
Saviez-vous que de nombreux scientifiques partagent l’opinion d’Enrico Fermi, un homme de sciences italien des années 50, qui estimait que la vie intelligente n’existait pas dans l’univers ? La première fois que j’ai pris connaissance de cela, je m’attendais à un exposé de preuves soutenues par des équations complexes et un travail de recherche époustouflant en exobiologie doublé de statistiques de probabilités hallucinantes, mais non. Le gars a simplement dit : S’il y a de la vie intelligente extraterrestre, pourquoi les extraterrestres ne se montrent-ils pas ? y répondant par… Si nous n’avons pu détecter aucune trace de vie intelligente dans notre galaxie, c’est tout simplement… que nous sommes peut-être bien les seuls êtres intelligents vivants dans notre univers proche.
Cela n’aurait pas été ma réponse. Avec ce qui se passe actuellement (2020), je crois plus avisé de dire que c’est parce que nous sommes une planète barbare, primitive, habitée par une bonne majorité de gens bêtes à manger du foin, de cons, et dominés par d’autres aussi hostiles à leur propre peuple que dangereux pour tout visiteur.
Alors nous sommes visités et pas qu’un peu mon neveu, mais ils se tiennent très loin, demeurent très discrets et ne se laissent pas attraper. Vous iriez vous balader par une belle nuit étoilée dans les plaines du Serengeti africain vous? Ou dans une favela de Rio, bon vous avez saisi le concept.
MAIS SÉRIEUSEMENT, QUELLES SONT LES CHANCES QU’IL Y AIT DE LA VIE INTELLIGENTE AILLEURS QUE SUR TERRE.
Je ne vais pas répondre en ufologue ce serait tricher ! Parce qu’avec tout ce que j’ai vécu et ce qu’ont vécu des millions de témoins dans le monde, il me faudrait être un authentique demeuré pour ne pas répondre par l’affirmative avec en bonus un sourire très narquois à l’endroit des sceptiques, des ignorants et des indifférents. Évidemment qu’il y a de la vie extraterrestre, non seulement dans cet univers qu’est le nôtre, mais dans les autres situés au-delà de la tridimensionnalité du nôtre. Cela dit, je ne peux absolument rien prouver de ce que j’avance, pas plus en tant qu’ufologue que les scientifiques ne peuvent prouver l’inverse.
Si je ne vais pas tricher, je ne vais pas non plus laisser ces scientifiques arrogants tricher de leur côté. Vous n’avez pas idée comme ils aiment aussi élaborer des hypothèses qui, à mes yeux, sont aussi farfelues que l’idée d’un ovni l’est aux yeux de l’ex-astronaute devenue représentante de la Reine, Julie Payette.
Je ne vais donc pas citer F. R. Moulton qui disait en 1932 que jamais l’homme ne se rendrait sur la lune. Et des comme ça, les scientifiques en ont pondu des meilleures, comme déjà qu’il est impossible et complètement absurde que des pierres puissent tomber du ciel puisqu’elles ne peuvent voler ! Ce n’est pas faux. Les pierres sont la dernière chose qui puisse tomber du ciel. Particulièrement quand on ne sait pas qu’au-delà de notre atmosphère c’est le vide spatial qui échappe à la gravité et qu’évidemment des débris rocheux par milliards se promènent et finissent par se précipiter dans notre atmosphère. Autrement dit, quand on a tous les éléments en main, l’impossible et stupide devient… normal. Ce n’est donc qu’une question de temps avant que nos scientifiques d’aujourd’hui aient en mains TOUS les éléments.
