
Dans mes premiers articles comme dans mes premiers livres, et encore maintenant, j’ai toujours soutenu la thèse de l’immixtion extraterrestre reprenant une thématique depuis déjà longtemps exprimée notamment par des chercheurs aguerris comme Brinsley Le Poer Trench, Robert Charroux, Pauwells et Bergier et de nombreux autres.
Extraterrestres ! Ce terme funeste qui fait fuir les bonnes gens en repos sacrificiel de la pensée because leurs attaches religieuses ou en panne d’innovation parce que bloqués par une science qui tarde à bouger n’est pourtant pas si terrible. Je pense avoir démontré par hypothético-déduction dans mon dernier article que si nous admettons sans le prouver – faute d’une technologie adéquate – que la vie intelligente est très répandue dans notre vaste univers, une hypothèse qui par la loi des nombres tient certes plus la route qu’une autre voulant que nous soyons la seule espèce qui serait alors représentative d’une loi d’unicité laquelle n’existe pas, alors tout, et je dis bien TOUT, devient possible.

On peut penser à des êtres intelligents évoluant chacune dans son milieu à des niveaux qui diffèrent évidemment, notamment par le facteur temporel qui marque leur arrivée au stade de l’intelligence, de la conscience de soi ou d’êtres escients, mais aussi dont l’ancêtre dominant soit autre qu’un singe. Le Troodon par exemple, selon plusieurs experts, aurait été un excellent candidat à l’intelligence. Malheureusement, il a disparu comme tous les autres dinosaures il y a 65 millions d’années. Nous aurions ailleurs qu’ici, des êtres intelligents de facture humaine, et également de facture humanoïde, dont reptilienne entre autres, sans perdre de vue que rien ne s’oppose à une évolution de la vie avec un atome de base autre que le carbone par exemple le silicium. L’évolution de ces êtres en civilisations organisées et prospères serait alors :
- peu avancée par rapport à nous, pour une proportion impossible à déterminer,
- avancée et similaire à la nôtre toujours dans une proportion impossible à déterminer ou,
- très avancée donc beaucoup plus que nous et encore là dans une proportion impossible à démontrer. Les trois options sont également fort probables
On peut dès lors en déduire que toute avancée, toute croissance signifie plus de complexité, incluant l’acquisition du savoir et la compréhension de phénomènes auparavant insaisissables. Ce fut le cas sur Terre d’ailleurs avant la découverte des mécanismes quantiques et de principes faisant progresser notre technologie. C’est ainsi que nous sommes passés de la fusée chinoise du 13e siècle qui se révéla plutôt une bombe qui tua l’empereur désireux de se rendre sur la lune, au télescope James Webb, à la station internationale, au tourisme spatial sans oublier le Large Hadron Collider du CERN à Genève.
Rien ne s’oppose dès lors à ce que des civilisations très en avance sur nous aient découvert depuis fort longtemps des modes de déplacements à faire rêver et qui se moquent des nombres interminables en termes de distances supraluminiques. On parle alors de portails, de trous de vers, mais qu’importe puisque nous sommes encore à des années-lumière de tout cela, ce qui devrait nous emmener à poser un regard pétri d’humilité sur le ciel plutôt que ce facies tordu par une agressive méfiance dès que le mot extraterrestre est prononcé.
