Il était une fois une particule très particulière

C’est un événement qui date de mars 2013, mais que personne n’a eu envie de suivre parce que la science au Québec n’intéresse que les scientifiques. En ce qui me concerne, même si je ne suis pas un scientifique, je m’y intéresse de très près parce que l’ufologie, le paranormal et la métaphysique sont des proies faciles pour les détracteurs, lesquels en général sont des scientifiques ou s’ils n’en sont pas, s’en donnent l’air et utilisent des arguments scientifiques. J’aime savoir contre qui je me bats et comme le veut l’euphorisante philosophie de Sun Tzu, auteur célèbre de l’Art de la Guerre, « Si tu ne connais ni toi ni ton adversaire, à chaque bataille tu seras vaincu. »

Revenons à cet événement de 2013 pourtant majeur dans l’histoire de la science. Il fallait voir ça ! Amassés comme des enfants dans une cour de récréation, presque assis les uns sur les autres par manque de place, répartis un peu partout dans différentes salles de réunions dans le même édifice et debout depuis 4 heures du matin, ils sont fébriles, ne tiennent plus en place et se demandent vraiment s’ils ne rêvent pas.

C’est toute une histoire que celle-là et il faudrait plus qu’un livre pour décrire en détail ce qui en fait une histoire si extraordinaire. Irais-je jusqu’à dire que ces chevaliers, dont la table ronde fait plus de 27 kilomètres de diamètre, allaient apprendre qu’ils ont vraiment découvert le Saint Graal ? Pour plusieurs d’entre eux, on peut dire que oui. Pour d’autres, c’est plutôt d’apprendre qu’il y a encore autre chose de plus important que le Graal des Initiés.

Je pourrais simplement vous dire de retrouver ce documentaire extraordinaire réalisé par Mark Levinson et intitulé La fièvre des particules et je pense que tout serait dit. Mais, je m’impose toujours un devoir de partage lorsque ma résonance s’ébroue comme un cheval, alors je vais tenter au mieux de vulgariser ce dont il s’agit. Mes analogies seront sans doute douteuses aux yeux des puristes de la physique théorique, mais n’étant pas un des leurs, je peux me permettre de les utiliser parce qu’eux, franchement, pour vulgariser on repassera : ils sont nuls. D’ailleurs, l’un d’eux en France m’a déjà révélé un secret que voici :

« Vulgariser notre travail, c’est comme aller aux putes et nous sommes mariés à la science, alors on évite vous comprenez ? »

Il a trouvé très drôle que je le remercie pour cette fabuleuse vulgarisation de l’épistémologie et le fait que je ne dévoilerais à personne qui il est.

Avant d’aller plus loin, voyons l’histoire au début

En 1964, plusieurs chercheurs, et plus particulièrement un certain Peter Higgs, croient qu’il existe dans l’univers une particule, un boson pour être précis dont l’existence simple expliquerait l’univers. Elle fut appelée par les médias, la Particule de Dieu parce que son existence serait responsable de la création ou à tout le moins, son absence aurait fait que le Big bang n’aurait été qu’un pétard mouillé. C’est gros là ! Les créationnistes n’ont pas dû aimer. Ils n’aiment rien de toute façon et même être un ti-prêtre dans son canton, je souhaiterais que personne de ma paroisse ne comprenne un mot de tout ça ! « La Création, c’est Dieu pas une explosion ! » hurlerait-il.

Le physicien David J. Miller, spécialiste des particules élémentaires, a comparé le boson et le mécanisme de Higgs à un cocktail réunissant les membres d’un parti politique dans le sens que le champ de Higgs est comparé au groupe des personnes qui, au départ, remplissent un salon de manière uniforme. Lorsqu’une personnalité politique très connue, très puissante entre dans le salon, elle attire les militants et partisans autour d’elle, ce qui lui donne une masse importante. Cet attroupement correspond au mécanisme de Higgs et c’est lui qui attribue une masse aux particules.