LES DONNÉES LES PLUS RÉCENTES SONT DÉJÀ MOINS NÉGATIVES
Si je devais extrapoler, me donnant la permission de le faire sans trop exagérer, je vous dirais que lorsque j’ai porté toute mon attention sur la vie autre que sur la Terre vers la fin des années 1960, les connaissances étaient pathétiques. On ne savait rien. Hubble n’existait pas, le seul satellite lancé récemment était russe et s’appelait Spoutnik et faisait des bips-bips qu’on pouvait capter sur un poste de radio. Le monde était estomaqué, l’Amérique était furieuse et c’est ce qui a lancé la conquête de l’espace dont nous sommes encore loin du compte : le plus loin que nous sommes allés depuis 63 ans est sur la Lune et le nombre de satellites ou de sondes qui ont quitté le système solaire se comptent sur les doigts d’une main n’incluant pas le pouce.
Mais en 1966, c’est l’ignorance absolue. Les scientifiques ne disent pas qu’il n’y a pas de vie ailleurs, ils l’ignorent. Mais plusieurs affirment l’un comme l’autre. Y’en a, c’est évident, y’en a pas, c’est évident, mais aucun camp n’a l’ombre d’une preuve ou d’un indice pour s’avancer au-delà de l’opinion. Mais en 2020, je peux vous dire que chaque nouvelle découverte nous approche d’une réponse très positive. Bref, si la vie extraterrestre intelligente était un politicien, je lui dirais qu’il court vraiment la chance de remporter l’élection sur son adversaire avec tous les points au compteur qui s’additionnent favorablement depuis 63 ans.
Pourquoi ? Parce que l’espace ne s’analyse pas en laboratoire, mais dans l’espace. Il faut y aller, il faut voir loin, de plus en plus loin, de mieux en mieux et de ce côté-là, même si c’est encore famélique, les budgets mondiaux étant 1000 fois supérieurs en armement qu’en équipement scientifique de recherche pure, nous avons fait quelques pas en avant. Nettement insuffisant, mais quand même mieux que le petit télescope Palomar en Californie.
Malgré cela personne ne sait ! L’exobiologie, cette science qui pourrait un jour répondre à cette question, n’a pour ainsi dire aucune matière sur laquelle travailler. Cela a commencé en 1970 avec le docteur Cyril Ponamperuma qui a découvert dans une météorite débusquée en Australie des traces d’acides aminés.
Autant vous dire que ça hurlait dans les bureaux. N’oubliez pas qu’à l’époque dans l’Amérique profonde on commençait à peine à sortir des griffes ridicules du créationnisme biblique qui d’ailleurs continue ses ravages au même endroit. Le lobbyisme religieux était très puissant dans ce temps-là et même déculotté avec tous les scandales qui l’éclabousse, il a encore des adeptes. Georges W. Bush était leur allié n’étant pas encore convaincu de l’évolution darwiniste. L’idée qu’une météorite de très grande taille ait pu inséminer la Terre, la panspermie est comme commettre un péché mortel à la minute pendant 1000 ans pour eux.
Quoi qu’il en soit, nous ne disposons à ce jour d’aucun élément probant sur l’existence de vie ailleurs dans l’univers. Il faut d’ailleurs suivre cette actualité scientifique presque tous les jours puisque de nouvelles découvertes relancent régulièrement le débat ; ce que la très grande majorité des gens ne font pas. Et là, on apprend que des scientifiques américains, le microbiologiste Todd Stevens et le géochimiste James McKinley dans l’État de Washington, ont découvert l’existence d’une bactérie capable de vivre sans photosynthèse à partir d’eau et de roches. C’était l’une des premières découvertes de ce qui allait devenir presque une nouvelle espèce : les extrêmophiles, c’est-à-dire des animalcules, capables de non pas survivre, mais de privilégier des milieux de vie hostiles à toute forme de vie, sauf eux. Batifoler dans l’arsenic, dans de l’eau bouillante à proximité des cheminées sous-marines, dans de l’acide et la liste s’éternise.
Je vous invite à considérer que chaque extrêmophile découvert fait s’agrandir par mille le spectre des milieux de vie possibles. Autrefois il était dit que sans air et sans eau simple, la vie est impossible et voilà que non. Cela rend dès lors des planètes et des lunes de notre système solaire très intéressantes.
