. Tout ce qui est Manifesté, l’est du Verbe, diront les métaphysiciens de formation religieuse et chrétienne ou même simplement de formation monothéiste. Corrigeons le tir, le Verbe ne fait pas que transcender la matière, il la précède et c’est comme ça qu’il faut comprendre l’univers, car autrement, on n’y arrivera jamais.

Dans toute analyse en profondeur, il faut envisager la cause et non s’attarder aux effets. L’homme, et tout ce qui existe, est l’effet d’une Cause qu’est la Pensée, laquelle je me répète, précède la matière. J’y viens.

La Genèse était bien proche

La Genèse bibliste a bien tenté de l’exprimer, mais par anthropomorphisme en y insérant cet inacceptable Yahvé au caractère tempétueux, colérique et d’une arrogance infinie à l’image des auteurs, elle a tout gâché. Dieu dit : « Que la lumière soit ! Et la lumière fut. » La Pensée précède la matière. C’est de cela que je parle. La Pensée crée et le Manifesté apparaît.

Mais voilà, tout se gâche très rapidement lorsque ce texte reflète une présence tellement humaine, tellement basse, tellement puérile. « Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? » Non, mais de quoi il se mêle lui, ce pseudo Dieu à faire chier ceux qu’il appelle ses enfants pour une foutue pomme ?

En fait le problème, c’est Dieu. Et tous ses homonymes en 192 langues. Mon déisme, le mien, est la connaissance que j’ai en moi d’une Réalité nettement supérieure à mon petit je physique, celui de l’être vivant qui porte mon nom. Cette autre Réalité est mon Je supérieur en somme. Or, ce Je ne peut être appelé Dieu parce qu’il n’est pas le vôtre. Vous avez votre propre Je et votre Je n’est pas le mien, bien que sans devenir trop compliqué, votre Je, le Mien et les 8 milliards de Je, et que pour la Terre, ne sont qu’Un. Alors on pourrait parler de Dieu comme on le conçoit en incluant tout ce qui existe dans tous les univers connus et inconnus. Réalisez-vous à quel point nous sommes grands ? Et à la fois si petits ?

C’est ici qu’il faut, non plus chercher des réponses dans le Manifesté que nous sommes bien humblement, mais chercher des réponses sur ce qui en est à l’origine. Bref, qui est ou qu’est donc ce Je ? Et en posant la question, il faut chercher par la verticale, en gravissant les échelons d’une évolution dont nous ne savons rien parce que notre petit je n’en a aucune idée. Il faut oublier le plan terrestre et matériel si on veut une réponse. On doit cesser de se vautrer dans les molécules, ce ne sont que du carbone, de l’hydrogène et de l’oxygène avec un peu d’épices de magnésium et de potassium ici et là. Ma réponse finale est que mon Je, le vôtre, celui de tous les êtres escients de l’univers sont en réalité une seule et même Réalité supérieure.

Allons plus loin. Oui et toujours à la verticale en s’éloignant de la matière, en imaginant cette Réalité supérieure comme si elle était la somme du Tout, ce Tout englobant l’infini. Imaginez une Entité (qu’éventuellement on voudra nommer, Dieu, Divine-Mère, Force, etc., mais qu’importe) une Entité Infinie, donc sans aucune limite dimensionnelle et qui se met alors à Penser.

Cette Entité imagine à son tour un univers pour lequel le mot immense est nettement insuffisant et qui serait constitué de couches de densités issues de sa plus subtile substance, soit celle de l’Entité et se manifestant d’une dimension à l’autre jusqu’à la nôtre, la dernière, la plus primitive, la plus basique, la plus dense, la tridimensionnelle (en supposant qu’il n’y en ait pas de plus restreintes) et que tout ce qui constitue ce Manifesté n’est autre qu’une excroissance de sa Pensée et qui inclut bien sûr un processus évolutif tel qu’observé par la science, car l’évolution n’entre absolument pas en contradiction avec l’acte créatif de la Pensée.

Ça nous change de Dieu le Père, son fatigant de fils et de l’autre aux allures de colombe !

Vous ne trouvez pas ? Si on réussit à penser le mot Dieu en omettant, Dieu le Père, son Fils cloué, son Esprit Saint dont on ne sait trop ce qu’il fabrique dans ses temps libres, si on omet tous ces autres avatars humains qui ont été divinisés par des crétins, et c’est ça le problème parce que ça été fait par d’autres humains, bref si on oublie tout cela et qu’on voit plutôt cette Entité comme une Artiste de génie qui crée par sa Pensée, on peut alors se demander pourquoi elle le fait.

