
Des guerres il y en a eu, à n’en plus finir. Si vous effectuez une recherche en ligne, vous découvrirez qu’elles s’échelonnent en un endroit ou autre de la planète depuis le 24e siècle avant J-C, jusqu’au 21e siècle de l’ère présente. C’est l’activité humaine la plus partagée et la plus fréquente. Mais certains despotes et tyrans ont dépassé la démesure créant ainsi une réputation de tueur infernal à l’être humain. Si le Mal est en nous, tout comme le Bien, il est aisé dans ce cas de le solliciter en modelant des projets ici et là, en créant des opportunités, en épandant un engrais riche pour LE faire germer. En découvrant certains de ceux que nous traitons d’abominables personnages, on réalise très vite que la survie, le besoin de ressources ou de territoire ne sont pas toujours les véritables motivations derrière les plus meurtrières de ces guerres. En d’autres termes, que Hitler ait voulu faire la guerre pour agrandir le territoire germain au nom du Lebensraum, l’Espace vital, est ridicule. Hitler était un être haineux, affamé de pouvoir, raciste à l’extrême et désireux de venger l’humiliation suprême de l’issue finale de la guerre 1914-1918.
Les trois motivations guerroyantes les plus probantes sont toujours les mêmes, soit les croyances religieuses dogmatisées, le désir de dominer par un pouvoir absolu, social, politique, économique et militaire et les conquêtes pour obtenir des ressources, lesquelles permettront d’exercer ce pouvoir sur une plus grande échelle. Le mamonisme est évidemment au service du pouvoir absolu.[1]
C’est ainsi que l’histoire de notre monde est entièrement dominée par le fruit du pouvoir absolu et de l’argent qui conduit à la guerre. Faites une recherche sur guerres de l’humanité, vous abandonnerez après dix pages. J’ai constaté dans l’article sur les papes que de nombreux représentants de Dieu semblaient plutôt venir directement des Enfers, mais ils sont mignons avec leurs petites fautes commises sous la bure et la soutane si on les compare à ceux que voici.
Permettez-moi de vous rapporter les plus ignobles guerres en débutant par la moins sanglante, mais tout de même très féroce guerre au Congo, particulièrement la seconde, dont les racines ont pris naissance au Rwanda. On estime qu’à ce jour, elle a fait 6 millions de morts lorsqu’elle s’est terminée en 2003. Il faut se rabattre ensuite sur la célèbre révolution russe survenue en 1917. En renversant le tsarisme, le communisme a causé la mort d’environ 8 millions de personnes jusqu’en 1921. Un despote qui en renverse un autre a pour excuse et justification l’indispensable révolution.
Transportons-nous de 1862 à 1877 avec la Révolte des Dounganes. C’est la religion qui oppose les autorités chinoises aux Hui, des habitants convertis à l’islam. Cette guerre causera la mort de plus de 12 millions de personnes.
Comment ne pas nommer l’un des tyrans les plus terrifiants de l’histoire des hommes. Timur Lang ou Tamerlan. Si ses massacres qui ont fait 20 millions de morts s’étaient produits au 21e siècle avec les technologies de guerre modernes, ce chiffre pourrait se multiplier par dix. Timur Lang n’était pas un simple guerrier. Sa cruauté n’a aucun égal, d’autant plus qu’il n’avait nul besoin stratégique de tuer autant de gens pour en arriver à ses fins. Ce turco-mongol qui conquit une grande partie de l’Asie Centrale et de l’Ouest au 14e siècle, massacrait intégralement les habitants des villes qui lui opposaient, non pas une résistance féroce, mais un simple refus presque poli de se rendre, n’épargnant ni femme, ni enfant, avec une cruauté sans nom. Étonnamment, ou pas c’est selon, il est encore l’objet d’une profonde vénération par de nombreux Mongols. Il faut voir l’immense statue de Tamerlan à Samarcande !