Cette bactérie tire son énergie à partir de la réaction chimique entre l’eau normale, le basalte et le dioxyde de carbone dissous. Ces trois composés existent sur Mars. Mais cela ne suffira pas encore. À CKCV en 1970, j’ai eu cette réponse du docteur Claude Frémont professeur de physique à l’Université Laval à Québec : Vous savez Monsieur Casault, quand bien même j’aurais la chance de voyager en soucoupe volante et de visiter une planète habitée par des millions d’êtres vivants, dès mon retour, je ne serais pas plus avancé dans mes recherches pour déterminer si oui ou non il y a de la vie intelligente ailleurs. Comme tous vos témoins, je n’aurais pas l’once d’une preuve à mettre sous le microscope de mes confrères !
Carl Sagan, qui après Einstein et avant Hawkins, passait pour être un des plus brillants cerveaux sur cette planète a déduit qu’au moins un million des 100 milliards de soleils de notre galaxie sont en mesure d’être l’hôte d’une civilisation semblable à la nôtre. Maintenant que nous savons que nous hébergeons probablement deux fois et demie ce nombre, cela devient intéressant.
L’ÉQUATION DE DRAKE
n=RxFPxNExFLxFIxFCxL
N, étant le nombre de civilisations dans l’Univers pouvant accéder à une technologie capable de communication interstellaire, l’équation fait référence au taux de formation d’étoiles dans notre galaxie, au nombre possible de ces étoiles ayant un système solaire, au nombre possible de planètes pouvant accueillir la vie, au nombre qui abritent des formes de vie, au nombre de ces planètes qui peuvent permettre, en fonction de la durée de vie de leur soleil, le développement de l’intelligence, au nombre d’entre elles qui ont atteint ce degré et leur durée d’existence.
C’est pour cette raison que Carl Sagan qui était à cette époque l’assistant directeur du département d’astronomie de Harvard est devenu le créateur de l’un des plus vastes projets de communication avec des civilisations extraterrestres qui soit, le SETI en 1979. Et n’oublions pas que Jodie Foster a joué dans Contact, le film produit à partir de son roman. La NASA ira de ce côté en 1984, mais le Sénat américain peu intéressé à l’idée que des gens plus intelligents existent ailleurs ont coupé les vivres et c’est l’Université de Berkeley qui le relancera plus tard avec SERENDIP (Search for Extraterrestrial Radio Emissions from Nearby Developed Intelligent Populations). Puis le russe Yul Milner financera son propre projet en 2015. D’ailleurs c’est un milliardaire coopérant avec les Russes qui évolue dans Contact.
Cela dit, ces programmes n’ont pas vraiment apporté beaucoup d’eau au moulin. Faut-il comprendre aussi que les ondes radio d’un radiotélescope tel celui d’Arecibo à Puerto Rico voyageant à la vitesse de la lumière (300,000km/sec) soient captées après quatre ans d’émissions dans les environs de l’étoile la plus proche de notre système solaire : Proxima du Centaure.
Également depuis 1992, un groupe d’astronomes intrigués par les conclusions d’une conférence sur les abductions au MIT (Massachusetts Institute of Technology) initié par le docteur John E. Mack psychiatre en chef de Harvard ont mis sur pied un programme intitulé HRMS (High Resolution Microwave Survey). Leur technique serait de loin supérieure à tous les programmes SETI, mais le Congrès américain a jugé bon en 1993 à son tour de faire taire les rumeurs cosmiques voulant qu’il y ait plus intelligents qu’eux. Il fut repris et devint Phoenix qui s’éteignit faute de financement en 2004. On voit ici la grande passion des gouvernements pour s’intéresser à autre chose qu’un avion de combat comme le joujou B2-Spirit qui a demandé 73 milliards de dollars en investissement et chaque unité valant près de 2,5 milliards de dollars. Nous serions sur une lune de Jupiter avec Remax vendant des condos si un tel budget annuel avait été consacré à la conquête spatiale depuis 60 ans.
ALORS ON SAIT QUOI DANS CE CAS.