Dans mon livre, Il était une fois des extraterrestres et des humains, chez Québec Livres, je cherche à démontrer que, lorsque par une pensée holistique élargie on parvient à concilier différentes hypothèses à la fois scientifiques, historiques, et autres, l’idée que nous soyons nous-mêmes une espèce qui aurait pu être visitée il y a fort longtemps et modifiée par différentes manipulations génétiques tient parfaitement la route. Brutalement, comme ça, cette idée lancée au beau milieu d’un party de bureau peut choquer, mais une fois analysée froidement cela n’a pourtant rien de choquant. Nous-mêmes tentons constamment d’améliorer des espèces comme le chien, le chat, les bovins et les ovins et, n’eût été des lois occidentales qui prohibent le clonage humain, c’est dans nos cordes de le faire et certaines nations moins moralisées que les nôtres s’y adonnent sans aucun doute en toute discrétion. L’ufologie profonde, quant à elle, atteste de cela et va plus loin en affirmant que ce processus transgénérationnel effectué par des êtres ne provenant pas d’ici se poursuit encore de nos jours, sur une échelle évidemment plus réduite, mais de manière ultra discrète. Une amie internaute, Chantal Lévesque, m’a fait parvenir des liens Dailymotion animant un documentaire parmi les plus intéressants, Une nouvelle histoire des hominidés. Puisque ce dernier ne traite justement pas du tout de l’évolution de l’homme en l’abordant sous cet angle singulier de l’extraterrestre intervenant dans notre évolution qui pourrait être interprété comme un biais cognitif, cela en fait toute la beauté comme vous verrez. Je ne vais pas nommer tout un chacun dans ce documentaire de Arte en France et Discovery aux USA mais déjà Philip Tobias est une référence mondiale en paléontologie.
Alors il dit quoi ce docu ?

Essentiellement il dit qu’on a tout faux depuis fort longtemps. En fait, on a eu tort de prêter à Lucy, l’australopithèque découverte en 1974, la mission de porter haut la théorie de l’évolution à partir exclusivement du milieu. Ainsi, on a toujours cru que les herbes de Rhodes, ces grands épis jaunes caractéristiques de la savane, ont obligé l’homme primitif, à peine sorti du singe, à se redresser pour voir au-dessus des herbes. Pas fou ! Ce faisant, il libérait ses pattes de devant qui, avec l’évolution, allaient devenir des mains habiles ce qui permettait à la tête de pivoter sur un nouvel axe plus utile. Bref l’homo sapiens était la suite à venir.
Faux faux faux, disent maintenant les paléontologues. Ce qu’il faut savoir ici avant de poursuivre c’est qu’il y a deux écoles de pensées. L’une qui dit que l’évolution survient en fonction du milieu et l’autre qui dit qu’elle survient de l’intérieur qu’importe le milieu. Moi je n’y connais rien, mais ça m’agace de constamment diviser les choses en deux camps opposés alors que dans les faits, l’évolution pourrait être induite par la créature elle-même dans un processus qui lui est propre TOUT en étant sollicitée par un milieu, un environnement particulier qui changerait et provoquerait des mutations.
Tobias ajoute :
« Cette hypothèse de l’humain primitif qui devient homo erectus à cause des herbes folles qui lui obstruent la vue est à jeter à la poubelle. L’homme primitif était un être sylvestre, il vivait dans les forêts et la découverte récente de squelettes extrêmement anciens et fort bien préservés prouve qu’il était arboricole. Il grimpait aux arbres. »
Puis d’autres découvertes se firent avec le temps, et bien que publiées ces nouvelles ne font jamais les journaux du matin alors personne n’en sait rien. Ainsi, Ron Clarke, Anne D’Ambricourt, Michel Brunet, Tobias, sont tous de grandes vedettes du roc, à défaut du rock, alors ils ne sont pas connus, leur nom ne nous dit rien, mais ils sont les Céline Dion, les U2, bref les stars de la paléontologie. Surtout Anne D’Ambricourt. Ce qu’ils disent c’est que le secret de l’évolution est maintenant connu. Il se trouve non pas à l’extérieur de lui dans son environnement, mais à l’intérieur de son crâne et c’est la clef de voûte de l’ensemble de notre évolution. C’est un os : le sphénoïde. Il ressemble à un papillon. Mais quand il bouge, il affecte positivement le crâne et dès lors, la nature ayant horreur du vide, le cerveau prend du volume.