Dans un de mes bouquins, j’ai appelé le boson de Higgs la Particule Céline Dion, parce que lorsqu’elle se déplace, en tout cas à l’époque, elle attire des dizaines de milliers de gens autour d’elle, alors que madame Vézina du 113 Latreille à Bovillage dans le nord du comté de Bassinette ne déplace que son chihuahua quand elle sort de chez elle.  

Pour la science, l’univers correspond à ce qu’ils appellent un modèle standard. Le monde est comme ça et pas autrement, alors n’y touchez pas svp nous dit-elle. Nous sommes des centaines de milliers à le reconnaître, c’est ce qu’on enseigne partout, c’est notre plateforme de base que nous partageons tous. 

Or voilà que ce Higgs vient mettre la pagaille avec ses idées parce qu’il semble pouvoir démontrer que cette particule élémentaire, ce petit boson, constitue l’une des clefs de voûte du modèle standard de la physique des particules. Si elle existe, cela aura des conséquences affolantes puisque toute la recherche, et je dis bien TOUTE la recherche devrait alors se réorienter complètement. Je dis « si elle existe » parce que si maintenant nous le savons, ce n’était pas encore chose faite ce jour-là fatidique alors qu’ils étaient tous pendus aux lèvres du Large Hadron Collider de Genève. De très grosses lèvres.

C’est comme pour ceux qui un jour ont appris que finalement la Terre était ronde et non plate et qu’en plus, c’est elle qui tourne autour du soleil et non l’inverse. Disons que pour un étudiant du 15e siècle qui revient en classe après ses vacances d’été, c’est un choc d’apprendre que tout ce qu’il a appris depuis 10 ans est à mettre aux ordures. Ce qui vaut pour certains internautes encore à l’âge des cavernes et qui pensent que nous ne sommes jamais allés sur la Lune. Dans ce cas de figure, c’est pire encore. Quand on apprend que la Terre est ronde et qu’elle tourne autour du soleil, voilà deux grands bouleversements majeurs, mais qui ont le mérite de stabiliser les affaires. On part de là et on avance. Il se dégage une nouvelle certitude qui ouvre la porte à l’exploration d’un monde incroyable puisque ce doit être le cas de tous les mondes qui eux aussi doivent orbiter autour d’un soleil, etc.

Mais le boson de Higgs est beaucoup plus cruel encore

Il indique que selon sa masse, cette nouvelle physique pourrait prendre deux directions, non seulement différentes, mais opposées. C’est comme si on avait découvert que la Terre n’est pas plate, d’accord, mais on ne sait pas encore si elle est ronde, ovale, cubique ou autre. Et on ne sait rien du reste et pis encore, si elle est comme ceci, ça pourrait aller, mais si elle est toute autre, alors cela veut dire que nous avons atteint les limites de la connaissance puisqu’elle suppose l’existence d’autres univers, avec d’autres particules totalement inconnues, d’autres lois qui les gouvernent.

Comme déjà dit, en mars 2013, comme l’indique le titre du documentaire, La Fièvre des particules, on voit des physiciens aux cheveux blancs se prendre la tête en disant : « J’ai peur, j’ai vraiment peur, si cela se confirme, j’aurai enseigné les mauvaises choses pendant 45 ans ! » Un autre dit : « Je vais bientôt prendre ma retraite, j’aurai donc été inutile toute ma vie puisque dorénavant le monde ne sera jamais plus ce que j’ai enseigné. Deux générations d’étudiants de perdues ». Moi, je ricanais en regardant ça, me disant : « Attendez qu’ils découvrent combien de mondes sont habités et nous observent comme les crétins que nous sommes ! »

Vous savez ce qu’ils ont fait la première fois que Higgs a soulevé la question en 1964 ? Ils ont choisi parmi eux leur meilleur vendeur et l’ont envoyé expliquer ça aux gouvernements d’une vingtaine de pays qui ont accepté de confier à une vieille organisation scientifique, déjà existante depuis 1952, le mandat de trouver une réponse et de déterminer si oui ou non ce foutu boson existe ou s’il n’est qu’une lubie de savant un peu excentrique. Cette organisation se trouvait en Suisse et portait et porte encore le nom de CERN. (Conseil européen pour la recherche nucléaire)

