Karla Homolka : La maîtresse du Diable ou l’infâme Lilith en personne ? (article 9)

Crédit pour le montage graphique : Éric Dorion

Heureusement, la miséricorde de Dieu est préférable à la mort sous la dent de ces monstres, et le précipice est haut, escarpé. Au bas, un homme peut s’endormir – comme un homme. Adieu, vous tous ! Mina ! Dracula (1897). Abraham Stoker.

Nous allons aborder ce dossier parce qu’il est aussi immonde que celui de Dion, mais les acteurs de ces tragédies sont à ce point différents, que tout le questionnement sur le Mal qui fut soulevé par Dion est à revoir à la lumière de celui-ci. Nous allons progresser depuis un humain réduit à son animalité basique incontrôlable par son milieu familial et social, à des humains parfaitement en santé, en contrôle, mais tout aussi dangereux ! Ce paradoxe troublant est-il à l’origine de la confusion qui existe entre le mal et… le Mal ?

La responsabilité d’Homolka dans la mort de plusieurs jeunes filles – dont sa propre jeune sœur Tammy – ne fait aucun doute et certains croient que c’est Karla Homolka qui a tué et non Bernardo. Pour cette raison, sa libération a été vue par plusieurs comme scandaleuse, ce qui m’aura valu de nombreuses heures de défoulement collectif lors de mes émissions de radio à l’époque.

La libération de Karla Homolka constitue un exemple souvent cité par ses défenseurs dans la presse écrite et sur les tribunes populaires, mais à cette époque, je puis vous affirmer qu’aucun appel de sympathie n’est venu soutenir Karla Homolka au lendemain de son entrevue à la télévision au POINT de Radio Canada.

« Je ne veux pas être traquée. Je ne veux pas que le monde pense que je suis quelqu’un de dangereux qui va faire quelque chose à leurs enfants », dit celle qui a offert sa petite sœur de 15 ans en cadeau à Bernardo pour qu’il la viole. De très nombreux auditeurs et surtout auditrices se sont montrés très agressifs à son endroit en arguant que le sort de Tammy, se petite sœur, fait qu’elle ne mérite aucun pardon. « La violer est une chose grave, mais l’offrir en pâture est pire que pire et en plus elle en est morte », me disaient les auditeurs. Je n’avais aucun argument pour les contrer ! Il n’y en avait aucun !

Karla Homolka aurait été retrouvée en mai 2012 en Guadeloupe par la journaliste Paula Todd. Elle portait le nom de Leanne Bordelais et a trois enfants de Thierry Bordelais, le frère de son avocate à l’époque des meurtres. En 2014, elle acquiert une maison à Châteauguay au Québec, ses enfants y étant scolarisés.[1] Elle y est encore en 2017 lorsque bénévole au sein de l’Académie Adventiste Greaves, où étudient ses enfants. On la chasse après plusieurs plaintes de parents qui apprennent qui elle est.

Karla Homolka est-elle devenue une bonne conjointe, une bonne mère,[2] une citoyenne normale vivant une existence normale alors qu’elle aborde la cinquantaine ? Il semble que, jusqu’à date, ce soit le cas et nous verrons l’opinion d’un expert à l’effet qu’effectivement, des individus peuvent vivre des périodes extrêmement sombres, horribles et refaire surface à la lumière si certains éléments disparaissent de leur vie. Comme une alchimie diabolique avec Bernardo ?

Donc, qu’est-il arrivé à cette femme de 17 ans qui rencontre Satan et en devient sa maitresse ? Ou alors, qu’est-il arrivé à ce jeune homme de 23 ans qui rencontre la sulfureuse Lilith et en devient son amant ? Ou alors Satan a-t-il rencontré Lilith ??? Dans la configuration que je donne à cette série, cela peut ainsi se formuler : le mal rencontre le mal, le Mal rencontre le mal ou le mal rencontre le Mal ou alors le Mal rencontre le Mal. Voyons cela.

