Mais qui diable est donc le Diable ? (article 14)

Crédit pour le montage graphique : Éric Dorion

Nul être intelligent ne peut aimer le mal naturellement ou en vertu de son essence, il faudrait pour cela que Dieu l’eût créé mauvais, ce qui est impossible. Joseph de Maistre. Les soirées de Saint-Pétersbourg. 1821.

Nous abordons avec cet article une nouvelle partie très différente de la première. Nous avons examiné de près les auteurs de gestes immondes qui semblent personnifier le Mal incarné. Mais en le faisant, tout comme moi, vous avez constaté que sans justifier un seul instant ces gestes, il nous a été possible de comprendre les mécanismes pathologiques sous-jacents et tributaires de l’origine purement animale de l’être humain et que cette nature ne fait pas de cadeau sous ses dehors charmants et bucoliques et que même le ravissant chant des oiseaux n’est rien d’autre que de sévères avertissements, voir des cris de guerre !

Nous savons que si Léo-Paul Dion avait été élevé dans une famille normale avec des parents responsables et soucieux de son bien-être, il serait sans doute devenu une personne adulte normale comme la grande majorité des gens de sa génération. Il n’aurait pas été agressé à cinq ans, habillé en fille par sa mère qui s’amusait avec son « petteu » ne se serait pas fait masturber quotidiennement par son Supérieur, ne serait pas allé en prison, et la suite tragique de son existence ne se serait pas déroulé comme on le sait. On le suppose, mais c’est vraiment très possible.

Nous savons que Bernardo et Homolka, séparés, n’auraient probablement pas commis autant de viols et possiblement jamais de meurtres. Nous avons découvert que même si elle a été libérée, Homolka est tout aussi responsable que son mari des gestes horribles qu’ils ont posés. Tout en faisant une analogie avec l’eau et le sodium, nous avons découvert qu’il est possible que certains types d’individus, lorsqu’ils sont réunis, deviennent une troisième personne, elle, extrêmement dangereuse. Une maladie existe dans le DSM (Diagnostic and Statistical Manual) à cet effet. Les faits semblent donner raison à cette théorie quand on observe le comportement atypique d’une criminelle que fut celui de Homolka, autant pendant qu’après son incarcération.

Quant à Gilles de Rais, il demeure une énigme, mais il est tout à fait juste de se demander si l’éloignement temporel de son cas ne rend pas quelque peu légendaire sa personnalité diabolique. Cela dit, l’auteur et criminologue, Maxime Chatham raconte, dans sa biographie, qu’il a vu au centre d’entrainement du FBI à Quantico, des preuves visibles qu’il n’existe aucune, mais vraiment AUCUNE limite à l’horreur que l’homme est capable de faire, et que très souvent quand il s’arrête, c’est qu’il vient de recevoir une balle dans la tête. Donc Gilles de Rais n’est sans doute pas du folklore !

Donc, qui est en charge lorsqu’un individu fait de sa vie une activité funeste, macabre et criminelle sans arrêt ? L’individu de par ses choix libres de toute influence extérieure ? Ou ce même individu victime non responsable de véritables désordres mentaux ou de véritables désordres neurologiques ou cervicaux ?

Outre la prédation innée chez l’homme qui demeure un pêcheur et un chasseur, c’est un animal ne l’oublions pas. Y a-t-il chez lui une prédisposition autre à se laisser influencer par une force quelconque et passer à l’acte meurtrier ?

Avant de répondre à tout cela, il faut nous intéresser à l’aspect plus évanescent du monde dans lequel nous vivons. Aucun scientifique ne participerait à ce qui va suivre. Ce serait goulument se repaître d’un intouchable tabou dans sa profession et s’il le fait, il n’en dira mot et tiendra sa démarche secrète ou très discrète, ou il nous enverra chez le Diable et c’est exactement ce que nous allons faire.

J’ai enquêté sur, mais aussi vécu suffisamment d’expériences pour reconnaître qu’il existe des forces, des énergies, mais pas seulement comme si elles n’étaient que des émanations d’une supra-nature méconnue. Ces forces étaient personnalisées et extrêmement malsaines. Je suis très prudent, je n’ai parlé ni de Satan ni de ses démons. N’allons pas trop vite en besogne

Allez savoir si seulement, tout comme Dieu, ce « Diable » existe !