En 60 millions d’années, il a modifié sa position 5 fois et chaque fois cela a créé un sursaut de l’évolution du cerveau en modifiant le crâne pour faire de la place, l’obligeant à prendre de l’expansion. J’ai bien dit un SURSAUT, c’est important. Le plus incroyable cependant c’est qu’il continue d’évoluer. Alors vers quoi va-t-il nous mener ce petit os ? Vous me voyez venir ?
Au départ cela peut sembler absurde de confier à un os dans le crâne le soin de toute notre évolution. Pas vraiment. On démontre de plus en plus qu’il suffit de très peu de changements pour provoquer une mutation. Par exemple, on estime que le pouce de la main, qui n’est quand même pas l’os oscarisé du corps humain, s’il n’existait pas, ferait de nos quatre doigts de simples orteils de pied n’ayant aucune utilité. Si par involution l’humain devait perdre son pouce préhensile, nos mains perdraient les doigts qui redeviendraient des orteils. Nos mains redeviendraient des pattes et nous marcherions dessus. À cause du pouce manquant !
Le sphénoïde lui n’est pas un petit os de la main, mais la clef de voûte du crâne, là où se trouve le siège du système nerveux central. Or l’évolution ne serait plus comme on le pensait, une très lente progression successive de tous petits changements imperceptibles s’échelonnant sur des millions d’années. Oui l’évolution prend son temps, mais elle n’est pas constante. Elle fait comme nous quand on s’allonge au soleil près de la piscine. Brusquement on se lève et on va se préparer un sandwich ! Les plus récentes découvertes échelonnées sur plusieurs décennies tendent à démontrer, notamment avec les travaux D’Ambricourt, que l’évolution a pris de longues pauses au cours des derniers 60 millions d’années, puis brusquement en un laps de temps paléontologiquement court, le corps humain s’est radicalement transformé, comme ça, tout bêtement, à 5 reprises, la dernière ayant eu lieu il y a 160 000 ans. C’est nous ça ! Et chaque fois les mutations ont été spectaculaires.
C’est là que l’ufologie profonde commence à trouver son sens parce qu’on peut très sérieusement se demander quels ont été ces facteurs accélérants. L’environnement ? Le milieu ? Chose certaine, c’est le sphénoïde qui est le plus affecté par ce processus répétitif d’évolution rapide et il est associé au développement du crâne donc, comme déjà dit, à la taille et à la complexité du cerveau. Mais pas pour tous. Le sphénoïde des lémuriens n’a pas bougé en 60 millions d’années, cependant il y a 40 millions d’années, il a bougé chez certains et les singes sont apparus. Puis les prochaines grandes mutations vont survenir plus rapidement, plus rapprochées dans le temps et viendront les grands singes.
Il y a 6 millions d’années, l’os miraculeux fait apparaître le mi-homme, entre le singe et l’humain. Il n’est pas encore un petit monsieur, bien que son cerveau soit grandement développé. Puis, une pause de 4 millions d’années quand, il y a 2 millions d’années, apparaît le genre homo qui marche toujours debout, qui court et saute avec un sphénoïde qui a encore changé de position et qui lui permet alors d’en arriver au plus grand développement qui soit : le langage. Puis encore plus rapidement, nous allons nous isoler des hominidés classiques pour devenir l’homo sapiens et finalement l’homme moderne. Le sphénoïde est encore une fois pointé du doigt comme étant le marqueur génétique du changement.

Mais le plus ancien langage qui existe encore à ce jour est celui des peuplades aborigènes d’Afrique du Sud appelés aussi Bushman. Vous souvenez-vous du film, Les dieux sont tombés sur la tête ? Vous souvenez-vous des sons de cliquetis qu’ils font avec leur langue ? Savez-vous ce que c’est ? Un vestige de centaines de milliers d’années avant eux, alors que le premier homme à parler n’arrivait pas à prononcer correctement les voyelles, il remplaçait cela par un clic ou un clac. D’ailleurs, ce n’est pas le manque d’intelligence, mais la position du sphénoïde chez les chimpanzés et le gorille qui les empêchent de pouvoir former des sons aussi variés. Un jour, mais très lointain si on considère leur très lente évolution, ils finiront par développer un langage.
