Quand Jésus traite Yahvé de meurtrier et de menteur ! (article 19)

Crédit pour le montage graphique : Éric Dorion

En tant que déiste, j’affirme que le Dieu des récits anciens dont la Bible, dit Yahvé, Jéhovah, le Tout Puissant, le Glorieux n’est en fait qu’un Lucifer, le Diable ou une simple Créature de loin supérieure aux hommes, mais n’ayant aucun rapport avec Dieu. Voilà qui donne aux religions monothéistes issues de ces mêmes récits une sulfureuse et très douteuse origine.

Vous n’êtes pas sans savoir que de nombreux chercheurs, dont je suis, partagent cette théorie que les religions et les mythes viennent de rencontres survenues entre certaines de ses Créatures (voire d’origine extradimensionelle et/ou extraterrestre) et l’humanité naissante il y a des dizaines sinon des centaines de milliers d’années. Bref, quand nous verrons plus loin ce que le Diable a bien pu inventer pour nous tenter, ne perdons pas de vue, sournois et habile en tout qu’il serait, sa capacité de nous tromper et de nous mentir en ajoutant les religions dans son sac à Malices ! En un mot, le Dieu qu’on nous présente ne serait-il pas le Diable lui-même ?

Ce même Dieu que le célèbre Jésus aurait lui-même rejeté ?

Ah ? Vous ne le saviez pas ? Pourtant c’était et c’est encore en toutes lettres sous vos yeux dans l’évangile de Jean ! Le désaveu le plus limpide de Yahvé qu’un déiste puisse rêver, mais un cauchemar pour tout théiste qui ne trouvera aucun réconfort dans son Église puisqu’Elle n’osera jamais se contredire elle-même en désavouant une « Parole d’Évangile ». Avant de la lire dans ce texte, je vous suggère de retrouver ce verset VOUS-MÊMES dans une bible ou une bible en ligne. C’est dans Jean chapitre 8 dès le verset 44 donc très facile à trouver, mais lisez tout le chapitre, histoire de vous mettre dans le contexte.

Moi, je dis ce que j’ai vu chez mon Père, et vous, vous faites ce que vous avez entendu auprès de votre père…: (…) Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. 

Vous avez bien lu ? Étonnant n’est-ce pas ? Étonnant même que les Juifs n’aient jamais protesté contre ces versets qui traitent leur Dieu de meurtrier et de menteur. Il est vrai que ce jour-là, ils ont essayé de le lapider, mais sans succès ! Donc, Jésus s’adresse aux Juifs, les siens, et vient de traiter leur Père de menteur et établit clairement une différence entre le Père qui est le Sien et Yahvé ou Jéhovah qui est celui des Juifs, soit le Dieu de la Bible, le Dieu d’Abraham, le Dieu de Moïse, mais également le Dieu d’Ismaël qui, on le sait, est à l’origine des peuples qui vénèrent Dieu sous le nom d’Allah. Jésus croit donc lui aussi que Yahvé n’est autre… que le Diable ou, à tout le moins, un meurtrier. La chrétienté a voulu retenir l’Ancien Testament dans sa Bible dans laquelle Yahvé ne fait que tuer tout ce qui bouge : je suis curieux de savoir ce que ce Jésus en aurait pensé !

Iblis

Le Diable, les anges déchus et l’enfer existent également chez les Musulmans, mais ce sont des noms différents comme Iblis, Shaytan et les Djinns qui viennent soulever certaines questions fort intéressantes quant à la nature du Mal.[1] La créature qui s’assimile le plus au Lucifer chrétien, voire à Satan, porte le nom d’Iblis et aurait refusé de se prosterner devant Adam.

Le déisme propose une autre voie, celle voulant que l’hominidé qui pense permette aux Esprits libres et errants de s’incarner et de progresser. C’est une voie évolutive absolument remarquable puisque de vie en vie, d’humain en humain, dans l’espace et le temps, chaque Esprit acquiert ainsi une fabuleuse expérience et Dieu demande alors aux anges de servir l’Esprit en chaque homme. Iblis n’a pas compris. Ne captant pas la nuance, il entend plutôt qu’il doit servir l’homme et Iblis refuse de le servir. Chez les chrétiens, d’après Jérémie, cela signifie je ne servirai pas Dieu, et qui devint le célèbre non serviam.