Ils ont déblatéré là-dessus et finalement, ils ont décidé que la seule façon de répondre à cette question était de reproduire en miniature ce qu’avait été le Big bang pour photographier cette particule et ses effets dans un milieu contrôlé. On parle d’années évidemment. C’est devenu comme mentionné plus tôt, le Large Hadron Collider (LHC). Durée des travaux ? Ça continue encore. En 1981, ils ont bâti une nouvelle version d’un accélérateur de particules. C’est quoi ça un accélérateur de particules ? Bon, je vulgarise. Une particule, c’est un atome ridiculement petit, donc invisible et tout et tout. Disons que c’est une Formule Un. Le LHC, lui, serait alors comme le Speedway de Daytona Beach, une piste de course pour observer la vitesse, le comportement de différentes voitures extrêmement rapides, sauf qu’au lieu d’être des Formule Un, ce sont des particules. Ce qui est encore plus amusant c’est qu’on place deux super bolides sur la même piste qui roule chacune dans leur sens pour se rentrer dedans et à un moment précis, c’est ce qui arrive, mais à des vitesses de fou, presque proche de celle de la lumière. Laissez des gars de science quantique seuls 20 ans dans la même pièce et voilà ce que ça donne : des courses de stock car atomiques ! Vous imaginez le bordel de morceaux qui explosent ? Tout ça est filmé et photographié et surtout enregistré. Parmi les débris, devrait apparemment se trouver la fameuse particule de Higgs. Mais avant de faire des photos du gros BOUM, encore faut-il construire la piste.

Le modèle de LHC 1981 est trop petit. Le projet, approuvé en 1994 prévoit donc une piste de course de 27 kilomètres de diamètre. Dis oui, papa tu veux ? Dis oui ! ça ne coûte que 9 milliards… par année. Le Japon et finalement les États-Unis finissent par embarquer en 1995 et en 1997.

Pendant que Peter Higgs prend de l’âge et se dit qu’il ne verra jamais son boson de son vivant, le LHC se construit et ce n’est pas une mince affaire. Quelqu’un a déjà dit en inspectant l’une des quatre stations érigées sur le pourtour de l’anneau : « C’est comme une montre suisse de cinq étages ».

Puis, il a fallu s’assurer que la piste de course est propre, dégagée de tout ce qui pourrait fausser les données, crever un pneu ou embuer les parebrises du bolide. On va donc faire un test. Un seul bolide dans un seul sens et à vitesse modérée. Si tout se passe bien, on continue. En septembre 2008, c’est fait et ça marche ! Un ami à moi, Yvan St-Gelais, qui doit me lire de là-haut, s’est construit une piste pour autos miniatures dans son sous-sol. Sa courbe était trop prononcée et les bagnoles allaient constamment s’écraser dans le mur. Mais pas eux !

Va quand même survenir une tragédie. Même à basse vitesse, le bolide a causé d’épouvantables dommages. Il a fait sauter des éléments cruciaux de la piste et répandu de l’essence partout. Elle est inutilisable. Une petite particule de rien du tout a fait tout ce ramdam. Alors, le LHC, suite à une fuite d’hélium causée par l’explosion de plusieurs aimants le long de l’anneau, s’est arrêté. Higgs a dû pleurer… et ne pas être le seul. Vous avez compris que la piste de course est une analogie, y’a pas de voiture, pas de pilote. Je dis ça, je dis rien ! Dan Brown a adoré l’histoire et en a profité pour écrire un bouquin faisant croire que le LHC fabriquait de l’antimatière volée par un curé déjanté qui a tué tous les papes à venir. Z’avez-vu ce film avec Tom Hanks ? Aucun rapport !