Cela dit, cette Entité est inconnaissable évidemment, là-dessus les agnostiques marquent un point. D’ailleurs, c’est aussi ce que bien des animaux sauvages doivent se dire sur cette curieuse bête qu’est l’humain. Inconnaissable. Même les animaux domestiques ne savent rien sur leur maître sinon que grâce à lui, ils sont protégés, nourris, caressés, mais au-delà ? Rien. Ils n’ont aucune idée de ce que l’homme est et fait par rapport à eux et moins encore par rapport à l’univers dont ils ne savent rien.

Malgré cela on peut imaginer que cette formidable Entité veut, non pas bêtement créer le monde comme dans le créationnisme, mais le devenir, oui devenir sa Pensée. Parce que tant et aussi longtemps qu’Elle ne sait pas ce que signifie vraiment se taper sur le pouce en voulant enfoncer un clou, Elle ne sait pas ce qu’est VIVRE. Elle existe, Elle Est ! Mais ce n’est pas assez ! Elle ignore ce qu’est respirer, vivre, mourir, renaître et toutes ces Pensées viennent alors à conjuguer le verbe Devenir et c’est ce qu’elle a fait et continue de faire. Et vous et moi ne sommes qu’une de ses excroissances, mais simultanément, à un autre niveau, nous sommes Elle. Nous sommes ! Ou dites plutôt Je Suis ! « Ne sommes-nous pas Dieu en nos ultimes profondeurs ? »[3]

Et Ceci explique Cela !

En 1970, j’ai été mis en contact avec des manifestations paranormales absolument fascinantes alors que j’écoutais avec une grande attention l’enregistrement de sons extrêmement puissants provenant d’un point bien précis et localisé entre le plancher et le sommier du lit de deux petites Allemandes terrorisées.

Hans Bender

Il s’agissait là d’une enquête menée par le professeur Hans Bender, une des plus grandes autorités en parapsychologie. La preuve scientifique avait été adroitement acquise par l’installation de plusieurs microphones en plusieurs occasions pour localiser, d’une fois à l’autre par triangulation, le point d’émission des sons frappés dans le vide. C’est le psilogiste Louis Bélanger qui était alors avec moi en entrevue à CKCV suite à son retour d’Allemagne où il avait étudié avec Bender et son équipe qui m’avait présenté ce document audio.

Pour moi, encouragé par le fait que Bélanger était un gars sérieux et que Bender était sans contredit un génie, ces sons deviennent la preuve que quelque chose existe en dehors de notre réalité très ordinaire. Ce n’est pas un être humain banal qui frappe le sol banal avec un marteau banal, mais une force invisible et indétectable de nulle part, from nowhere, in der mitten von nirgendwo ! Qu’il s’agisse d’un poltergeist ou d’un esprit décédé manifestant sa présence n’était pas important pour moi, car je subissais là un choc intellectuel foudroyant. Surtout quand j’ai constaté que le seul argument scientifique contre cette réalité était un stupide haussement d’épaules, synonyme d’une indifférence née en vrai de l’incapacité de trouver une réponse alternative.

N’oubliez pas que moi aussi en 1970, j’étais un petit catholique embrigadé dans la religion mais attention, qui fréquentait aussi des mystiques, des penseurs ésotériques avec leurs grands mots, leurs longues dissertations sur l’astral, les chakras, le troisième œil et tout le toutim. Et moi je voulais savoir ce qu’il y avait d’autre dans ce monde et d’où ces bruits provenaient. Qui ou quoi y évoluait ! Je croyais en quelque chose à cette époque, mais là je le savais, c’était une révélation qui s’ajoutait à mes expériences personnelles.

Aujourd’hui en 2022, je me souviens de beaucoup plus encore, de tant de rencontres et d’enquêtes, de tant d’entrevues et bien sûr, j’ai sous les yeux tous les manuscrits de ces personnes qui crient leur vérité en jetant sur le papier un vécu hallucinant.[4] Ces lectures ont achevé non pas de me convaincre, mais de me rassurer.

Quelque chose s’est produit récemment

Feu Richard Guilbeault, ancien directeur des enquêtes du CEIPI.