Et c’est là, à la recherche du Diable que nous allons basculer dans le miasme religieux du monothéisme, mais également dans le fouillis mythologique. Il s’agira donc de savoir s’il existe, mais voilà, c’est une question tout aussi impossible à répondre que celle concernant l’existence de Dieu. Ce n’est pas le seul problème que nous ayons et cet autre est encore plus pénétrant et plusieurs risquent d’éprouver un malaise.

Plus on cherche le Diable dans les Écrits saints du monothéisme, incluant même les récits apocryphes, plus on se rend compte que Celui qui correspond le mieux à sa définition d’Entité Sulfureuse est… Dieu lui-même ! Restons calmes. Pour y voir plus clair, nous allons donc nous offrir une petite excursion infernale et sulfureuse, tout en gardant les deux pieds sur terre.

Au début de cette série, Le Mal existe parce qu’essentiel à la croissance du Bien, j’ai fait valoir les lois d’équilibre qui régissent notre univers, ce qui porte à penser que si Dieu existe en tant que le Bien Absolu, le Mal Absolu existe également sous une forme ou une autre. Si c’est le cas, ce n’est sans doute pas tranché au couteau et il doit y exister des variables, des entrelacements par milliers, mais si Dieu existe et qu’il a créé le Bien, il doit également avoir créé le Mal. Ou alors la création du Bien, comme action, a généré le Mal par réaction, une loi naturelle après tout ! En d’autres termes, par sa seule existence je propose que si le Bien engendre le Mal, dès lors, le Mal existe parce qu’essentiel au Bien, étant une partie composante de ce dernier. Si une action retire toute la chaleur intense d’un lieu, la réaction qui s’ensuit est un froid mordant en ce même lieu.

Nous allons analyser les récits mythiques sur le Diable des religions. Il importe alors de ne pas commettre l’erreur très répandue qu’est de penser que l’utilisation du mot mythe ou mythologie implique aussitôt une histoire fausse et embellie à tout le moins dans l’intention. Mircea Eliade[1] s’est exprimé sur ce point.

« Durant les cinquante dernières années au moins, les historiens occidentaux ont approché l’étude du mythe d’un point de vue manifestement différent de celui du 19e siècle. À la différence de leurs prédécesseurs, qui traitaient le mythe selon la signification usuelle du mot, c’est-à-dire, comme une « fable », une « invention », une « fiction », ils l’ont accepté comme il était compris dans les sociétés archaïques, où au contraire, « mythe » signifiait une « histoire vraie » et en plus une histoire qui était un bien des plus précieux, car sacrée, exemplaire et importante. »

Résilience synchrone des mythes fondateurs

La très grande majorité des mythes n’ont pas d’auteurs dotés d’une historicité sauf dans le cas d’Homère. Qui a inventé Odin, Kali, Gilgamesh, Tan’gun, Adam, Noé, Moïse, Jésus, Horus, Isis ? Malgré l’absence cruelle de cette historicité fondamentale, la résilience d’un mythe est-elle garante de son authenticité partielle ? Nous sommes plusieurs à le croire, incluant cette Foi que des millions ont en ce Jésus, qui pourtant, sort tout droit de l’affabulation romaine chrétienne alors qu’il est une figure juive et le fut tout au cours de sa présumée courte vie, ponctuée de miracles invraisemblables dignes de contes pour enfants et d’une très douteuse résurrection considérée comme la parade paulienne pour que ses semblables, Romains, l’adoptent comme ils l’avaient fait pour Hercule.

Cela dit, lorsque des éléments spécifiques se retrouvent dans une majorité de mythes provenant de sources très différentes, sans contamination possible entre elles, c’est qu’il existe une vérité quelque part dans ces éléments.

Le dragon en est un très bel exemple

C’est très étrange, le dragon, figure mythique s’il en est une, est la seule créature du bestiaire mythologique à exister dans TOUS les récits, à la fois d’Asie, d’Afrique, d’Europe et d’Amérique du Sud, et ce depuis des millénaires. Cet animal mythique, sous une forme similaire, aurait-il pu survivre à la disparition des dinosaures ? Sinon, quel animal a bien pu inspirer cette similarité quasi intégrale, compte tenu des distances et des disparités culturelles aussi vastes que celles entre les Mayas, les Toltèques, les Olmèques, les Aztèques, les Incas, les Coréens, les Chinois, les Japonais, les Vietnamiens, les Grecs, les Celtes, les Scandinaves, les Angles, les Slaves, les Hébreux, les peuples du Moyen-Orient et plusieurs pays d’Afrique dont l’Éthiopie, la Tanzanie, le Zambie, l’Afrique du Sud, etc. Certains parmi ses peuples n’ont même jamais vu un éléphant, mais TOUS ont le dragon dans leur mythologie.

