SEUL LE FANTASTIQUE A DES CHANCES D’ÊTRE VRAI (Teilhard de Chardin)

Puisqu’avec ce site et mes ouvrages nous entrebâillons une porte par laquelle le fantastique s’est glissé, nous avons maintenant le choix de le mettre de côté parce qu’il est trop gênant ou de nous demander si Teilhard de Chardin n’avait pas un peu raison lorsqu’il disait que seul le fantastique a des chances d’être vrai.

Teilhard de Chardin – Archives des Jésuites de France

Si nous admettons que nous ne sommes pas les seules créatures intelligentes dans l’univers – et cela ne devrait tout de même pas demander un trop gros effort – il n’en demeure pas moins que cette réalité ne change rien au problème du déplacement. Les opposants à l’ufologie adorent citer Einstein et affirmer que rien ne peut dépasser ni même atteindre la vitesse de la lumière. Ce faisant, ils estiment que les distances étant époustouflantes – et elles le sont – tout voyage intergalactique ou même interstellaire est inconcevable. Très bien, dans ce cas, fermons les livres ou alors faisons un effort de plus et voyons où en est vraiment rendue la communauté scientifique d’avant-garde, c’est-à-dire celle des astrophysiciens et des spécialistes de la cosmologie quantique. Dans cette section de ce site, je vous recommanderai alors de lire, si ce n’est déjà fait, l’article portant sur le Dr Peter A. Sturrock.

Les premiers illustrés de la science-fiction nous parlent des voyages extraordinaires de cosmonautes merveilleux, tel Buck Rogers, qui sillonnent l’espace en quête d’aventures, sans même parler de Superman, cet extraterrestre de la planète Krypton. Nous avons découvert par la télévision les voyages et les découvertes de Gene Roddenberry dans sa fabuleuse série Star Trek dont les rejetons se sont multipliés avec Next Generation, Deep Space Nine, Voyager, The Sliders et Seaquest. Parallèlement dans mon temps, d’autres séries télévisées ont fait rêver des millions de fans : The Twilight Zone, Outer Limits et bien sûr la trépidante série X Files. Toutes ces émissions sont de la pure fiction née de l’imagination d’écrivains talentueux. Chris Carter n’est qu’une réplique de Rod Sterling et Roddenberry n’est pas sans rappeler Bradbury et ses Chroniques martiennes.

De la fiction pure ?

Ces auteurs n’ont-ils qu’une débordante imagination ou ont-ils simplement adapté pour le plaisir et la détente des connaissances scientifiques ? Isaac Azimov, Carl Sagan, Arthur C. Clarke et Michio Kaku ont déjà répondu à cette question : la science-fiction est une extension de la science actuelle sans limites, atteignant des secteurs possibles, voire probables, de la réalité de demain. Voilà pourquoi en littérature on utilise parfois l’expression récit d’anticipation plutôt que de fiction, Jules Verne en étant presque le fondateur du genre. En d’autres termes, ces histoires sont une adaptation possible de la réalité. Par exemple, dans la série Star Trek Next Generation, un épisode particulier fait état de l’intervention de l’Enterprise pour résoudre un conflit entre une planète et les représentants de plusieurs autres races concernant l’utilisation commerciale d’un wormhole situé dans leur secteur. Cet épisode est l’adaptation d’une thèse très en vogue dans les hautes sphères de la physique et des mathématiques. Des hommes de science, aussi brillants et fascinants que Stephen Hawking, ont été à l’origine de cette thèse.

Il est donc sournois de la part des milieux sceptiques de taxer l’ufologie de science-fiction sous prétexte que nous utilisons à l’occasion des arguments qui ne sont pas sans rappeler les épisodes de Star Trek ou de X-Files. C’est tout à fait naturel puisque ces émissions utilisent des études ou des dossiers parfaitement réels, mais non connus du public et les popularisent instantanément. Personnellement, je n’ai pas été surpris de cet épisode sur les wormholes. Lorsque j’ai mentionné à un ami que ces phénomènes pouvaient avoir une existence, je me basais sur les travaux du docteur Michio Kaku et non sur l’émission de télévision. Pour lui, je n’étais qu’un rêveur qui ne fait pas la différence entre la fiction et la réalité. Son ignorance et son mépris sont malheureusement plus répandus qu’on ne le croit.