De 1851 à 1864, la révolte des Taiping a fait des victimes en très grand nombre, et comble du cynisme, le mot Taiping signifie Grande Paix. C’est une autre guerre de religion, pas de surprise ici, et bien sûr d’inspiration chrétienne, encore moins de surprise, puisque Hong Xiuquan voulant sauver la Chine, fonda la secte des Adorateurs de Dieu, en entremêlant aux traditions chinoises des textes fondateurs chrétiens, des extraits de la bible et se proclamant deuxième fils de Dieu et frère de Jésus. Oups du déjà vu ! Un jour, la Chine en eut assez du frangin de Jésus et envoya ses armées massacrer tous les habitants de la région, soit entre 25 et 30 millions. Puis de 1616 à 1662, toujours en Chine, la dynastie Mandchoue s’est rebellée contre sa rivale au pouvoir, celle des Ming. Ce fut une très longue guerre qui se termina par la prise de Pékin en 1644 et fit près de 25 millions de morts. La Chine n’est qu’une chose, en tout ce qu’elle est et fait : la démesure au sens le plus élargi. C’est le pays au monde qui aura fait le moins de victimes non chinoises et le plus grand nombre de victimes chinoises. On est loin d’avoir fini d’entendre parler d’elle !
Demeurons en Asie, avec cette fois les conquêtes mongoles avec ses 60 millions de morts approximativement, selon les historiens. Nous chevauchons le 13e et le 14e siècle et chevaucher est le bon terme, puisque nous avons à faire avec les Mongols, une fois de plus, ce peuple nomade brave, fier et sans peur. L’empire mongol du temps est encore à ce jour le plus grand qui ait jamais existé, couvrant plus de 33 millions de kilomètres carrés. Si vous avez du mal à en visualiser l’étendue, partez de l’Europe de l’Est jusqu’au Japon en englobant la Sibérie puis annexez l’Asie du Sud jusqu’au Moyen-Orient. On parle ici de Gengis Khan et de son petit-fils Kubilaï Khan.
Je pourrais aussi vous parler de la révolte d’An Luhan, au 8e siècle, qui n’appréciait guère les Tang et les élimina, faisant 36 millions de morts. Mais bien sûr, les conflits les plus meurtriers de toute l’histoire demeurent la Première et la Seconde Guerre mondiale avec respectivement 35 et 75 millions de morts.
Temutchin
Derrière toute guerre, il y a des hommes, parfois très peu, et cela suffit comme dans le cas de Temutchin. Le petit Temutchin est né en 1155 dans la famille du chef de clan des Qiyat. Il devient orphelin de père assez rapidement et va errer dans la steppe avec sa mère, ses frères et ses sœurs traînant sa yourte. Doté d’une force de caractère évidente, dont celle de leader, le jeune Temutchin se taillera une place de choix au sein de sa communauté, notamment en prenant la tête de plusieurs autres clans ce qui dès lors, selon l’usage, lui donne le titre de Khan. En 1206, à 40 ans, il devient le roi universel, ce qui se traduit par Gengis Khan.
« Peuple nomade vivant de l’élevage extensif des troupeaux dans les steppes d’Asie, les Mongols bénéficient en ce début du XIIIe siècle de conditions climatiques exceptionnelles qui leur assurent toutes les ressources en vivres indispensables, à de lointaines expéditions d’où la capacité militaire très étendue de Gengis Khan. »[2]

Mais ce qui intrigue est précisément la décision que prend cet homme de soudainement devenir l’un des plus grands tyrans de l’histoire de l’humanité. Rien ne vient expliquer ce besoin, cette urgence en furie de brusquement porter son regard au loin et se dire : « Je veux avancer et conquérir tout ce que je vois jusqu’à ma mort ». Ce ne sont pas des besoins dictés par un espace vital insuffisant, la Mongolie étant presque non peuplée, il n’existe aucun besoin à remplir derrière son obsession. Entre 1206 et 1215, il va d’abord se rallier les Ouïghours et les Ongüt, d’autres ethnies peuplant la steppe et qui sont situées tout près de la Chine. C’est alors qu’il prend cette décision de la conquérir. En mai 1215, il force les portes de Pékin, en massacre toute la population et la détruit de fond en comble. Pékin est rasée. Pourquoi ? Les historiens sont unanimes, rien n’explique un tel geste avec tant de morts inutiles, car même en ces temps reculés, il est rare de voir une telle férocité chez un seul homme, car ce n’est pas là un leader soumis à de puissantes influences diverses provenant de sources quasi ésotériques comme ce fut le cas pour Hitler.