Si Iblis est présenté par le texte coranique tantôt comme un ange, tantôt comme un djinn à la face et au corps noir (comme brûlé), la majorité des commentateurs du Coran le considère comme un ange déchu devenu l’un des djinns.[2]

Par ailleurs, le Livre d’Hénoch, comme on l’a vu, parle plutôt d’une faute relevant du rapport entre les anges et les filles des hommes. Étrangement, une sourate du Coran fait allusion à deux anges, Harout et Marout qui eux aussi sont punis pour avoir succombé à la chair. Décidément, le sexe n’a pas bonne presse en religion. Sauf chez les religieux ! Hénoch aurait donc des liens avec le Coran en plus des écrits sumériens et même de certaines mythologies existantes. Quelque peu dérouté par ces histoires de sexe qui nous ramènent à l’intolérance augustinienne la plus pathétique, voilà que le Coran s’en mêle aussi. On ne peut alors tout lui faire porter sur le dos, mais si les Anges sont des créatures spirituelles, comment pourraient-elles être excitées sexuellement quand elles-mêmes n’ont aucun organe, pas même un cerveau capable d’être titillé. De nombreuses légendes à propos de ces anges sont présentes dans les commentaires coraniques classiques, mais il existe un courant très fort dans l’Islam qui s’appelle La doctrine de l’impeccabilité des anges[3]. Gilles Chambon nous dit :[4]

Les anges que l’on retrouve dans beaucoup de mythologies, et notamment dans les trois religions du Livre, sont des entités messagères (angelos signifie messager en grec) qui ont pour fonction d’établir un lien entre Dieu et les hommes. C’est pourquoi ils sont représentés ailés, l’aile étant le symbole universel de la communication entre le ciel et la terre.

Les textes anciens qui parlent d’eux sont souvent contradictoires quant à leur apparence ou même leur nature. Selon certains, ils sont de purs esprits invisibles, selon d’autres, ils prennent l’aspect humain, et en l’occurrence plutôt celui des hommes : le Livre des Jubilés dit même que les anges ont été créés circoncis, ce qui impose qu’ils ont un sexe mâle (on trouve un écho de cette bizarrerie dans certaines traditions musulmanes affirmant que Mahomet, « messager » de Dieu, est né circoncis).

Les anges sont donc, au départ, dans la mythologie intertestamentaire, des créatures ailées de sexe masculin. Ce n’est que tardivement que la doctrine chrétienne, pour couper court aux fameuses discussions byzantines sur le sexe des anges, a conclu qu’il fallait retirer tout organe reproducteur à ces esprits messagers. Parce qu’ils sont doux et beaux, ils semblaient plutôt féminins, mais soldats courageux combattant le mal, ils paraissaient alors masculins.

Les ailes, un symbole que j’ai retenu moi-même.

Logo conçu par Éric Dorion

Lorsque Dieu créa l’homme, Iblis refusa de se prosterner devant lui. Dans le Coran, la sourate VII se lit comme suit : « Qu’est-ce qui t’empêche de te prosterner quand Je te l’ai commandé ? » Iblis répondit : « Je suis meilleur que lui : Tu m’as créé de feu alors que Tu l’as créé d’argile. » On le chassa du ciel, mais avec en main une entente avec Allah qui l’autorise à tenter les hommes et sa première victime est nul autre qu’Adam et c’est là qu’il devient un al-Shaytan[5] ou un Satan. La version islamique de la Genèse devient alors très intéressante.