En août 2022, l’ancien directeur des enquêtes du CEIPI décède à 51 ans. Alors que je suis à la maison, cette conscience, qui de son vivant portait le nom de Richard Guilbeault, vient me faire l’immense cadeau de sa présence. Je ne suis pas du genre à générer d’intenses émotions, certains me trouvent même froid et imperturbable. Mais là, je ressens presque brutalement un tsunami d’émotions, je vois un sourire, je ressens distinctement diverses émotions, dont sa joie folle d’être libéré d’un corps défaillant. Je ressens même une petite moquerie voulant que là, maintenant, il en sait plus que moi sur la mort, une discussion que nous avions déjà eu alors qu’il se sentait perdu. Plus maintenant ! Alors, c’est quoi cette conscience ? Ce sourire, cette gentille moquerie ? Cette joie immense ? Des neurones ? Désolé les siens sont éteints, incinérés pour être franc, alors qui ou quoi est ici dans mon bureau ? Si vous répondez que c’est mon imagination alors vous devriez plutôt lire des trucs faciles sur le sport automobile ou je ne sais pas moi, mais bye !

La collection Ufologie profonde que je dirige chez Louise Courteau n’est que ça. Un rappel à l’ordre par des expérienceurs qui ont vu et vécu l’impossible se manifester devant eux et le plus souvent pour eux ! Déliter leur récit sous prétexte que ce ne sont que des témoignages oculaires me fait songer alors qu’il serait temps de fermer les tribunaux et de libérer tous ceux et celles qui ont été vus commettre un crime et condamnés sur cette seule base et pour laquelle on a même créé un programme de protection des témoins.

Je ne suis pas le premier ou le seul à le formuler ainsi

Donc, comme il existe une Réalité plus subtile que la mienne, j’en déduis que c’est vers là qu’il faut viser pour découvrir ce qui en est à l’origine et j’en déduis que tout ce qui est formulé par l’esprit humain possède dès lors une masse ! C’est ce qu’on appelle la forme-pensée. « Je pense donc je crée » parce que la pensée n’est pas animale, elle n’est pas le fruit d’un instinct de survie, elle est beaucoup plus que cela, elle transcende la matière, le corps, tout, tout le Manifesté en somme. La pensée est immatérielle, mais elle a une masse !

Mais comme ce n’est pas un concours télévisé, je me moque bien de savoir qui a pensé cela en premier, mais chose certaine, les Anciens, les alchimistes de l’âme, les penseurs les plus érudits ont tous convenu un jour de retenir l’ultime Vérité. Tout n’est qu’énergie. Même Einstein le disait. Mais laissons-là l’ésotérisme classique un instant, nous ne sommes plus au 19e siècle pour ramener constamment avec les mêmes réflexes, le même vocabulaire et la même mystique. Soyons de notre temps et voyons ce qui est là.

Bon alors si on parle des années 1900, il y a bien le début de ce qui deviendra la parapsychologie et on dit un grand merci aux Joseph Rhine, Max Dessoir, Charles Honorton, Daniel Douglas Home, Richard Hodgson, Hans Bender, Bernard Grad et autres grands noms.

Soyons modernes et actuels alors saluons les fondateurs de la science noétique par exemple. Très intuitif, l’auteur américain Dan Brown, qui a le chic pour mettre le doigt sur des trucs fumeux et méconnus, mais tout à fait logiques,[5] l’a fait connaître au grand public.

La science noé… quoi ?

Vous n’avez jamais entendu ce mot ? Il faut dire à votre décharge que les adeptes sont rares et ne se font pas connaître. Ce mot vient du grec et pourrait vouloir dire penser avec intelligence. On ne parle donc pas de politique vous vous en doutez bien. Ce qui est le plus intéressant, c’est qu’on parle en fait d’une science noétique, une pseudoscience selon les arrogants, maîtres du savoir classique qui ne tolèrent aucun frelon dans la ruche laborieuse de la pseudo vraie science. Ils brandissent alors l’hypothèse nulle, le rasoir d’Ockham, et celui-là est sans contre dit le plus con des arguments. Un mot pour s’en débarrasser.