Revenons sur les besoins traditionnels d’une guerre massive. L’espace vital des Allemands dans une Europe qui en restreint l’étendue, le lebensraum s’explique selon certains, même s’il était parfaitement inutile pour la survie de l’Allemagne. L’attaque du Japon sur les États-Unis se justifiait stratégiquement parce qu’étant une ile, elle était privée de toute ressource pétrolière par les US, la condamnant à suffoquer.[3] La révolte russe contre les Tsars qui affame son peuple s’explique, bien que le léninisme n’a guère fait mieux, mais quand on occupe une terre aussi vaste que la Mongolie, qu’on parcourt à cheval pour y planter ses yourtes,[4] en quoi massacrer Pékin répond-il à une nécessité sociale, politique ou de stratégie militaire, demeure à ce jour sans réponse. Même Alexandre le Grand n’a jamais été aussi ignoble. Il a conquis presque autant que Khan, mais il occupait ces villes, les administrant sans massacrer les populations civiles. Une fois Pékin rasée, le grand Khan rebrousse chemin et s’en prend à tout ce qui vit dont Kara-Khitaî en 1218, faisant de lui le maître absolu de toute l’Asie du Nord, incluant la Chine. L’année suivante, il prend l’Ouzbékistan actuel et Boukhara une très grande ville riche d’origine persane. Des milliers de vies sont prises, mais la ville n’est pas rasée, Samarcande non plus d’ailleurs. Rassasié ? Non. Il décide de s’en prendre à l’Afghanistan, et cette fois, pas de quartiers, il va massacrer à Bactre des centaines de milliers de gens, laissant derrière lui, ruines et désolation, toujours dans cet état de nos jours. On a l’impression de lire les exploits de Yahvé dans la Bible ! Il aurait apparemment confié un jour, à on ne sait qui, « que la terreur par le massacre est la seule façon de soumettre les autres ».[5] Il a en tête l’Ukraine, la Hongrie, la Russie, la Perse et ce qui reste de Chine. Il est fort à parier que l’Europe aurait été dans sa mire s’il n’était pas tout bêtement tombé de son cheval, se rompant le cou vers ses 70 ans ! Mais sur son lit de mort, il donne à ses quatre fils le mandat de poursuivre son œuvre. L’un d’eux, Yelû Chucai, meurt à son tour alors qu’il achève de conquérir la Chine. Un des petits fils, Batu, et sa descendance vont toutefois terroriser la Russie pendant près de trois cents ans. C’est finalement un autre petit-fils de Gengis, Kubilaï Khan, qui occupera la Chine entière en 1251 pour en devenir l’empereur et nous le connaissons bien pour être celui qui accueillit Marco Polo.[6]
Cela ne s’invente pas des gens pareils, ils sont diaboliques, mais apparemment sains d’esprit, libres d’influences notoires, résilients et déterminés à tuer, tuer et tuer encore. Cela donne à penser que si le Diable existe, il finira bien par montrer à l’univers tout entier que ce Porteur de Lumière avait entièrement raison de peindre ce portrait honteux de la race humaine si elle est capable d’accoucher de monstres pareils.
L’insignifiant Gavrilo qui mit le feu à la planète entière
Cette situation atteindra un sommet après un évènement précis et s’éteindra presque entièrement quelques décennies plus tard. Ce qui va déclencher ce raz-de-marée n’est pourtant qu’un petit grain de sable révolutionnaire dans les rouages monarchistes.
Un Serbe, Gavrilo Princip, un petit étudiant tuberculeux au physique malingre et très ingrat, dont la motivation pitoyable n’est que de frapper pour frapper, comme la plupart des débiles qui sont recrutés par les organisations suprémacistes ou anarchistes, tue l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche et son épouse, presque sur un coup de tête. Ce geste radical non commandité, Princip agissant seul et spontanément, ne demeure pas impuni. L’impériale Autriche veut déclarer la guerre à la Serbie, rien de moins, mais celle-ci est protégée par la Russie.