L’idée fut de démontrer à Dieu à quel point les hommes ne sont pas dignes de vivre, d’exister! Si j’avais à croire en une version du Diable, ce serait très certainement celle-là. On retrouve cela avec Job, lorsque Dieu accepte que Satan fasse tout ce qu’il peut pour que Job crache sur Dieu, ce qui tourne à l’échec. Comme en tout, il y aura toujours des dissensions dans ce domaine et ici on pose la question à savoir si Iblis a été créé libre de ses choix ou s’il a été créé tel qu’il était, un Démon[6] afin de provoquer chez l’homme un choix terrible et déchirant entre le Bien et le Mal. Il existe une sourate qui dit : «Je (Dieu) n’ai créé les Djinns et les Hommes que pour qu’ils M’adorent. »[7] Qui parle d’orgueil ici ? Chaque fois que Dieu insiste ou exige qu’on l’adore Lui et Lui seul, par définition, c’est le Diable qui devrait avoir de telles exigences, pas Dieu ! Vous ne vous êtes jamais érigé contre ça ? Un Dieu censé être le Père et qui demande à ses enfants de s’écraser au sol, de baisser la tête, de trembler comme une feuille ? Même nous, les humains, ferions intervenir la DPJ pour sortir les enfants d’un milieu pareil dominé par un fou furieux ! C’est d’ailleurs là où se loge le cœur de mon argumentaire. Dès que Dieu réclame d’être adoré, vénéré, qu’il exige qu’on se prosterne devant lui, cela n’a aucune connotation d’amour paternel, d’affection voire de cette tendresse qu’on peut attendre du Père, mais plutôt une connotation de tyrannie, fruit d’un orgueil malade. On attend cela de Louis XIV, d’Henri VIII, de Genghis Khan, d’Hitler ou de Mao, mais pas de Dieu.

La terrifiante Lilith !

Nous devons énormément aux mythes de la grande Mésopotamie. Enki et Enlil, ces dieux sumériens presque jumeaux qui se sont chicané la Terre et qui ont généré presque tous les mythes bibliques copiés par les Hébreux en captivité à Babylone, dont le plus évident est la légende de Noé inspirée directement des écrits sumériens sur Atrahasîs ou Utnapishtim.[8]

Selon Samuel Noah Kramer,[9] va apparaître une entité portant le nom de Lillake dans le fameux récit sumérien de Gilgamesh. Puis, on redécouvre cette même entité, mais avec plus de précisions, en tant que Démon femelle, Lilitu, avec sa comparse Arda-lili[10] dont la tâche consistait à séduire les hommes en pénétrant dans les maisons. Cela nous ramène aux succubes de l’ésotérisme médiéval, ces esprits sexuels qu’on retrouve dans les mythes et légendes d’un très grand nombre de contrées et j’y ajoute la mienne, ayant reçu moi-même la visite de l’une de ces créatures. Ailleurs, mais toujours en Mésopotamie, ces deux démons femelles dominent les vents. Plus tard, l’une d’elles sera assimilée à Lamasthu, une déesse buvant le sang des hommes et contrariant la grossesse des femmes pouvant représenter un danger pour les nouveau-nés. Finalement, c’est sous Lilith, adapté par les Hébreux que nous la connaissons.

Lilith est une rousse très sexuelle! Elle aurait été la première femme d’Adam, conçue à part entière et non tirée d’une de ses côtes.[11] Cette histoire affriolante est attribuée à Ben Sira, auteur de l’Ecclésiastique[12] que l’on retrouve dans notre bible, mais également d’un ouvrage douteux ou en termes polis, un pseudépigraphe intitulé l’Alphabet de Ben Sira. Lilith y est présentée comme la première femme d’Adam :

Comme elle ne s’entend pas avec lui, elle s’enfuit dans la mer Rouge, dans les eaux qui engloutiront les Égyptiens pendant l’Exode. Dieu envoie après elle, trois anges pour la ramener, (…) Elle refuse de revenir et les anges menacent de la tuer. Elle fait alors le serment de ne pas s’en prendre aux enfants nouveau-nés dès lors qu’elle voit les anges ou leurs noms. Le statut de Lilith comme première femme d’Adam vient en explication du double récit de la création dans le livre de la Genèse (Gn 1.27 et Gn 2.22). La création de Lilith correspondrait ainsi au premier récit alors que le second concernerait Ève.[13]

Mais s’il n’y avait que le Talmud, ce livre de lois pour parler de Lilith, voilà que la Kabbale s’en mêle, car dès le 13e siècle, Lilith aurait été façonnée avec de la terre en même temps qu’Adam, mais avec de la terre impure, ce qui explique son caractère démoniaque. Ailleurs, on l’associe à Samaël, les deux étant liés au caractère sévère de la justice divine. Dans une autre tradition, Lilith et Samaël sont en fait un seul être androgyne à l’image de Dieu.[14]

Le récit prend du corps et de la substance donnant à Lilith une importance quasi démesurée, car voilà que Dieu, dans sa grande bonté, la condamne à voir tous ses enfants mourir à la naissance. Désespérée, elle décide de se suicider, mais pour éviter cela, des anges lui donnent le pouvoir de tuer les enfants des Hommes. Elle rencontre ensuite le démon Samaël, comme on l’a vu plus haut, l’épouse et s’installe avec lui dans la vallée de Jehanum, où il prend le nom d’Adam-Bélial. Pour se venger, Lilith devient alors le serpent qui provoque la Chute d’Ève et incite Caïn à tuer Abel.