La science du rasoir est rasante

Elle coupe trop court et dénude au plus simple tout ce qui lui échappe. Le problème majeur de la science est d’être matérialiste et rationaliste alors que si une technique d’apprentissage du savoir devait être libre de tout préjugé évaluant à priori ce qui est acceptable ou non, c’est bien la science. Mais non. Elle va même jusqu’à dire qu’il vaut mieux une solution simple que complexe comme un aveu de paresse intellectuelle aussi fabuleuse qu’hallucinante. Le rasoir d’Ockham vient du mot raser qui apparemment en philosophie pourrait signifier éliminer des explications improbables d’un phénomène et tout cela nous vient du philosophe du 14e siècle Guillaume d’Ockham.

En d’autres termes, l’explication la plus simple est généralement la bonne. Le témoin qui raconte son observation d’un vaisseau de 20 mètres dans le ciel au-dessus de lui avec force détails, émotions et tout le bataclan sera accueilli par la plupart des scientifiques brandissant le rasoir d’Ockham. « Bref, t’as halluciné mon gars, repose-toi, t’as vu un truc bizarre c’est tout, fais-en pas un fromage, il y sûrement une explication autre que des extraterrestres s’intéressant à un quidam sans importance sur une route quasi déserte au milieu de nulle part. Hé oh… ça va pas »

Est-ce à dire que presque tout ce qui est plus simple est vrai ? Si oui, ils sont cons ! Mais heureusement les adeptes du rasoir d’Ockham les plus modérés affirment qu’en fait le rasoir d’Ockham c’est surtout d’envisager en premier lieu la plus simple des possibilités. Très grosse nuance, et oui là, je veux bien et c’est toujours ce que je fais sur le terrain, mais il faudrait alors cesser de parler de rasoir parce que ça coupe dangereusement ce machin-là, il n’y a pas de retour en arrière. Si l’hypothèse la plus simple ne tient pas la route, alors c’est elle qui doit être tranchée et non le phénomène dans son ensemble.

Pour la science le cerveau c’est Dieu

Alors la science vénère le cerveau, le système nerveux central, les neurones et les synapses devenant le seul et unique Dieu aux yeux des neurosciences. Tout s’explique par le cerveau et ses acolytes. Et bien à mes yeux, le cerveau n’est qu’un tapon de gras dans une solution sucrée-salée parcourue par du filage électrique et des puces programmables. En réalité c’est un ordinateur organique, mais ce n’est pas lui qui se programme, là est toute la base du conflit entre les spiritualistes et les matérialistes.

Un tapon de gras électrifié ne décide de rien, il obéit !

Ce n’est pas mon ordinateur qui écrit cet article c’est MOI. Il met un M O I quand je presse sur ces lettres de mon clavier. C’est tout ! Les scientifiques savent très bien que l’analyse la plus minutieuse, nanométrique, microscopique de la cervelle ne livrera rigoureusement rien sur la nature et le vécu d’un individu.

Le cerveau ne pèse pas même deux kilos et vérifiez si vous avez des doutes. Il est constitué de ce que la plupart des gens évitent d’ingérer : du gras ! Et pas qu’un peu, on parle de 60% et le reste n’a rien de très sexy. C’est de l’eau, des protéines, du sucre et du sel. Ce n’est même pas un muscle, c’est un tapon de gras avec des vaisseaux sanguins et des nerfs. Chaque fois que je vois un chou-fleur, je pense à lui. On se demande pourquoi les zombies en raffoleraient ! Niels Bohr, un des plus grands hommes de science avec Einstein, disait « qu’il faut bien avouer qu’il n’y a rien dans la physique et la chimie qui ait un rapport, même éloigné, avec la conscience ».

Qui donc est le vrai patron ici ?

Le système nerveux central est constitué d’une cervelle, déjà décrite, d’un cervelet, d’un tronc cérébral et de la moelle épinière qu’on a dans le dos. Ce ne sont par contre que des supports, un peu comme le blanc et le jaune d’œuf qui servent de nourriture à l’embryon qui deviendra le poussin. Hé ben non, ce n’est pas le jaune qui devient poussin, désolé ! Ce qui peut avoir une certaine importance par contre dans ce fatras de gras mouillé est l’ensemble des neurones et des synapses, et bien sûr des nerfs qui baignent dans tout cela.

Le nombre total de neurones du cerveau humain est estimé entre 86 et 100 milliards. Mais il y a aussi des neurones dans l’intestin, près de 500 millions et environ 40 000 dans le cœur. Pour entretenir ces neurones, on compte environ trois cellules gliales par neurone. Le neurone est la base du système nerveux. Si on tient à faire du cerveau un Dieu, alors on a intérêt à s’intéresser à ce neurone qui est en fait une très petite unité organique, la plus petite organique, soit une cellule. La cellule est l’atome du monde organique en somme.