Bernardo est un très bel homme, il a de l’élégance et rappelle un peu à cet égard Ted Bundy.[3] Bernardo est un violeur en série confirmé, mais son premier viol à vie remonte à mai 87 alors que dès octobre, il rencontre Homolka et c’est à partir de cet instant que deux monstres sont créés.

Des pavés de l’Enfer semés de très mauvaises intentions

Si Bernardo a mal vécu certains aspects de sa vie familiale alors que son père était un violeur incestueux (mais jamais sur lui), Karla n’est absolument pas une enfant brisée et détruite par des abus sexuels outrageants ou par une violence domestique constante. Son enfance est aux antipodes de celle de son mari, mais aussi de Léo-Paul Dion pour tout vous dire. Elle vient d’entrer dans sa vie de presque adulte par la bonne porte, issue d’une maison calme ayant eu une bonne éducation paisible, mais dès qu’elle tombe sur Bernardo, alors qu’elle est à peine majeure, la chimie qui se crée est explosive et sans limites.

Alors qu’il viole à mort une de ses petites victimes de 14 ans, Leslie Mahaffy, (1991) Karla encourage celle-ci à en jouir et assiste à sa mort qu’elle va filmer ! Cette vidéo démontre que Karla Homolka participe au viol, s’en amuse et s’en excite au plus haut point et devient complice de meurtre. Comment qualifie-t-on une femme qui jouit sexuellement de l’agonie d’une autre jeune femme aux mains d’un tueur ? Une authentique psychopathe !

Qu’est-il arrivé à Karla Homolka dont le passé est à des années-lumière de celui de Bernardo, mais surtout de Dion et même de tous les autres grands tueurs de l’histoire ?[4] Est-elle une victime de cette rare maladie qu’on appelle le délire en parties doubles sur lequel je vais revenir ? Est-elle ce que l’ancien profileur du FBI, Roy Hazelwood[5] appelait le syndrome de la victime complaisante, lorsqu’auprès d’un tueur sadique qui la bat, ce qui est effectivement arrivé à Homolka entre les mains de Bernardo, elle se transforme à son tour et s’identifie au monstre ? Une version haut de gamme du syndrome de Stockholm ?[6] 

Dans son livre Karla[7], le journaliste Stephen Williams a pu mettre la main sur des documents inédits, dont des vidéos sur lesquels on voit deux monstres de deux mondes différents. Bien que le père de Karla fût un homme grognon, morne, terne et indifférent à la vie familiale, il finit par devenir commis voyageur et disparaître de la vie de Karla[8] qui eut donc une vie d’enfance et d’adolescence relativement heureuse comme déjà dit, sans aucun incident d’ordre sexuel ou de violence. Malgré ses goûts marqués pour l’occulte et l’horreur, certaines lectures douteuses également, mais partagées par des millions d’autres ados de son âge, elle était une excellente élève, douée, disciplinée et n’ayant absolument rien de remarquable. N’eût été son union avec Bernardo, Karla Homolka serait passée totalement inaperçue jusqu’à nos jours.

Williams nous apprend que lors de son séjour en prison, durant ses douze années de détention, Karla Homolka a été décrite comme une détenue modèle. Durant sa détention, toute personne l’observant aurait eu le même commentaire : serviable, souriante, efficace, compétente, studieuse (elle a obtenu son bac en psychologie en prison) et d’excellente compagnie n’ayant jamais été punie pour quelle que raison que ce soit, ce qui est extrêmement rare pour un centre de détention, à se demander vraiment si elle était une détenue ou une employée-cadre du service correctionnel.

On peut penser que pour sauver sa peau et obtenir une libération plus hâtive, une tueuse sournoise et manipulatrice aurait pu jouer la comédie, leur en mettre plein la vue et vaincre le système. Oui absolument, pendant des jours, des semaines, voire quelques mois, mais sur douze ans ? Le galop du naturel qui revient est toujours très rapide et soutenu. C’est donc impossible de l’avis de toutes les personnes concernées, alors comment cette jeune femme, qu’on engagerait comme assistante à la direction, a-t-elle pu devenir, le temps d’un mariage de trois ans, une bête hideuse et perfide au point d’offrir sa sœur en pâture à Bernardo et en jouir, en filmant le viol et le meurtre d’une autre ?