De nos jours, un tel incident susciterait une grande colère, des punitions onusiennes, mais avec l’expérience, les grands éternuements de ce genre ne mènent à aucune maladie grave. Un tas de diplomates aguerris auraient tôt fait de désamorcer l’affaire, il y aurait des compensations, des ententes, des arrangements. Après tout ce n’était pas un 11 septembre, lequel d’ailleurs n’a pas déclenché de guerre mondiale ! Mais en 1914, le monde est beaucoup plus fou et plus dangereux que maintenant et croyez-le, c’est une réalité historique. L’Allemagne, une alliée fidèle à l’Autriche, victime du meurtre, fait savoir à la Russie qu’elle a intérêt à ne pas s’en mêler. C’est alors que par le jeu des alliances tissées et retissées d’une précédente guerre à l’autre, dont celle de 1870, la France, l’Angleterre et même les États-Unis s’en mêlent. Personne ne cherche la paix, tout le monde veut se battre et sortir gagnant dans ces échanges entre ruches et termitières agressives, plus particulièrement celles du Tsar Nicolas II et du Kaiser allemand Guillaume II qui seront directement responsables de la suite et de fait, la Première Guerre mondiale éclate en 1914 à la grande surprise de tous.
Or, durant son sanglant déroulement, en 1917, les Romanov sont assassinés. Lénine, le père du communisme, cette grande nouveauté sur l’échiquier international, vient de s’emparer du pouvoir. Ce régime s’abreuve alors d’une indéfectible haine à l’encontre du tsarisme, alimentée en partie faut-il le dire par le sectaire khlysts[7] déjanté et trop près de la cour impériale qu’était le moine Raspoutine. Lénine ne carbure qu’à la haine, alors ce sera la haine de la bourgeoisie, de l’aristocratie et finalement la haine de tout le monde. Les Romanov ne furent pas chassés du pouvoir ou envoyés en exil, ils furent abattus tous ensemble, sans pitié, avec leurs enfants, leurs corps jetés dans une fosse commune. Vous auriez pu tirer sur les enfants Romanov vous ?

Les communistes imaginés par Marx n’allaient jamais voir le jour, ils furent supplantés par des tyrans et des tueurs dont Lénine, fidèlement suivi par Staline, dont le bilan des morts est plus élevé que celui d’Hitler, soit environ 20 millions de personnes. Aucun pays, aucune nation n’a encore appliqué le communisme marxiste dans son idéal, reposant sur les authentiques et purs principes socialistes, se voulant une forme d’organisation sociale sans classes, sans État et sans monnaie, où les biens matériels allaient être partagés entre tous de manière égale. Il y a un mot pour cela, une utopie, d’où le pourquoi de son inexistence.[8] La Révolution d’Octobre, sous Lénine, fait du communisme la véritable expression politique du mouvement ouvrier au détriment de la social-démocratie dont il est issu. Sous la férule d’un régime aussi complexe, gigantesque que totalitaire, puisque non élu, le peuple n’a droit qu’à ce qu’on daigne lui accorder et c’est très peu. Il ne peut dire que ce qu’on lui permet de dire et faire que ce qu’on lui ordonne de faire.
En moins d’un an, la Russie passe de la tyrannie tsariste à la tyrannie communiste. Tout comme un virus qui mute, la tyrannie porte désormais le nom de Soviet suprême. Mais à tout monstre, il faut lui en opposer un similaire.
Alors vint le capitalisme
La notion du capital a donné naissance à la liberté d’œuvrer en dehors des griffes de l’État, c’est-à-dire que tout individu obéissant aux lois et aux règles de la société, dite capitaliste, peut se lancer en affaires sans aucune limite. L’idée maîtresse est le financement par l’achat d’actions faisant miroiter un retour sur investissement. Beaucoup d’appelés et peu d’élus peut résumer l’essence même du Capital, car dans les faits, c’est la Loi du plus fort, du plus intelligent, et finalement du plus riche. Dès ce but atteint, l’intelligence et le jugement deviennent très secondaires. J’ai eu une discussion avec une femme d’affaires américaine, trumpiste, républicaine et très arrogante en Floride et j’ai pu me rendre compte que pour elle, si tu n’as pas de talents en affaires ou pas la santé pour l’exercer et que le système va trop rapidement pour toi, ce n’est pas le goddam problem of the nation. Le capitalisme peut alors très rapidement devenir sauvage. Comme elle !