Les scientifiques reviennent souvent sur l’impossibilité par des extraterrestres de surmonter les distances faramineuses qui existent entre les corps célestes. Il est incroyable de constater comment l’ego scientifique peut arriver à faire dire des âneries à des gens pourtant très intelligents. Quand quelqu’un vous dit que rien n’existe que lui n’a pas découvert, on a un ÉNORME ego devant soi. S’il est vrai que notre constat présent et actuel est que rien ne peut dépasser la vitesse de la lumière, il s’agit là d’une affirmation qui pourrait très bien changer dans 5 ou 10 ou 50 ans.

Une théorie d’Einstein

Albert Einstein est l’homme de science le plus connu des non-initiés sur cette planète. Sa célèbre formule et sa théorie sur la relativité, bien que souvent mal citées, sont les plus connues. Il suffit pour un scientifique de dire : « Selon Einstein… » pour que les personnes peu informées s’inclinent devant la conclusion qu’il en sera tiré. Par exemple, c’est Einstein qui a démontré cette histoire à l’effet qu’aucun objet ne pouvait atteindre la vitesse de la lumière (env. 300,000km/s). On ne peut dépasser la vitesse de la lumière parce que plus l’objet s’approche de cette vitesse, plus sa masse devient infinie et moins une énergie supplémentaire n’a d’emprise sur lui pour le faire aller plus vite. Cette loi est universelle : elle s’applique aux Terriens comme à tout ce qui vit et existe dans l’univers. Quel univers ? Le nôtre. Quoi ? Pourquoi dire le nôtre ? Est-ce qu’il en existe d’autres?

Multiples univers

Le Dr Michio Kaku, un de nos grands vulgarisateurs que malheureusement on n’entend presque plus, rapporte dans son ouvrage que la théorie des champs unifiés exprime les lois de la physique en utilisant un nombre plus élevé (10) de dimensions au lieu de seulement trois dimensions d’espace et une de temps où ces lois deviennent simples, unifiées, élégantes comme les pièces d’un puzzle parfait. Il ajoute que des milliers de documents ont été publiés jusqu’à ce jour, et ce depuis les années 20, par Kaluza et Klein et par le défunt Stephen Hawking.

La théorie du Tout n’a pas été vérifiée, mais elle permet d’accomplir le miracle tant attendu : réunifier les connaissances physiques au niveau le plus fondamental. Pour mieux comprendre, il faut savoir qu’une nouvelle science est née. Nous sommes à la recherche de ce qui serait les manifestations de cette théorie, soit l’existence d’univers parallèles, des trous de ver et de dix dimensions. Ces deux théories, celle d’Einstein et la théorie quantique sont contradictoires et sont combinées pour donner la cosmologie quantique : le sujet le plus chaud dans les laboratoires de physique. Plusieurs éléments peuvent être accordés et, de l’avis des physiciens, elles ont cohabité avant le BIG BANG.

Ce qui suit est une théorie. Or, la loi de la relativité est également une théorie, c’est d’ailleurs son nom d’origine : la théorie de la Relativité d’Einstein. La question ici est de savoir en tout premier lieu ce qu’est cette théorie dans les aspects qui nous intéressent.

Sur la question de la gravité, selon Einstein, l’espace-temps peut être vu comme un tissu qui est tendu et distordu par la présence de la matière. Le champ gravitationnel d’un trou noir peut être vu comme un tunnel avec, en son centre, une étoile morte par implosion. Ce tunnel entrerait en contact avec un univers parallèle par l’intermédiaire d’un wormhole qui, traduit littéralement, signifie trou de ver. Toutefois, selon Einstein, tout objet qui oserait entreprendre un voyage dans le col d’un trou noir appelé le Einstein Rosen Bridge serait réduit en particules élémentaires et probablement en énergie. C’est d’ailleurs ce qu’affirme aussi Stephen Hawking.[1]

Et voilà que depuis des dizaines d’années, les recherches tendent à compléter le raisonnement d’Einstein. En fait, nous pourrions appliquer ici une citation de Niels Bohr sur une théorie de Wolfgang Pauli : « Nous sommes tous d’accord à dire que votre idée est folle. Ce qui nous divise c’est de savoir si elle est suffisamment folle ! » Or depuis, la théorie de Pauli sur l’électron a été confirmée.