Soulevée brièvement par Williams dans son livre, l’hypothèse du délire en parti double m’a fait tiquer et j’ai exploré cette avenue. Je n’étais pas familier avec cette question. J’ai été séduit par la possibilité que le caractère fort, sans être trop dominant de Karla ou de Paul, l’intelligence des deux, la recherche de stimulation sexuelle extrême oui, mais tout autant intellectuelle, en faisaient d’eux les candidats idéaux pour induire cette folie à deux comme on l’appelle en termes moins cliniques.

Faisons un peu de chimie

En termes clairs, rappelons-nous cette expression : leur chimie était favorable à cela. Alors faisons un peu de chimie. En jetant un bloc de sodium dans un contenant d’eau, le sodium interagit avec l’eau et cette réaction engendre un grand dégagement de chaleur qui très rapidement s’enflamme et crée une spectaculaire explosion. Mais tant que le sodium ne touche pas à l’eau, il est inerte et sans danger. C’est donc le sodium qui est réactif, pas l’eau, alors qui fut le sodium dans ce couple dont l’autre était l’eau ? Karla ou Paul ? Qui incarnait le mal qui contamina l’autre ?

Nous savons tous ou alors je vous l’apprends, que cette saga judiciaire s’est terminée par un emprisonnement à vie, sans aucune libération possible pour Bernardo. Pour en arriver à cela, il fallut un arrangement né des avocasseries les plus sournoises afin d’éviter l’emprisonnement à vie de Karla en échange de son témoignage. Pour la Justice, le gros poisson c’était Bernardo. Pour Stephen Williams l’affaire n’est pas jugée et je partage son avis. Williams croit que toute cette histoire d’une entente du Procureur avec Karla pour coller les meurtres sur le dos de Bernardo, a fait en sorte de nous faire oublier la responsabilité de sa compagne. Après sa complicité dans plusieurs meurtres avec son ex-mari, Karla Homolka est libérée en 2005 après douze ans de prison, une peine réduite, en échange de son témoignage impliquant Bernardo qui sera condamné à la prison à perpétuité. Je me suis souvent demandé si Karla Homolka qu’on décrit comme différente de lui, n’aurait pas dû subir le même sort ! Comme une intuition qui ne cesse de me dire a-t-on libéré un monstre pour en capturer un autre ? J’ai encore en mémoire ce questionnement que je soumettais à mes auditeurs à l’époque, avec un humour laissant planer le doute qu’en enfermant Godzilla, on venait d’échapper Godzella.

Williams, quant à lui, ne peut s’empêcher de constater qu’il n’y a jamais eu de meurtres dans les secteurs où demeurait Bernardo AVANT sa rencontre avec Karla. Il écrit :

Paul parlait régulièrement à Karla des jeunes vierges qu’il aimerait violer et Karla l’encourageait à vivre ses fantasmes. Depuis le tout début de leur relation, jusqu’au moment de leur arrestation, Karla fut l’ange maudit qui inspira Paul Bernardo à violer au moins dix-neuf femmes, toutes des inconnues.

Karla a été façonnée par des hommes de pouvoir qui comprenaient très bien la dynamique de l’explication et de la justification. (…) Ils ont ainsi occulté la vérité essentielle de sa culpabilité face aux actes qu’elle avait commis. (…) Elle est autant sinon plus responsable que son partenaire des crimes qu’ils ont commis ensemble. C’est uniquement à partir du moment où Karla a emménagé avec Bernardo que les meurtres ont commencé (…) Il n’y a aucune excuse pour les actes barbares qu’elle a commis.

L’eau et le sodium. Tant que ces deux-là sont séparés, tout va !