Il y a 160 000 ans donc, le sphénoïde change encore de position, le cerveau grandit, se complexifie et se place à peu près là où il est maintenant. Le langage est sans contredit l’outil de partage des connaissances le plus extraordinaire qui soit pour la compréhension de projets, de stratégies, ce qui fit en sorte que très rapidement l’homme des cavernes s’est mis à voyager. Certains sont demeurés en Afrique alors que les autres se sont dirigés vers l’Ouest en Europe et vers l’Est en Asie maîtrisant le feu notamment et plus tard découvrant la roue sans parler du développement de cultures propres au clan incluant les arts dont celui rupestre qu’on a découvert un peu partout dans le monde.
C’est là que les espèces se sont diversifiées en races, un faux terme qu’on devrait remplacer par ethnies. La dispersion incroyable des premiers homo sapiens en Afrique, en Europe et en Asie a créé plusieurs berceaux très différents de notre modernité surtout en Afrique et en Asie, car en Europe, c’est surtout le Neandertal qui a proliféré, mais cette espèce s’est éteinte tout comme le sinanthrope en Asie il y a de cela 30 000 ans parce qu’incapables de survivre aux grands changements climatiques dont une formidable ère glaciaire alors que les autres étaient adaptés et capables de le faire ou parce qu’éloignées de ces zones dévastées. On va donc se retrouver avec différents homo sapiens selon le berceau d’origine une fois les migrations amorcées.
Donc l’homme devient un être foncièrement intelligent, il parle, s’exprime artistiquement et développe une culture et pour toutes ces différentes ethnies, le sphénoïde lui, reste le même pour tous. Il a évolué par grandes mutations à 5 reprises et non par une progression très lente et continue d’acquisitions de capacités de plus en plus utiles.
Ça ne va pas s’arrêter !

Personne ne peut le prédire, mais dans quelques centaines, milliers ou dizaines de milliers d’années, il y a aura une autre grande mutation. Là-dessus, aucun spécialiste n’ose s’avancer, car elle pourrait prendre des virages inattendus et pas nécessairement les mêmes pour tous, mais l’os sphénoïde sera toujours au cœur de ces mutations. S’il bouge et il va bouger, le crâne pourrait alors prendre des proportions plus grandes, devenir plus sphérique et nos mâchoires seraient beaucoup plus petites, moins proéminentes, moins dominantes dans le visage. On commence à avoir des images qui évoquent les films de fiction ? Le langage parlé pourrait s’atténuer alors que des capacités télépathiques pourraient se développer ? Non ?
Mais là, ces mêmes scientifiques s’inquiètent, car jusqu’à ce jour, l’homo sapiens a toujours subi sans rien dire ces mutations, il n’a jamais pu modifier celles-ci, les accélérer ou les ralentir. Mais qu’arrivera-t-il à l’humain si dans quelques milliers d’années il décide par eugénisme d’intervenir au niveau de son ADN, de ses cellules ou pire, à créer une fusion entre l’organisme et une technologie d’implants permanents créant ainsi les premiers cyborgs ?
Mais revenons aux prédictions des scientifiques sur l’homo futura. N’est-il pas étrange de constater que l’humain de demain pourrait commencer vraiment à ressembler à ces êtres au crâne surdéveloppé et chauve, aux mâchoires quasi absentes et que nous appelons des extraterrestres et que nous hériterions de leurs traits parce que génétiquement modifiés par eux depuis des temps immémoriaux ? Est-il alors possible d’affirmer que depuis plusieurs décennies nous serions en train d’ouvrir la voie à une espèce hybride entre l’homo sapiens et l’autre et que cela exprimerait de facto LEUR objectif primaire !
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