Bon sang, nous sommes à la première heure de la Création et déjà on a un Dieu furieux qui se mélange les pinceaux en créant une diablesse par erreur et la guerre est prise entre tout le monde qui se déteste. C’est Dieu ou le Diable qui mène dans ces histoires? Parfois de manière quasi burlesque. Alors qu’Adam, voyant ses enfants s’entretuer refuse d’avoir des relations sexuelles avec Ève, permet à Lilith d’enfanter des nuées de démons avec son sperme qui tombe à terre pendant cent trente ans.[15]

Yehouda Bar Rabbi[16] relate que Dieu avait créé pour Adam une première femme, mais l’homme, la voyant rebelle, pleine de sang et de sécrétions, s’en était écarté. Aussi Dieu s’est repris – comme déjà dit, adieu la Perfection Divine – et lui en a créé une seconde. Puis, Caïn qui se querellait avec Abel pour posséder la première Ève, soit Lilith, n’ayant cure des saletés et des sécrétions, le tua pour être sûr d’en être le seul amant. Caïn et Lilith engendrèrent la portion diabolique de l’humanité et Adam et Ève en engendrèrent la portion bénéfique.

Citant les mêmes sources, on raconte que Lilith, punie par la stérilité, pousse Satan, déguisé en serpent, à pervertir Ève en la possédant charnellement. De cette union, naîtra le premier être humain ombiliqué, Caïn, qui commet le premier meurtre sur Terre, en tuant Abel son propre frère. Ainsi, Lilith commet le mal pour le mal en trahissant Adam, à travers la mère bafouée et trompée qu’est Ève, à travers l’enfant Caïn qui deviendra un meurtrier, à travers Abel qui en est la victime. Rien n’est simple avec les textes anciens ! Mais la notion de lutte entre le Bien et le Mal perdure. La Chaos ne cesse de perturber l’Ordre.

Ahriman

Rudolph Steiner, théosophe de la première heure, a grandement élaboré sur le rôle d’entités spirituelles dans l’évolution de l’être humain que nous sommes. Parmi ces entités se retrouvent Lucifer et Ahriman. Pour Steiner, Ahriman est l’une des deux entités, avec Lucifer, qui s’opposent à l’évolution de l’humanité, déjà davantage comme Iblis, mais qui la rendent aussi possible. Ahriman s’identifie à Satan, lequel ici est bien distinct de Lucifer. Il est l’être qui fait de l’homme un être terrestre assujetti à la matière, alors que les forces lucifériennes tendent à l’en détacher. Ce qui va suivre est donc extrait de conférences de Steiner entre 1919 et 1922.

La puissance de Lucifer est celle qui excite dans l’homme toutes les exaltations, tous les faux mysticismes, l’orgueil qui pousse l’homme à s’élever au-dessus de lui-même. La puissance d’Ahriman est celle qui rend l’homme aride, prosaïque, philistin, qui ossifie exagérément les corps et qui entraîne l’homme aux superstitions matérialistes.

La tâche propre de l’homme est de se maintenir en équilibre entre les puissances lucifériennes et les puissances ahrimaniennes et l’impulsion du Christ aide l’humanité actuelle à garder cet équilibre. Ahriman agit tout spécialement depuis et dans le corps éthérique. Il confère aux humains une intelligence froide et abstraite, dénuée de sentiments, et amorale. C’est l’esprit du mensonge, de l’erreur, et de la corruption.[17]

Selon Steiner, l’action d’Ahriman est de déspiritualiser l’existence.

Plus quelqu’un se focalise sur le monde physique et s’attache aux plaisirs du monde matériel, plus Ahriman a la possibilité de s’insinuer dans son âme pendant sa vie terrestre et de conserver son pouvoir sur lui au-delà de la mort.[18]

Dans le zoroastrisme, il est dit d’Ahriman qu’il est le responsable de la création matérielle, qu’il est le père de l’illusion et de l’erreur, du mensonge cosmique, l’esprit trompeur, l’esprit des Ténèbres, du Mal et de la mort. D’après Viatcheslav Ivanov, le roman dostoïevskien met très précisément en scène l’action d’Ahriman : il est celui qui pervertit la volonté humaine en lui faisant croire qu’il n’est pas nécessaire de naître d’en haut.[19] Vous révéler que ce Diable correspond à celui que j’identifie comme tel est un euphémisme qui prendra corps plus loin dans cette série.