Nous savons que contrairement aux années 80, il existe des exoplanètes, c’est-à-dire d’autres planètes que celles qui forment notre système solaire. Ce n’est pas une grosse découverte pour vous et moi. Tout le monde se doutait bien qu’il y avait des systèmes solaires, plus petits, identiques ou plus grands que le nôtre. Mais la science elle, ne le savait pas. Pour dire, ÇA EXISTE, la science doit le prouver et c’est fort bien.
Donc en 2020, ça donne ceci : au 1er juillet 2020, 4 281 exoplanètes ont été confirmées dans 3 163 systèmes, donc un peu comme le nôtre, un soleil et un nombre x de planètes toutes différentes les unes des autres qui orbitent autour. Sur ce nombre, 701 systèmes possèdent deux soleils ou plus. Plusieurs milliers d’exoplanètes supplémentaires découvertes au moyen de télescopes terrestres ou d’observatoires spatiaux, dont Kepler, sont en attente d’être confirmées et c’est encore une fois la technologie qui viendra le faire.
En extrapolant à partir des découvertes déjà effectuées, les scientifiques s’accordent à dire qu’il existerait au moins 100 milliards de planètes rien que dans notre galaxie, mais je crois que nous pourrions avoir des surprises à ce niveau, car la découverte d’une exoplanète orbitant autour d’un ou plusieurs soleils ne confirme aucunement l’absence ou la présence de plusieurs autres corps célestes sans parler des lunes qui par centaines de milliards pourraient aussi exister.
La technologie peinant à éclore, l’administration Trump ayant sabordé tous les projets en ce sens, la NASA craint de ne pouvoir rien fabriquer de mieux avant 2035, mais on pourrait espérer sa défaite et voir un autre Président plus stellar-oriented doter la NASA d’un budget colossal visant à nous permettre de plonger dans l’infini et d’y découvrir non pas des oscillations gravitationnelles, mais des planètes regorgeant de vie par l’analyse de la signature spectrale de la lumière émise. On ne saurait pas ce qui vit là-bas, mais on saurait qu’il y a de la vie. Pour le moment, on se contente de très peu.
Jane Greaves et ses collègues de l’Université de Cardiff au Royaume-Uni ont détecté la signature spectrale de la molécule de phosphine parmi les signaux lumineux captés par le télescope James Clerk Maxwell, à Hawaii et confirmée par l’Atacama Large Millimeter/Submillimeter Array), au Chili. La phosphine évolue dans l’atmosphère de Vénus où la température est convenable.
Selon Clara Sousa-Silva du département d’Earth, Atmospheric and Planetary Sciences du Massachusetts Institute of Technology (MIT), la phosphine pourrait représenter une biosignature de formes de vie anaérobiques, c’est-à-dire qui peut vivre sans oxygène sur des planètes tournant autour d’autres étoiles que notre soleil. Sur des planètes rocheuses, la phosphine est une molécule très difficile à produire en l’absence de vie. Sur terre, elle est fabriquée naturellement par des bactéries, ou artificiellement par les humains. Si ce ne sont pas des organismes vivants qui ont produit ces quantités de phosphine, cela veut dire que notre compréhension de la chimie et de la physique des planètes rocheuses est sérieusement incomplète.
S’il y a en effet de la vie dans les nuages de Vénus, les chercheurs croient qu’il doit s’agir d’une forme aérienne qui ne serait présente qu’au niveau de la couche tempérée de l’atmosphère de la planète, soit bien au-dessus de la surface volcanique et bouillante de la planète. Ce n’est pas une preuve, mais comme dit plus tôt, chaque découverte nous fait avancer vers un constat de vie positif. Vénus pourrait abriter des formes de vie jusqu’alors inconnues. Carl Sagan a été l’un des premiers à désigner Vénus comme un lieu où il pourrait y avoir de la vie, soutenant qu’il existe une espèce d’êtres semblables aux méduses qui se déplaceraient au milieu des gaz de la planète. Cela dit, il n’y a pas que Vénus, on a également trouvé de la phosphine dans les atmosphères de Saturne et de Jupiter. Peut-on en déduire l’existence possible de vie là-bas aussi ? Pourquoi pas ? La NASA va se mettre à l’infrarouge pour aller plus loin et sonder ces nuages.