Ils se sont retroussé les manches et le moral au plus bas, ils ont tout réparé en mars 2010 avec une belle piste, mieux protégée et capable de supporter des vitesses encore plus grandes. En novembre de la même année, ils réussissent à isoler une particule d’antihydrogène dans un champ magnétique. Oups ! De l’antimatière.

L’antimatière, c’est compliqué !

Je vais encore devoir vulgariser, après quoi on dira que Casault n’est qu’un vulgaire ufologue ! J’ai des appuis. Les amateurs de Star Trek connaissent. On sait tous que la symétrie de la physique s’impose en de nombreux domaines. Les protons sont positifs les électrons sont négatifs et les neutrons sont neutres. L’équilibre taoïste du Yin Yang est en tout. La matière, elle est comme ça, chargée de cette façon. L’antimatière aussi, toutefois ce ne sont pas des protons, mais des antiprotons et ainsi de suite. Vaut mieux ne pas les faire se rencontrer. Je m’explique. Faut savoir que lorsque le Big bang a eu lieu, cela a généré juste un peu plus de matière que d’antimatière. L’antimatière a alors disparu et cela je ne peux pas le vulgariser parce que même les scientifiques les plus pointus ignorent pourquoi. Mais on peut créer de l’antimatière. D’ailleurs, certains qui ont entendu parler du LHC ont fait des démonstrations disant que le LHC pourrait produire un trou noir qui engloutirait la Terre en quelques heures. Il est vrai que si deux ballons de football, dont un est de la matière et l’autre de l’antimatière, devaient se frapper l’un contre l’autre, il y aurait alors une énergie telle qu’harnachée pourrait électrifier la moitié des États-Unis pour un mois ou la détruire, c’est selon. Revenons à notre piste de course et au boson de Monsieur Higgs.

Le 4 juillet 2012, ils découvrent parmi les débris de nos deux bolides collisionnés pour la millième fois, un morceau qui ne fait aucun sens. Il a toutes les caractéristiques appréhendées par Peter Higgs. Serait-ce enfin son boson ? Suspense intenable qui va nous mener à cette scène festive décrite au début de l’article et visible ici, qui s’est produite en mars 2013.

« Nous l’avons trouvé, c’était bien lui ! »

S’est exclamé Rolf-Dieter Heuer, directeur général du projet, suscitant alors une explosion de folie, le sabrage de centaines de bouteilles de champagne et tutti quanti.

Mais je dois vous dire autre chose

C’est très compliqué, alors je vais vraiment y aller au plus simple. Je vous ai dit qu’il y avait un modèle standard ? Je vous ai dit que le boson de Higgs allait nous causer un sérieux problème au niveau de l’orientation des recherches. Le problème était le suivant :

Si le boson qu’on va découvrir pèse 115 GEV (Gigaélectronvolt) ça va, il confirme le modèle standard, mais demeure potentiellement extraordinaire pour d’autres découvertes à venir[1]. Par contre, s’il pèse 140 GEV, alors c’est la théorie chaotique du multivers, c’est-à-dire l’abandon de tous nos espoirs de découvrir d’autre chose puisque les réponses se trouveraient dans un autre univers. Ou plusieurs autres. Je n’ai pas dit d’autres galaxies ! Notre univers est constitué d’environ 300 milliards de galaxies et il continue de grandir et de grandir, mais si le boson de Higgs est lourd à ce point, cela suppose l’existence d’autres univers qui nous sont à jamais inaccessibles évidemment. On est allé sur la Lune en 1969, grands dieux, et nulle part ailleurs depuis.

Il pèse combien ? 125 GEV. Ils ne sont pas plus avancés en somme. Mais au moins la recherche continue et laissez-moi vous dire que le LHC se fait aller la rotative à vitesse grand V. Après avoir encore été arrêté, il est reparti en 2015 avec encore plus de puissance.

Mais pourquoi je vous parle de ça sur un site d’ufologie et du paranormal ?