L’activité du cerveau est une activité électrique. On l’appelle l’influx nerveux et il est constant. Il s’agit de signaux qui tels des messages parcourent le corps tout entier par l’intermédiaire des neurones qui assurent la transmission de ces signaux. Pour ça, il faut de l’oxygène, des protéines et du gras, tout ça dans le sang qui irrigue le gras sucré-salé.

Le but est de faire fonctionner le corps d’une part sans que personne n’en soit conscient, puis aussi en fonction des décisions prises par… ? Voilà la question. Prises par qui ou par quoi ? Le corps doit pouvoir réagir à son environnement et répondre aux stimulations de l’influx nerveux en traduisant ces chocs électriques par des impulsions très diversifiées. Des signaux, il y en a des millions et plusieurs se font seuls, c’est-à-dire que tout le mécanisme cardiaque, digestif, respiratoire et le système immunitaire notamment, fonctionnent sans aide. Ce sera aussi le siège de la douleur. Une main qui se pose sur une surface brûlante peut se consumer jusqu’à l’os si une douleur aiguë immédiate n’envoie pas ce signal pour que la main soit retirée, mais si on veut qu’un bras se lève pour poser une question ou que les jambes se mettent en mode de locomotion pour déplacer le corps, il faut un ordre : en avant, marche ! Quand on y regarde de près, on se rend compte qu’il n’y a aucune cellule-maître qui dirige tout cela. Il y a des milliards de neurones, mais aucun n’est le boss. Il n’y a pas même un semblant de conseil administratif de neurones, un comité; un directeur, non, rien. Chaque neurone fait sa petite affaire. Mais qui donc DOMINE l’ensemble des opérations qui font d’un homme un chef d’orchestre, un tueur en série, un grand comédien, un penseur, un écrivain, un mathématicien de génie, un pianiste de concert ou un dégénéré qui vit dans la fange.

Même au plus simple, il n’y a pas de réponse à cela au niveau physique

Là, je suis en train de taper cet article sur mon clavier, mais je viens de remarquer qu’une tasse de café froid traîne pas très loin de la souris. J’ai déjà cassé une tasse en l’envoyant valser, alors je vais arrêter de taper et aller porter celle-ci dans la cuisine, la vider, la rincer, la poser sur le comptoir et revenir boulotter. Qui a pris cette décision ? Quel neurone ? Qui s’est remémoré l’incident de la tasse brisée ? C’est MOI. Je reconnais par contre que cette décision a généré plusieurs réactions neuronales. Me souvenir de la tasse brisée, l’intention d’éviter une reprise, la décision de me lever, de procéder et de revenir. Des milliers de neurones, de synapses, d’axones de dendrites, de nerfs, des dizaines de muscles ont été mis en action pour ce faire, mais QUI est le boss de toute cette opération, au service de qui ou quoi toutes ces composantes ont-elles agi ?

La tasse brisée était un souvenir que j’aimais beaucoup. Une émotion a alimenté le souvenir pour que je ne brise pas celle-ci. Une émotion ? En fait, aimer une tasse en est une autre, parce que cette tasse évoquait un voyage, et là, des tas d’autres images sont survenues, mais qui a choisi ces images, qui a aimé ce voyage ? Un tapon de gras électrifié ? Non c’est MOI. Et ce MOI est une réalité tout autre que celle qui définit le moi animal d’une souris, car celle-ci ne fait que réagir à son environnement de manière très basique. Se nourrir, se protéger, se reproduire. Rien d’autre.

Pour les gens de science, ces questions ne sont pas répondues parce que non posées. Quand mon ordinateur ne fonctionne plus, je l’envoie se faire réparer. Le technicien, qui tel le neurologue se prépare à effectuer une chirurgie du cerveau, ne cherchera pas à savoir quels sont les documents, les manuscrits qui s’y trouvent, les échanges de courriels, pas plus que le chirurgien s’intéresse au métier, au statut marital, aux habitudes de son patient. Cellules, nerfs, neurones, sont sa préoccupation et l’autre va s’occuper du processeur, du disque dur, de la carte mère, de la mémoire RAM, etc. Qui est le vrai boss de l’ordinateur ? Le programmeur d’une part, mais surtout celui qui s’en sert : l’utilisateur. Si Je n’utilise pas mon ordinateur, il ne sert à personne, il ne sert à rien.