OÙ IL Y A DE L’EAU, IL Y A DE LA VIE ? TOUJOURS ?
C’est très vrai, mais pas toujours. Il n’y a aucune forme de vie complexe dans les eaux de la Mer Morte, sauf des archées, d’autres extrêmophiles et on ne compte plus les grandes étendues d’eaux intoxiquées par du souffre, de l’arsenic et autres dont certains sont mortels juste en s’approchant de leurs rives par ce qu’ils exhalent comme parfum de mort.
En 2018, les chercheurs rapportaient la découverte d’un grand lac d’eau salée sous la glace au pôle Sud de Mars, une découverte ayant suscité l’enthousiasme et un certain scepticisme. Aujourd’hui, ceux-ci ont confirmé la présence de ce lac et en ont identifié trois autres. Présentée dans la revue Nature Astronomy, cette découverte a été faite en utilisant les données radar de la sonde européenne Mars Express et fait suite à la détection d’un premier lac souterrain dans la même région deux ans plus tôt – qui, s’il était confirmé, constituerait la première masse d’eau liquide jamais détectée sur Mars et un habitat possible pour la vie.
La dernière étude a utilisé un ensemble de données plus large comprenant 134 observations de 2012 à 2019. Nous avons identifié la même masse d’eau et en avons également trouvé trois autres réparties autour de la principale, explique la planétologue Elena Pettinelli de l’université de Rome et coauteure de l’étude, C’est un système complexe. L’équipe a utilisé l’instrument Mars Advanced Radar for Subsurface and Ionosphere Sounding (MARSIS) qui envoie des ondes radio qui rebondissent sur les couches de matériaux à la surface et sous la surface de la planète comme on le fait sur Terre. Les lacs martiens s’étendent sur environ 75 000 kilomètres carrés, avec un lac central mesurant 30 kilomètres de diamètre entouré de trois autres lacs plus petits, chacun d’une largeur de quelques kilomètres. À la surface de Mars, la basse pression qui résulte de l’absence d’une atmosphère substantielle sur la planète rend la présence d’eau liquide impossible. Si de tels lacs existent, ils pourraient constituer des habitats potentiels pour la vie martienne. On pense que tout lac souterrain sur Mars doit avoir une teneur en sel raisonnablement élevée pour que l’eau reste liquide. Bien qu’il puisse y avoir une petite quantité de chaleur provenant de l’intérieur de Mars à cette profondeur, cela ne suffirait pas à transformer la glace en eau. D’un point de vue thermique, elle doit être salée, souligne Pettinelli.
MATIÈRE NOIRE !
André Bédard, un mathématicien de Québec, me pose la question : Est-il possible que l’astrophysicien qui parle de la matière noire soit en parallèle avec celui qui parle des plans de l’astral de l’ésotérisme ou du Ciel du religieux ?
Il me dit alors : Les étoiles noires, dont les forces fortes et faibles et électromagnétiques, seraient différentes de celles de la matière ordinaire et émettraient une lumière invisible pour nous, autrement dit des photons noirs. Il pourrait même y avoir un système solaire noir tout près de nous, à une fraction d’année-lumière. La force électromagnétique noire pourrait être 100 fois, voire 1000 fois plus forte que la nôtre ce qui expliquerait les super-performances des OVNIs. D’autre part, ma théorie de la matière noire invisible expliquerait les apparitions et les disparitions des OVNIs sur place observés quelques fois. Les OVNIs sont parfois observés passant au travers de la matière ou émettant une lumière passant au travers de la matière, sans compter les petits Gris passant au travers des vitres et des murs. Pour les OVNIs, la surface terrestre ne constituerait donc pas une surface.