Des générations et des générations se sont succédées avec, toujours à la base, un pourcentage très mince de riches extrêmes[9] et un très grand nombre de gens démunis, avec au centre, récente dans l’histoire, l’aménagement d’une classe moyenne.[10] Il existe encore une quantité phénoménale de gens qui croient que l’Amérique is the Land of Opportunity, justifiant de ce fait le regard indifférent ou méprisant qu’ils jettent sur ceux qui ont échoué, fait faillite, qui ont manqué de talents, raison pour laquelle l’émission The Apprentice fut si populaire.[11]
Un autre tyran candidat du Mal incarné
Est-il possible que contrairement aux Léopold Dion de ce monde qui ont vécu une existence les préparant à devenir les monstres qu’ils sont devenus, il existe des humains qui ont choisi librement de le devenir ? Des candidats du Vrai Mal ? Des hommes dont le Destin tracé par leur Esprit n’avait d’autre but que de rallier une cause si toxique, si malsaine, si horrible qu’elle en devint impensable ? Parce qu’elle cherchait en fait à vaincre la Lumière ou comme le verra plus loin, prendre le Ciel d’assaut ?
Prochain article (26): Les trois H de la mort
[1] Les données techniques qui suivent proviennent de l’article, Les dix conflits les plus meurtriers de l’histoire du site Hitek.fr
[2] Denise Aigle. Loi mongole vs loi islamique, entre mythe et réalité.
[3] Un geste de clémence de Roosevelt aurait évité l’attaque sur Pearl Harbor.
[4] Définition de l’empire des steppes. Encyclopédie Universalis
[5] Gengis Khan et l’Empire mongol. Jean-Paul Roux. Découvertes Gallimard. 2002.
[6] Marco Polo et ses voyages. Pierre Racine. Perrin. 2012.
[7]Nom russe qui signifie les flagellants, adeptes d’une secte russe fondée en 1645 par des chrétiens issus de l’Église orthodoxe dont le principal élément était un certain Daniil Filipov. Fanatiques, ermites, ils pratiquaient, entre autre à l’ascétisme et la flagellation.
[8] Raymond Aron. Le Marxisme de Marx. Paris. Fallois. 2002.
[9] Rockefeller, Kosh, même Gates ou Buffet ont des fortunes colossales qui sont à des années-lumière des besoins personnels les plus extravagants et ne font que donner à ces gens une influence qui se traduit très souvent par une tyrannie silencieuse similaire à celle du communisme intégral.
[10] Les historiens, dont Alain Lipietz, estiment que la classe moyenne a vu le jour entre 1953 et 1975 pour se stabiliser jusqu’à nos jours. Sa définition varie également selon les pays concernés au niveau du revenu brut.
[11] Créée en 2006 par Mark Burnett pour la BBC britannique, cette série fut connue aux États-Unis sur NBC, notamment avec Donald Trump et s’est terminée en 2017.
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Les Divergents
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Catégories :Le Mal
OH la la ! Plus ça change et plus c’est pareil… Je me demande si tous ces esprits de monstres ne se réincarneraient pas d’un siècle à l’autre. Merci pour cet excellent article.
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Il y a la guerre vue de tous, mais selon moi, des guerres plus subtiles existent (ce que j’appelle guéguerre) elles sont toutes aussi pernicieuses et dangereuses.
J’adore te lire, ça soulève beaucoup de questionnements et ça me permet de me voir dans mes guéguerres.
Merci!
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Quand on regarde Trump,si il y aurait son mausolé , 80 millions d’A méricains iraient l’adorer.Et prier en pleurant comme en Corée du Nord.La plus grosse farce de la pauvre planète.
Richard Martel[http://graphics.hotmail.com/emhammer.gif] ________________________________
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Très bon texte ,je crois qu’il y aura toujours de la guerre où ily aura du pouvoir, de l’argent ,de la corruption c’est l’humain et ily aura toujours des tyrans, qui dans le conscience le mal est le plus fort
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