Il faut faire jaillir à la surface le fond de vérité qui se situe dans la résilience des plus grands mythes incluant le Diable. Inutile de perdre du temps à chercher l’erreur pour dénoncer le faux ou l’indice pour promouvoir le vrai, nous allons chercher l’élément fondateur universel. Cet élément est nul autre que la dynamique de lutte du Bien et du Mal,[2] une constante mythologique, mais également historique, sans aucune exception, cachée sous le couvert de mots et d’images totalement dissemblables, cultures obligent. Et comme nous l’avons vu, c’est à sa manière une constante dans la nature, alors que le froid s’oppose à la chaleur et inversement.

Les mythes sont l’ensemble des récits qui décrivent personnages et évènements présumés fictifs à priori et traversant le temps depuis fort longtemps. Jamais on n’oubliera Prométhée, Thor ou Osiris ! Ces mythes vieux de milliers d’années sont tenaces et résilients. Que restera-t-il de Zorro ou de Wonder Woman dans 3000 ans ? Pas une seule miette. Vous rappelez-vous de Namor ? Voilà, il est déjà oublié.[3]

La Raison est la grande sœur de l’Intuition

Donc, si je tente de savourer la quintessence du grain d’orge malté, distillé trois fois comme un alchimiste de l’Esprit qui offre le périsprit subtil de notre réalité bien physique, sans nous embourbonner dans le produit amer d’auteurs trop rigides, l’Intuition n’est pas l’adversaire de la Raison. C’est sa grande Sœur ! Et parfois, il est vrai qu’elles ne s’entendent pas. Tous ces mythes et toutes ces légendes ont en commun quelques points qui rendent difficile, en plongeon abyssal dans les Mers de l’Étrange, l’action de se défaire des conclusions suivantes : l’évolution de l’humanité a connu des hauts, des bas et a disparu pour renaître un certain nombre de fois. Les légendes de Mû, de Lémurie et d’Atlantide, voire de l’Agartha persistent et signent depuis trop de millénaires pour être balayées par le scepticisme inconvenant de gens pour qui l’ouverture de l’esprit est une fracture du crâne.

Ces assertions, d’apparence fantaisistes, viennent du fait, non avéré par une science rigide, mais soutenue par plusieurs penseurs, que la Terre, un jour, il y a de cela tant de temps que ce mot ne tient qu’à un fil, s’est retrouvée au centre d’une guerre ou d’un conflit galactico-politique majeur et qu’elle en a chèrement payé le prix. Oui ça sent le soufre ou le plasma, c’est selon ! C’est ici que la notion d’êtres supérieurs à l’homme prend tout son sens et se voit méprisée et rejetée par les rationalistes purs et durs qui n’ont aucune capacité d’aller plus loin que leur vision ultra myope, l’hypothético-déduction leur étant totalement étrangère ayant été formés à l’école primaire du « si ce n’est pas devant moi, ça n’existe pas ! » ou pire « si nous ne l’avons pas encore découvert cela n’existe pas ». Que de velléités pour des gens prétendant maîtriser la raison pure ! Oublions-les, ils sont loin derrière.

Voilà ma grande folie juchée haut sur les ailes de l’Intuition, mais qui se nourrit non pas de rumeurs éparses et vagues, mais de ces mythologies, ces mythes et ces légendes qui par leur élégante résilience millénaire, en savent plus qu’elles ne le disent. Mon objectif est d’y retrouver l’essence du Mal sans pour autant verser dans la fantaisie disneyenne ou marvellique ! Et la frontière est très mince croyez-moi.[4]

Et il y eut Guerre dans le Ciel

Évidemment, nous pensons aussitôt à Satan, Lucifer ou Iblis et nous n’avons rien inventé avec ceux-là. Ils ont leur équivalent sous d’autres appellations dans chacune des mythologies existantes, même les plus primitives, ce qui leur donne une incalculable richesse !