J’ai répondu à cela par ma propre théorie dite les rencontres spectrales dans mon livre Révélations spectaculaires sur les Faits Maudits.
La matière, mais aussi l’énergie noire, se veut présentement la seule hypothèse de travail considérée par la majorité des physiciens pour expliquer certains phénomènes cosmiques qui demeurent encore nébuleux. Pour bien comprendre ce qu’est la matière noire ou sombre, j’utilise encore la même analogie depuis toujours. Imaginez que vous êtes dans une tente plantée dans un endroit isolé. Soudain, un renflement concave important se produit et le tissu de la tente se tend vers l’intérieur comme si quelqu’un ou quelque chose était en train de s’appuyer sur elle. Pas très rassuré, vous vous opposez à ce renflement et constatez que ce n’est pas le vent, mais quelque chose d’assez lourd qui agit sur le tissu. Un animal, un être humain ? Vous sortez pour confronter l’intrus. Il n’y a personne ! En tant que scientifique vous vous dites : il faut qu’une masse quelconque existe pour produire un tel effet or, cette masse est invisible et vous, toujours en tant que scientifique, vous ne pouvez accepter qu’une masse, un corps quelconque soit invisible. C’est… impossible ! Mais le renflement est pourtant bien là et il y a un poids mesurable, une force qui s’exerce sur la tente. Des univers parallèles, des univers extra dimensionnels ? On se croirait dans un bouquin d’Asimov.
Pour les scientifiques, ce renflement dans leur tente est l’estimation de masse des galaxies et des amas de galaxies. Quelque chose exerce une formidable action au point qu’on estime que ce quelque chose constitue environ 80% à 90% de l’univers visible et observable. C’est très embêtant ce constat, vous comprenez ? Parce qu’on n’a aucune espèce d’idée de ce que c’est.
On a pensé qu’il pouvait s’agir de corps solides et invisibles uniquement par une lacune dans nos calculs ou notre technologie, mais on pense de plus en plus qu’il s’agit plutôt d’une véritable matière, organisée, différente de la nôtre, beaucoup plus étendue, mais beaucoup plus légère et constituée de particules à faible interaction au point que les Américains ont baptisé ces particules de wimp ou en français de mauviettes !
Que diriez-vous de lire sur la balance sur laquelle repose un corps quelconque de 80 kilos, la mesure de 32 000 kilos ? Quand cela s’est produit dans les années 30, l’astronome Fritz Zwicky et en 1936 Sinclair Smith ont pensé que la balance était complètement déréglée et qu’elle devait être jetée aux ordures. C’est ce que les scientifiques ont fait d’ailleurs. Mais pas très longtemps. La grande question était alors : pourquoi cet amas de galaxies aurait une masse 200 fois plus élevée que ce qui devrait être ? Erreur de calcul ou il existe une matière entre les galaxies qu’on ne voit pas ? Mais les scientifiques ont abandonné l’idée et ont boudé pendant une quarantaine d’années. Ils n’aimaient pas avoir un os de cette taille en travers de la gorge.
C’est une femme cette fois qui va faire sauter les plombs de l’édifice intellectuel. L’astronome Vera Rubin va constater en 1970 que la vitesse du véhicule qui s’approche et qu’elle capte sur son radar de police est extrêmement plus élevée que les calculs déterminant les capacités performantes de ce type de véhicule. Bref, la Ford Galaxy 500 file à plus de 8000 kilomètres-heure. Elle effectuera 200 expériences du genre tout en s’acharnant à pouvoir mettre les pieds à l’observatoire du Mont Palomar, interdit jusque-là aux femmes. Vera Rubin sera vraiment celle qui mettra en évidence l’existence de la matière sombre. (Bright Galaxies, Dark Matter. Vera Rubin 1997).
QUINTESSENCE DE LA MATIÈRE
De nos jours les scientifiques sont convaincus que cette matière sombre existe. On parle de quintessence!