Prochain article (20). D’autres bons diables dont Baphomet.


[1] Nombreux extraits proviennent des sources suivantes : The Encyclopedia of Islam, art. Mala’ika. Encyclopedia of Quran, Angel et François Déroche. Le Coran. Presses Universitaires de France, coll. Que sais-je ? 

[2] Gobillot G. Ange, angélologie. Dictionnaire du Coran. 2007.

[3] Dictionnaire du Coran déjà cité.

[4] Réflexions et recherches de Gilles Chambon sur l’art figuratif et son histoire, sur sa place dans l’art contemporain.Le sexe des anges.

[5] De Smet D., Démons, dans Dictionnaire du Coran. 2007. Paris.

[6] Jamal J. Elias Key, Themes for the Study of Islam, Oneworld Publications, 2014.

[7] Sourate 51, Verset 56.

[8] Raymond Jacques Tournay et Aaron Shaffer. L’Épopée de Gilgamesh. Cerf. coll. Littératures anciennes du Proche-Orient Langue. 2003.

[9] L’histoire commence à Sumer. Flammarion. coll. Champs Histoire. 1956.

[10] Germaine Tillion. Il était une fois l’ethnographie. Points. 2000.

[11] Dans le Livre d’Isaïe 34,14 et le Psaume 91, mais dans quelques versions seulement.

[12] J’ai dénoncé le chapitre 25 de son texte comme étant le plus antiféministe de toute la Bible. Cf Les Religions c’est assez !

[13] Michèle Bitton. Lilith ou la Première Ève: un mythe juif tardif.Archives de sciences sociales des religions, no 71.‎ 1990.

[14] Raphael Patai. Lilith, The Journal of American Folklore. American Folklore Society, vol. 77, no 306.‎ 1964.

[15] Marc-Alain Descamps. Lilith ou la permanence d’un mythe, Imaginaire & Inconscient, no 7.‎ 2002.

[16] Bereshit Rabba. 22 : 27-30. 5e siècle.

[17] Extrait de Rudolf Steiner. Lucifer et Ahriman. Éditions Anthroposophiques Romandes. 1977.

[18] Rudolf Steiner. La science de l’occulte. 1910. Éditions Triades. Paris. Réédition 1976.

[19] Dostoïevski : Tragédie, Mythe, Religion.

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Catégories :Le Mal

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3 réponses

  1. TOUT ce conçoit a partir de jésus Christ le bien le mal, le chrétien a fait parler tous les mythes a partir de la croix

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  2. Meme si j’avais beaucoup de connaissance a ce sujet.Je trouve que les Divergents est le condensé d’un travail de recherche sur ces quelques divergents de divers époques.Ce livre je l’ai aprécié comme tous les autres d’ailleurs.Merci pour l’excellent travail que tu fait qui depuis plusieurs décennies a contribuer a l’éveil spirituel des Québécois et les mettres au fait du très contreversé phénomène extraterrestres et même galactiques.

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  3. Toutes ces histoires bibliques ont été écrites, il y a des millénaires par des humains superstitieux, des gens plus intelligents que les autres qui ont transformé de simples faits à leurs images et à leurs convenances pour faire peur et maintenir leurs semblables dans la noirceur.
    Je ne veux pas croire ces histoires et je ne peux pas les croire parce que ces écrits dépassent l’entendement.
    Oui, je crois qu’il y a des extraterrestres beaucoup plus évolués qui visitaient la Terre en ces temps immémoriaux et que les terriens les prenaient pour des dieux. D’ailleurs, ils nous visitent encore aujourd’hui.
    Sur le WEB, il s’écrit beaucoup de faussetés dites comme de grandes vérités. Il semblerait que la lune n’est pas la lune comme nous la voyons, mais une sphère en métal qui a été créée et déménagée au douzième siècle par des extraterrestres. Un hologramme nous la fait voir comme nous pensons qu’elle est, une grosse sphère rocheuse.
    Je ne le crois pas!
    Que dire des Apollos?

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