Délires en parties doubles

Tout a commencé au milieu du 19e siècle quand un médecin tente de soigner deux sœurs âgées de 36 et 38 ans de l’asile Dagron qui sont faussement persuadées d’avoir été violées par leur père et d’autres hommes à leur insu. On découvre rapidement que les lubies de l’une sont devenues contagieuses en somme. À la Salpêtrière, le docteur Moreau de Tours traite deux cas similaires, puis un de ses collègues, le docteur Baillarger, du collège de Charenton l’informe que ce délire en parties doubles est bien connu et en 1865 effectue une nouvelle observation, celle de deux sœurs souffrant d’hallucinations auditives, chacune persuadée d’être douée de télépathie grâce à un télégraphe implanté dans le cerveau. En 1868, Maret, interne de l’asile de Saint-Yon, consacre un chapitre d’une thèse novatrice sur les délires en partie double et les rapportent à la vie commune adoptée par les patients.[9]

Ces termes évolueront au fil des décennies pour devenir en 1955, la loi de l’induction du délire[10] et finalement à notre époque, est devenu dans le DSM le trouble psychotique partagé, et dans le CIM, classification de l’OMS, le trouble délirant induit. Le tout est alors diagnostiqué lorsque deux individus vivant à proximité sont socialement ou physiquement isolés et ont peu d’interaction avec les gens du monde extérieur. Ces critères correspondent absolument avec le couple Homolka-Bernardo. La manière dont une personne adopte entièrement ou en partie les idées délirantes d’une autre, s’effectue un peu comme si la folie de l’un devenait virale et contagieuse. Homolka-Bernardo vivaient possiblement dans une réalité, fruit d’un délire, articulé autour du sexe, une activité dominante et toujours présente si on se base sur les écrits de Stephen Williams. Mais qui donc était l’influenceur ? Le sodium réactif ? Elle ou lui ? Homolka, de ses propres dires, reconnaît que Bernardo était à tous les niveaux la quintessence de ses attentes pour un compagnon et futur mari. Veut-elle dire, moi sodium, enfin de l’eau dans laquelle me dissoudre ?

La folie peut être imposée ou simultanée. Imposée, l’idée délirante l’est par une personne dominante, qualifiée de primaire, à une ou plusieurs autres personnes, qualifiées de secondaires. Le sujet secondaire n’entre dans le délire du sujet primaire que par ce qu’il est laissé à lui-même. Le traitement de la personne primaire seule suffit souvent à faire disparaître les idées délirantes chez la personne secondaire.

Dans le cas d’une folie simultanée, les deux personnes souffrent d’idées délirantes de manière indépendante avec influence réciproque des délires. Les idées délirantes deviennent identiques ou très proches. Dans certains cas, le délire est déclenché par la rencontre des deux sujets.[11]

Il est presque affolant de constater que Homolka-Bernardo correspondent à l’un ou l’autre des deux réalités. Ils étaient vraiment le Couple Maudit parfait comme très rarement la nature va en créer et il faut chercher avidement pour en trouver parce que s’ils existent, ils sont rares.[12] L’être humain est d’une incroyable fragilité à ce niveau, à se demander si la normalité est une exception. Les médicaments prescrits pour soulager les tensions nerveuses, les dépressions, les maux de l’âme, les détresses, les phases névrotiques et psychotiques, les maladies plus graves encore, depuis le simple trouble bipolaire au trouble appelé psychopathie et sociopathie, font en sorte que nous n’en sommes peut-être qu’aux portes de la conscience humaine et que nous n’avons exploré la psyché que sur une carte mal définie, sans même en avoir franchi le seuil et certes sans même en avoir sondé la profondeur. Le DSM de la Société américaine de psychiatrie inclut 400 différentes définitions des troubles mentaux, c’est énorme, et à cela, on peut ajouter d’autres troubles dits neurologiques. L’être humain est une bombe ambulante dès sa naissance !