Ce mot que j’ai utilisé à de multiples reprises dans mes écrits de nature spirituelle signifie en philosophie, le cinquième élément ou si vous préférez l’Éther, l’Orgone de Reich, le Chi, le Prana, l’Aura, la Force, Le Ki, l’Akasha où se trouvent les Archives éternelles du Livre de la Vie, la Lumière astrale que l’on perçoit lors d’une expérience de mort imminente, bref tous des termes habituellement rejetés avec mépris par la communauté scientifique. Quintessence veut également dire l’essence la plus subtile de la matière qui soit dans l’alchimie médiévale de Nicolas Flamel.
Poursuivant mes échanges avec André, celui-ci me dit :
Dans ma théorie de la matière noire, il devrait y avoir des observations d’OVNIs ou d’occupants invisibles. Jacques Vallée en mentionne dans Autres Dimensions chez J’ai lu. Il semble y avoir eu une tentative d’enlèvement d’une femme le 20 mai 1950 en France près de Loire vers 16 heures, seules deux mains noires étaient visibles, le reste de l’entité était invisible. Vallée ajoute : « J’ai dans mes dossiers plusieurs autres cas fiables où les êtres et parfois l’OVNI lui-même, étaient invisibles. » Dans certains cas, l’être est visible mais non touchable. Vallée mentionne un cas en Irlande, en 1852 où des êtres lumineux dont la Vierge Marie faisait partie : « En voulant l’embrasser, je n’ai rien senti d’autre que le mur, et pourtant les personnages étaient de notre taille et paraissaient si pleins de vie… »
André poursuit : On peut bien sûr évoquer un hologramme, mais Vallée qui fait le lien entre OVNI, les fées, les elfes etc., nous dit « …Leur regard est si pénétrant que je crois qu’ils pourraient voir à travers la terre… », c’est exactement ce à quoi l’on pourrait s’attendre de la part d’êtres de matière noire. Comme nous pouvons voir à travers la matière noire, des êtres de matière noire pourraient voir à travers la matière ordinaire. L’Univers noir serait plus évolué, plus complexe et plus énergétique que le nôtre. La relation E=mc² pourrait s’écrire E=mc³ ou plus… la vitesse de la lumière pourrait aussi y être plus élevée…
Dans mon livre déjà cité, je mentionne un très grand nombre de ces dossiers incluant mes propres expériences faisant allusion à une transformation de la matière ou une manipulation de la matière. Tout cela semble hallucinant, impossible, fou, mais si on prête attention aux propos du physicien Michio Kaku, c’est encore plus mystérieux.
LA MATIÈRE SOMBRE SELON KAKU
Pour ce physicien théoricien qu’est Michio Kaku, la matière sombre est le signe d’une présence bien réelle, mais invisible. La définition que fait Kaku de la matière sombre est une substance mystérieuse qui est invisible, mais qui a un poids. Elle entoure les galaxies et pourrait être 10 fois plus volumineuse que la matière ordinaire qui compose notre univers connu. Que disent les textes les plus sacrés de la Tradition ? Qu’il existe au-delà de la Terre, des univers invisibles où les êtres lumineux évoluent dans l’attente de l’âme des hommes. Ces êtres qui vivent dans ces autres dimensions, ces univers invisibles sont à proximité de nous. Ces galaxies de matière sombre pourraient être à quelques centimètres de notre monde (Kaku) et dès lors rien n’interdit de penser qu’ils ont toujours accompagné l’homme depuis son apparition sur Terre et qu’ils sont à ses yeux des anges, des fées, des extraterrestres… ou même des fantômes !