Les Fils de la Lumière ?

Que voilà donc d’étranges versets, celui de Luc 16 : 1-8 qui traite d’un comptable corrompu qui trafique les livres et traite ses semblables « de Fils de ce monde plus habiles entre eux, pour ces choses que sont les affaires terrestres et la gestion, que les Fils de la Lumière ». Si nous sommes des êtres humains relativement habiles à gérer nos affaires, malhonnêtes ou pas, qui sont donc ces Fils de La Lumière pas très talentueux dans ce domaine et en quoi sont-ils Lumineux dans ce cas ? Ce Luc, inconnu au bataillon[5] n’est jamais revenu sur la question et sera le seul des fab four[6] à en traiter.

L’anthropomorphisme

On sent chez l’homme un besoin impérieux de rendre humain tout ce qui l’entoure et avec lequel il a des interactions, tel le chat botté. Si un hobbit décide de parler à un arbre, celui-ci devient un Ent, un arbre doté de yeux, de bras feuillus et d’une voix très lente, comme on le voit dans le Seigneur des Anneaux de Tolkien. Mais aussi sympathique cela puisse-t-il être pour un enfant, l’anthropomorphisme devient un problème lorsque l’être humain se met à croire en l’existence de forces supérieures, qu’elles soient divines ou diaboliques et à leur donner la forme de personnages lumineux avec des ailes ou monstrueux avec des cornes, mais toujours sous une forme humaine ou animale. Il en fut toujours ainsi et ce n’est pas sur le point de s’arrêter !

Très tôt, nous avons été confrontés à un Dieu Créateur du Ciel et de la Terre. Sa Suprématie Absolue sur tout posait problème. On a donc choisi de le faire très vieux, de très mauvaise humeur, vêtu d’un chiton long de type grec ancien, de race blanche évidemment, avec des cheveux gris très longs, son interminable barbe, autant sous le pinceau de Michel-Ange que celui de tous les grands noms de la peinture qui ont humanisé les dieux et les anges de la Triade monothéiste, pour en faire des êtres humanoïdes dotés d’ailes, ou lumineux, mais sans jamais s’écarter de la dimension humaine, peut-être sous prétexte qu’ils auraient dit faisons l’homme à notre image.[7]

Cela dit, les Asiatiques ont donné à leurs dieux et déesses des formes animales ou monstrueuses, mais semi-humaines ou tout simplement burlesques à nos yeux prudes d’occidentaux, notamment avec Kali ou Ganesh.

Île Maurice 2001. Photo de Jean Casault.

Mais l’anthropomorphisme n’est pas qu’iconographie, cela se passe dans la tête. Lorsque nous prions parce que nous sommes en détresse, nous imaginons quelqu’un, une face. Il n’est pas aisé de prier une énergie, une force, cela ne répond pas à notre besoin d’échanger avec quelqu’un ! L’illustration effectuée en montage par Éric Dorion répond à cela, une énergie sombre avec des visages.

Si on transporte le tout massivement et collectivement, cela explique pourquoi il existe tant de représentations de ce que sont les dieux et Dieu, mais aussi de ce qu’est le Diable. Jérôme Bosch[8] est l’un des artistes les plus graphiques à ce niveau. Ses œuvres démontrent et expriment bien, et avec une précision maniaque, toutes les notions d’enfer et de damnation. Ça fait peur diront certains.

Qu’importe à qui vous demandez de décrire le Diable, il le fait en parlant de ses pieds de boucs, de ses cornes immenses, de son poitrail poilu, nous livrant la description du Diable rendue par un très grand nombre d’artistes de toutes les époques, dont deux Diables qui reviennent très souvent : Le dieu Pan et Baphomet.

Très peu d’auteurs pourraient parvenir à traiter du Diable sans l’illustrer et même Tolkien n’aura pas eu le choix, minimaliste sans doute, de décrire Sauron comme un Œil de feu placé au sommet de tours malveillantes. Avons-nous fait du Diable un être hybride entre l’homme et l’animal parce que nous l’imaginons ainsi ou parce qu’il est ainsi ? À moins qu’il ne soit qu’une Force, une Idée, une Énergie que nous n’arrivons pas à imager adéquatement ?