Je ne suis pas physicien mais métaphysicien, c’est-à-dire ce qui concerne, ce qui se situe au-dessus de la physique. Cela touche des domaines qui ne peuvent être mesurés comme on le fait avec des particules. C’est comme ça. On nous croit illuminés et on envoie les chiens après nous, ces chirurgiens de l’esprit qui avec leurs chimistes concoctent des potions destinées à nous ramener sur Terre. Oui, oui, les psychiatres avec leurs foutues pilules.

Or actuellement, des milliers de chercheurs travaillent avec un budget astronomique sur une série d’expériences se produisant dans le LHC, le plus grand laboratoire jamais construit depuis les débuts de l’humanité. Le but primaire est de déterminer quel est le modèle exact de notre univers. Ils cherchent des réponses dont la question a été posée il y a environ 13 ou 14 milliards d’années quand il aurait vu le jour. Cela veut dire que ces gens de science ne savent vraiment pas ce qui en est. Ils croient même qu’ils pourraient éventuellement brûler tous leurs livres, des siècles de connaissances sur le bûcher des vanités. Je partage leur angoisse et loin de moi l’idée de me moquer de leur dégaine. Je dis simplement que voilà donc une très grande leçon d’humilité pour l’homme qui, il n’y a pas très longtemps, affirmait que plus rien ne saurait être découvert en matière de sciences ! Plus personne n’a donc le droit de se montrer arrogant. Personne ne sait ce qu’est la vraie vérité vraie. Pas plus nous, avec nos avancées hypothético-déductives sur l’Esprit et la vie après la mort, qu’eux avec leur super symétrie, leur matière inconnue modèle standard ou leurs modèles x à venir. Chacun avec nos moyens, nous tentons de répondre à de très grands mystères. Il n’y a donc aucune place dans tous ces mondes pour le cynisme, le mépris et l’absence de respect. Nous sommes, chacun dans notre monde, à la recherche des autres, à notre façon. C’est que pour ça qu’on a causé boson ! Parce que nous sommes Esprit d’abord et humain ensuite, bref, Énergie d’abord, boson ensuite. Et pour cette raison, nous avons l’infini à fleur de peau étant nous même un infini contracté comme le disait Nicolas Krebs, il y a des siècles de cela et que j’ai eu le plaisir de connaître d’ailleurs dans une autre vie. Vous savez, l’intelligence ne se mesure pas par ce que l’on sait, mais par le désir d’apprendre sur ce qu’on ne sait pas. Mon site est là pour ça, dans un domaine très négligé, méprisé, parce méconnu, mais je veux faire ma part. Je dois être intelligent parce que je ne veux jamais cesser d’apprendre, et c’est normal, tout comme vous, Je Suis Infini, Immortel et Éternel. Mais ça, vous le saviez… j’espère hein ?


[1] Je traite cette question ici même sur mon site. La science a aussi ses fantômes et ses ovnis à s’occuper – Jean Casault (jcasault.com)

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Il était une fois des humains… et des extraterrestres

Depuis l’anneau d’ambre lumineux, cette mystérieuse initiation survenue chez moi en décembre 1966, je révèle sans aucune retenue les arcanes de l’ufologie et de la métaphysique au grand public. Après 50 ans, je présente enfin ce que réclament tous mes lecteurs depuis longtemps : l’histoire commune des terriens et des extraterrestres.

Je tire mes sources de mes propres expériences, de mes travaux auprès d’autres expérienceurs privilégiés et de gens dotés de capacités métaphysiques. Il était une fois des humains et des extraterrestres. Nous nous sommes connus il y a près d’un million d’années, nous avons grandi, prospéré ensemble, puis, un jour tout a changé. C’est une relation complexe dont voici tous les tenants et aboutissants, les où, les quand, les comment et surtout les pourquoi! Retenez bien ceci : tout a déjà été dit, il n’y a jamais eu de secretsque de l’ignorance et surtout de l’indifférence.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



Catégories :Ufologie profonde

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