LE PEUPLE DE L’OMBRE
Connaissez-vous cette expression ? Elle nous vient du monde du paranormal et traite de ces étranges ombres observées par de multiples personnes depuis des temps immémoriaux. On leur prête une silhouette sombre et des yeux rouges, certains sont violents, mais la très grande majorité ne fait qu’observer. Les spécialistes des shadow people prétendent qu’il s’agit en fait d’énergies combinées de pensées négatives, des égrégores, alors que d’autres soutiennent que ce sont des démons dégénérés, des âmes de malades ou de mourants, des extraterrestres, mais également des êtres provenant d’une autre dimension. J’en ai plein mes cartons. J’ai retrouvé ce texte pour le moins intéressant. L’idée est que la matière et la lumière seraient limitées à la membrane de sorte que nous ne pouvons pas voyager à travers ou voir à travers les dimensions supplémentaires. On peut en déduire qu’il y a des aspects de l’univers que nous ne pouvons pas voir – ce qui est effectivement le cas parce que 95 pour cent de la matière de l’univers est invisible, c’est pourquoi on l’appelle matière noire. Il pourrait y avoir l’ombre galaxies, les étoiles-ombre et même les peuples de l’ombre. Cet ésotériste mystérieux qui parle de la sorte est nul autre que l’astrophysicien Stephen Hawking dans le cadre de l’émission Into the Universe with Stephen Hawking diffusée par le réseau Discovery Channel, en avril 2010. Et ce n’était pas une boutade !
MARDI, 15 MAI 2020 19h00, LA NASA PARLE
Elle révèle les résultats d’une étude menée à l’aide du télescope Hubble. À nouveau, une preuve solide de l’existence de la matière noire semble avoir été fournie. Un gigantesque anneau de matière noire a été détecté en utilisant comme toujours des effets de lentille gravitationnelle. Selon le modèle standard de la cosmologie, l’Univers contiendrait environ 5% de matière ordinaire, 25% de matière noire et 70% d’énergie noire, dont la nature demeure inconnue.
Malgré l’immense respect que j’éprouve pour le travail et la méthode de travail des scientistes, il faut comprendre le fonctionnement de l’esprit scientifique. Ils n’ont pas le droit un seul instant de spéculer et d’imaginer des schèmes de pensées qui s’éloignent trop des modèles reçus sans quoi ils sombrent dans la fiction, mais Allan Hynek, conseiller scientifique auprès du Projet Bluebook de l’USAF (1948-1969) fit un jour une déclaration intéressante : Si le physicien est prêt à accepter la dualité onde-particule de la lumière qui ne fait aucun sens tout étant bien réelle, pourquoi n’en ferait-il pas tout autant pour la nature même de l’OVNI ? (The UFO Experience, A Scientific Enquiry. J. Allen Hynek, Abelard Schuman London).
Un des problèmes vécus par les penseurs de la mécanique quantique consiste dans le fait que la lumière se comporte comme une onde lorsqu’on la traite comme telle et comme une particule lorsqu’on la traite comme telle. Un cauchemar ! Hynek soulève donc la question du pourquoi d’une attitude si large face à ce phénomène inexplicable et si fermée face à la possibilité que les OVNIs résistent eux aussi à leur explication.
Dans son livre Parallel Universes, (éd. Simon & Schuster NY) le physicien Alan Wolf écrit notamment sur les rêves, les UFOs, les états seconds et les prémonitions : Vu sous l’angle de la physique quantique, tous ces phénomènes sont peut-être des manifestations de plusieurs mondes parallèles au nôtre, exemples de la façon dont l’information voyage dans les deux directions, simultanément, sur la rivière du temps.
Le Dr Claude Frémont de Québec me disait à CKCV en 1968 : Je suis profondément catholique, je crois au miracle de Fatima, mais comme homme de science c’est une hérésie sans nom.
De toute façon, il vaut mieux s’habituer aux rebuffades des hommes de science dont plusieurs croient que la science s’arrête là où ils en sont rendus. Quand notre technologie sera en mesure de percer les mystères de l’Univers, je sais, je ne pense pas, je n’espère pas, je ne souhaite pas, je sais que le miracle de la Vie sera à ce point tel, que nos vieux et anciens et funèbres dénis ne seront même plus drôles.
Catégories :Ufologie profonde
Comme dans la bible nous sommes des grains de poussière dans l’Univers.
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