NOTE AU LECTEUR : La série reprendra, le 6 janvier 2021, avec l’article 15 : Allons donc chez le Diable maintenant !


[1] Mircea Eliade est né à Bucarest en mars 1907 et mort en 1986 à Chicago. Il est l’auteur de très nombreux ouvrages comme Myth and Reality dont est extrait cette citation. Mircea Eliade est considéré comme l’un des fondateurs de l’histoire moderne des religions.

[2] Comme on le verra plus loin, cette même notion libérée de son carcan religieux devient l’Ordre et le Chaos.

[3] Le premier superhéros de Marvel créé en 1939. On soupçonne DC, le rival de Marvel, de l’avoir repris sous les traits d’Aquaman.

[4] Je connais des gens qui croient vraiment que les Jedi existent.

[5] On ne sait absolument rien de lui comme de tous les évangélistes. Les historiens sont unanimes à l’admettre et pourtant on en a fait un saint et on lui a érigé une statue qui ressemble à n’importe qui. C’est donc davantage le texte qui est cité ici et non son auteur.

[6] Allusion moqueuse aux Beatles plus populaires que Jésus-Christ selon John Lennon.

[7] Genèse 3:22 : L’Éternel Dieu dit: Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Vous ne trouvez pas étrange parle de « nous » comme s’ils étaient plusieurs ?

[8] Peintre des Pays-Bas. 1450-1516.

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La mort n’est qu’un masque temporaire entre deux visages

Sans ambages, sans retenue, Jean Casault nous le dit carrément, en tant qu’Esprit éternel enfermé dans un corps pour expérimenter et vivre la vie, nous survivons à la mort du corps et après un moment nous revenons dans un autre. C’est le processus de la réincarnation et personne n’y échappe ! Un livre qui fut best-seller dès sa sortie.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



Catégories :Le Mal

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7 réponses

  1. L’ouverture d’Esprit est une fracture du crâne, ça c’est très bien imagé et se peut-il que nous soyons témoin de cela à tout les jours à la même heure? Les gens qui pour eux c’est bien ce qu’ils font, est-ce

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  2. J’ai lu un texte il y a quelque jours ou il était mention de l’introduction des jésuites partout dans le monde à différentes époques qu’ils seraient en partie responsable de beaucoup de problème sur terre et même de tout ce qui touche la « papauté », est-ce plausible?

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  3. J’ai connu les Jésuites. C’est un ordre religieux quelque peu rebelle et s’ils ont causé des problèmes c’est à l’Église et à la papauté et c’est très bien . Vous lirez mon livre  » Les Religions c,est assez  » vous allez tout comprendre.

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  4. Ouais! Les religions et les histoires de la bible ce sont des fables, des inventions des hommes. Chaque époque y répond selon son évolution. Le diable. j’y croyais quand j’étais enfant parce qu’on m’en parlait et qu’on me le décrivait comme une bête immonde venant du feu de l’enfer. Maintenant, je ne crois plus à l’image qu’on me présentait pour me faire peur. Je crois en une énergie suprême qui est la conscience de TOUT ce qui existe depuis TOUJOUR. Joyeux Noël

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  5. Je me suis déjà posé la question qu’est-ce que le mal… pourquoi le mal et non le bien? Tout simplement parce le mal est banni pour plusieurs. J’ai des idées sur la question, mais ce ne sont que mes idées. Pour moi le mal est tout ce qui va me causer du tort, me blesser, me faire souffrir émotionnellement et/ou physiquement. Donc, si je dis quelque chose de blessant à une personne parce que selon moi c’est ma vérité (et non pas LA vérité) je cause du mal à cette personne. Le mal peut être dans l’action, la parole et même la pensée (on se croit être dans le Bien alors que nos pensées sont parfois très agressive), on pense souvent à ce que l’on ferait à un être qui maltraite un animal, nos pensées sont-elles bien si l’on pense au mal? C’est un sujet très profond et sensible pour ceux qui n’osent pas regarder la réalité de leurs pensées, actions ou réactions. Je suis dans le bien et le mal tant et aussi longtemps que l’ego cherchera à se satisfaire et critiquer tous ceux qui ne pensent pas et n’agissent pas comme moi. C’est d’ailleurs le tout début de la guerre humaine.

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