L’utilisateur du corps humain programmé par le cerveau est la conscience humaine, le Je, le Moi, et cela transcende toute matière parce que, contrairement à l’ordinateur qui une fois détruit perd toutes ses données, le Je survis à la mort.

On parle de science noétique

Ainsi donc la pensée et le Je, seraient des forces ou des valeurs extrêmement importantes pour l’être humain, mais où est la conscience si elle ne se loge pas dans le fatras neuronal ?

Ceux qui ont brillamment posé la question et qui se sont engagés à formuler des hypothèses et à trouver des pistes de réponses sont une autre espèce de scientifiques que les classiques. Ce sont les noétiques, car la science noétique est venue du besoin de plusieurs hommes de science très sensibles au surnaturel de trouver une méthode d’investigation adéquate. À la base, la science noétique cherche à faire la démonstration que la pensée peut influencer la matière, agir sur elle, et dès lors, constituer une masse mesurable. Mesurable oui, mais certes pas dans sa magnitude appréhendée avec nos instruments de mesure actuels.

J’ai soulevé la même question dans un autre article sur les neutrinos. Depuis toujours, on savait qu’ils n’avaient aucune masse et là… on découvre le contraire. Plouf ! fait la grosse roche dans l’étang de certitude des physiciens. Le corps psychique, l’esprit du décédé qui revient voir les siens, celui qui frappe, effrayant les enfants, sont-ils un peu comme le neutrino ? Détenteur d’une masse ? N’a-t-on pas évalué à 21 grammes le poids absolu de ce qui s’échappe du corps humain à son décès ?[6] Et si la conscience était une entité ? Une personne, une réalité structurée, mais invisible, incolore, inodore ?

Pour les hommes de science, la conscience ou la création de pensées s’inscrit dans leur sacro-sainte mécanique matérialiste et c’est là tout le problème. Ils la voient comme une simple propriété du système nerveux central. Pour eux, citant Pierre Cabanis (18e siècle) le cerveau secrète la pensée comme le foie secrète la bile. À penser de la sorte, ils vont bientôt proposer une psychodialyse cervicale pour les criminels enragés afin de les purger de leur maladie. On a l’impression de revenir aux diagnostics médicaux du moyen-âge sur les humeurs.[7]

Ils sont à scruter chacune des cellules en quête d’un signe, mais tout ce qu’ils sont forcés de constater est que c’est le cerveau qui réagit à l’abstrait. Il ne le crée pas. Quand le cœur bat d’amour, c’est lui qui fait battre l’organe et non ce dernier qui fait naître l’amour. Quand le cerveau fait secréter de l’adrénaline pour fuir à toutes jambes devant le chien qui charge, c’est la vue du chien, donc la peur, une abstraction puisqu’une émotion et qui déclenche le processus organique. Le cerveau ne crée rien, c’est un tas de graisse qui s’emballe et ne fait que réagir.

La pensée a une masse

La porte-parole de la science noétique Lynne McTaggart, conférencière et écrivaine, auteure notamment de La Science de l’intention (Ariane, 2008) nous dit que la pensée peut affecter « la croissance des plantes, la direction dans laquelle un poisson nage dans un bocal, la façon dont les cellules se divisent dans une boîte de Pétri » et qui sont autant d’expériences entreprises ces dernières décennies par des centaines de chercheurs dans le monde.

La Noétique s’est popularisée par sa prise en charge par des institutions comme l’Institut of Noetic Science (IONS) créé par l’astronaute Edgar Mitchell en 1973, l’International New Thought Alliance (INTA) une organisation dont les racines remontent au 19e siècle, mais aussi l’Integral Institute, l’Integral Research Center et son Journal on Integrated Theory and Practice ou encore l’Institut Suisse des Sciences Noétiques, l’Université Intégrale de Paris, le Club de Budapest, bref ça va finir par se savoir.

Selon le parapsychologue Yves Lignon, la noétique entend apporter un véritable éclairage scientifique aux phénomènes psi. Ainsi selon cette nouvelle science, les êtres humains, les objets, les animaux, les plantes seraient tous liés par un vaste champ d’énergie quantique qui leur permettrait de communiquer, d’échanger des informations à distance de façon instantanée. Dans mon livre Les Divergents, j’ai abordé cette question avec les champs morphogénétiques de Rupert Sheldrake lequel fait écho notamment au centième singe, une extraordinaire expérience sur l’atteinte d’une masse critique porteuse de changements globaux.