La grande question sera toujours, pourquoi lui (Léo-Paul Dion), mais pas son frère Roland ? Pourquoi Karla et non pas son autre sœur Lori toujours vivante, pourquoi ? Le célèbre étrangleur de Boston, Albert de Salvo avait plusieurs frères et sœurs qui ne firent aucun mal à personne de toute leur vie. Les proches de Bundy n’ont jamais eu d’ennuis judiciaires, pas plus que les sept frères du Texan Richard Ramirez, le terrifiant Night Stalker. La configuration du cerveau, les traumatismes subis par l’environnement familial et de la rue suffisent-ils à démarquer un honnête homme qui rentre chez lui, innocent et blanc comme neige, de son frère devenu tueur en série ? La prochaine étape à franchir sera la dernière dans notre quête d’une réponse sur le mal… classique, après quoi nous aborderons le Mal !

Prochain article (10). Le plus grand « Saigneur » de tous les temps.


[1] Wikipédia

[2] En relisant ce texte Hélène, ma conjointe, a posé une question judicieuse : Comment cette femme va-t-elle ou a-t-elle expliqué à ses enfants qu’elle a offert sa propre sœur en pâture à un tueur. En effet, c’est très révélateur.

[3] Je suis le plus grand fils de pute sans cœur que tu as jamais rencontré. Bundy à son avocate Polly Nelson qui le dira elle-même : il était l’incarnation du Diable. The Lady Killer. Michaud et Aynesworth 1999. Bundy a massacré 36 femmes et sans doute beaucoup plus.

[4] C’est un point crucial. Tous les tueurs psychopathes, à différencier des tueurs psychotiques, ont un passé de violence familiale, scolaire, physique ou psychologique ou autre, incluant Ted Bundy, John Gacy, Shikatilo, etc.

[5] Auteur de Dark Dreams et The Evil that men do.

[6] Lorsque des otages finissent par accepter et parfois même apprécier leurs tortionnaires.

[7] Stephen Williams. Karla le pacte avec le diable. Éditions au Carré. 2005.

[8] Le père d’Homolka semble avoir connu d’énormes difficultés comme immigré au Canada comme plusieurs autres en cette époque. Né à Stokov en 1943, il émigre en 1950, se retrouve dans une plantation de tabac très jeune, ne parvient pas à terminer sa sixième année et vit dans la pauvreté, dans une roulotte à Mississauga en Ontario.

[9] J Dagron. Deux sœurs atteintes du même délire et séquestrées en même temps. Archives cliniques des maladies mentales et nerveuses. Paris. 1861. ET J.J. Moreau de Tours. La psychologie morbide dans ses rapports avec la philosophie de l’histoire. V. Masson Paris. 1859. ET J. Baillarger. Quelques exemples de folie communiquée. Gazette des Hôpitaux civils et Militaires. Paris. 1860. ET L.R. Maret. Du délire des persécutions, A. Parent. Paris. 1868-1871 ET Berrios G E (1998) Folie à deux. W W Ireland. History of Psychiatry.

[10] J. Delay, P. Deniker, P. Pichot, T. Lemperière, R. Sadoun. Délire à deux et à plusieurs : Étude clinique de 22 familles délirantes. Masson, Nice, 1955.

[11] Dewhurst, Kenneth; Todd, John. The psychosis of association: Folie à deux. », Journal of Nervous and Mental Disease. vol. 124.‎ 1956.

[12] Fred et Rosemary West, Charles Starkweather et Caril Ann Fugate, Charlene et Gerald Gallego, Raymond Fernandez et Martha Beck, Ian Brady et Myra Hindley, sans oublier Bonnie Parker et Clyde Barrow.

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Esprit d’abord, humain ensuite

Jean Casault développe ici sa propre philosophie en titrant ce livre par sa devise personnelle qui lui fut révélée en plein Vol de Nuit. Il répond ainsi à toutes les questions existentielles qui puissent exister. D’où viens-je ? Qui suis-je ? Où vais-je ? Tout y est, dans une simplicité tout aussi divine que désarmante.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



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1 réponse

  1. Un peu de difficulté à comprendre mais je crois que dans chaque personne on détient en chacun de nous un côté sombre et un côté de lumière dans notre cerveau est toujours à l’afflux de penser qui peut devenir des fantasme par rapport à la personne devant nos

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