Les sciences noétiques ne font que reprendre à la moderne et sous un angle plus techno, que spirituel, les grands mystères anciens, les grandes vérités occultes, les grands principes de l’ésotérisme connus depuis des milliers d’années.

Nous sommes d’abord et avant tout une Énergie Pensante

Cette Énergie, que j’ai aussi appelé Entité, a pensé pour sa gouverne le plus utile accessoire d’apprentissage qui soit : la matière. Telle l’argile de la fable bibliste, elle en a fait ce qu’elle voulait et ce qui convenait, dimensions à densité variable, univers, galaxies, mondes, planètes et surtout la plus importante appli de cette matière : la vie ! Et vous et moi en sommes en partie l’aboutissement.

Alors à bas la déprime

Ah bon ? Oui, à bas la déprime. Tout a été pensé, tout a été écrit, tout est sous contrôle tout est parfait. Tout ce qui nous arrive est le fruit d’une fabuleuse expérience de vie. La nôtre. Nous sommes le laboratoire, le chimiste, l’équation, le bécher, le feu, l’air, les éléments, l’expérience et le résultat. Nous sommes l’Expérience et nous en sommes le Créateur. Nous sommes le Tout.

Alors, cessez de gémir et de vous plaindre et de craindre tout, d’avoir peur de votre ombre, des virus ou des bombes atomiques. Ça va, tout est sous contrôle. Votre vie est super ? Grandiose ? Misérable ? Pathétique ? C’est comme dans les films, c’est du cinéma, la vraie personne n’est pas le personnage, mais le comédien. Votre existence est une illusion sur grand écran. Le film finira bien par finir et vous retrouverez votre maison, votre Famille, comme Richard Guilbeault l’a fait.

En terminant, sachez que pour que ce Plan de l’Entité ou de l’Énergie fonctionne, il doit être supervisé. Oui quand vous montez à bord d’un manège complètement fou tout est prévu même dans les courbes et les virevoltes les plus folles, mais le soir quand la fête foraine s’éteint, il y a des techniciens qui vont inspecter chaque rail, chaque boulon, pour s’assurer que tout baigne dans l’huile.

Alors ces apparitions, ces êtres décédés qui apparaissent, ces fabuleuses créatures, ces anges gardiens, ces ovnis, bref appelez-les comme vous l’entendez, viennent aussi de temps à autre s’assurer que TOUT SE PASSE COMME DANS LE SCÉNARIO QUE VOUS AVEZ RÉDIGÉ. Certains les voient et en parlent dans des livres, mais les autres ne sont conscients de rien, tout comme ils ignorent que le type qui est monté dans le manège fait son job. Mais si tout déraille alors… c’est que ça aussi c’était prévu !!!

Nous sommes TOUS l’excroissance d’une Pensée. La Nôtre ! Alors on se calme, on relaxe et on enjoy the ride !


[1] La majorité des événements que je décris me concernant sont largement présents dans le livre, 50 ans d’ufologie profonde – livre 1, publié chez Louise Courteau.

[2] Le Petit Prince de St-Exupéry

[3] Un texte sacré d’origine inconnue

[4] Collection Ufologie profonde chez Louise Courteau

[5] Il a le mérite d’avoir vulgarisé et dès lors popularisé, plus que quiconque auparavant avec 60 millions de copies vendues de Da Vinci Code, un Jésus humain, physique et surtout marié avec une descendance, puis dans d’autres œuvres, la science noétique et plus récemment, l’intelligence artificielle.

[6] Hypothèses sur la substantialité de l’âme et preuves expérimentales de son existence que le docteur Duncan MacDougal publia dans le New York Times et la revue médicale American Medicine.

[7] Selon Hippocrate au 5e siècle avant J.-C, la saignée permettait de rééquilibrer les humeurs du corps : la bile, le sang, le flegme et la bile noire. Jusqu’au moyen-âge on attribuait les maladies à un déséquilibre de ces humeurs. Avec des sangsues, on pompait du sang afin de soulager le malade.

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Catégories :Articles - Ufologie profonde

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2 réponses

  1. Merci pour cette belle lecture très intéressant, et bon Je ,nous sommes tous

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  2. Tout est Vie .Merci

    Aimé par 1 personne

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