Pour confirmer cette thèse qui porte maintenant le nom de Théorie du Tout, il faudrait construire un appareil capable de reproduire en partie ce qui s’est produit lors de la Création ou du Big Bang. Il existe : c’est le Large Hadron Collider en Suisse, mais ce genre d’expérience n’a pas encore été tenté.

Deux physiciens, Kip Thorne[2] et Roy Kerr, affirment avoir perfectionné de nouvelles solutions au problème du col du trou noir. À leur avis, un trou de ver permettrait de passer d’un temps à un autre (voyage dans le temps). Ce ne serait plus qu’une question de technologie pour y parvenir. Ils ont même ajouté que cette technologie n’est pas de notre ressort et que rien n’empêche d’imaginer qu’une civilisation beaucoup plus avancée en tire profit régulièrement. Ils auraient élaboré les équations mathématiques décrivant comment un vaisseau lancé dans un trou noir pourrait ressortir de l’autre côté et se retrouver lui-même avant qu’il n’y soit entré… Steven Hawking est très incertain à propos de ces calculs, particulièrement en raison de la présence de champs radioactifs extrêmement intenses dans ces trous de ver. Toutefois, Edward Witten de l’Institute for Advanced Study affirme que la découverte de ces nouvelles théories a été accidentelle et que les mathématiques actuelles ne sont pas assez avancées pour y faire face. En d’autres termes, il prétend que le 21e siècle sera le siècle de la Théorie du Tout, mais qu’il faudra d’abord mettre au point des mathématiques du 21e siècle, plus sophistiquées dès qu’on en aura fini avec la COVID !

Trous de ver

En termes simples, si les trous noirs existent et si les trous de ver existent, les mathématiques modernes décrivent comment ils peuvent être reliés entre eux. La possibilité de les utiliser comme moyen de transport interstellaire est loin d’être exclue. Si, comme je l’ai exprimé en début d’article, les trous de ver relèvent de la science-fiction, c’est que les auteurs de science-fiction ont spéculé sur la nature de ces trous de ver, possiblement bien réels, afin de les inclure dans des scénarios de Star Trek, Deep Space Nine, Star Gate et la série The Sliders. N’allez pas confondre leur source d’inspiration, des études bien détaillées sur les trous de ver existent.

Dans un article publié dans le journal Physical Review, John G. Cramer, Gregory Benford, Geoffrey A. Landis, Matt Visser et Michael Morris parlent des trous de ver entre autres, comme étant de possibles métros vers les étoiles. Landis, scientifique du Lewis Research Center de Cleveland a écrit : « Un trou de ver est un objet théorique permis par la théorie de relativité générale d’Einstein où des régions de l’espace sont branchées ensemble par un raccourci. Ces trous de ver ont pu être créés dans un passé distant tout juste après le Big Bang. »

Tout un chacun spécule sur l’existence, la nature et l’origine de ces trous de ver. Il faudrait plusieurs dizaines de pages pour résumer l’ensemble des théories, mais le plus important ici est de rappeler au lecteur que l’existence des univers parallèles n’est qu’une thèse. Dans ce domaine tout est spéculation et aucune loi de la physique n’a démontré l’impossibilité de la Théorie du Tout. Bref, plus personne ne peut affirmer que l’Univers se résume à celui démontré par la science einsteinienne. L’humanité serait sans doute fort agréablement surprise de connaître les réflexions du grand homme s’il était toujours vivant. Si on cite la théorie d’Einstein telle qu’admise par des scientifiques conservateurs, on doit admettre que d’autres grands esprits scientifiques citent la même théorie en ayant assez d’audace pour proposer une autre réalité que celle connue et mesurée jusqu’à nos jours.

Controverse

Il est très clair à nos yeux qu’une controverse existe au sujet de ces trous de ver. Si cette controverse existe, cela peut vouloir dire que plus rien n’est une certitude absolue comme on essaie souvent de le faire croire à la population. Certains hommes de science agissent comme le Vatican qui continue de proclamer la sainteté des Évangiles, mais se perd en conjectures et s’éclabousse par les conséquences de certains écrits provenant de la Mer Morte. Un débat qui fait mal à l’Église, mais qui n’est certes pas rapporté dans les sermons fades des curés de paroisse. Il va de soi que seules les revues scientifiques très spécialisées traitent de ce sujet et cet article n’a pas cette prétention, mais je trouve déplorable que certains vulgarisateurs scientifiques n’aient pas la décence d’exprimer l’ensemble des recherches en cours et qui jettent un trouble évident sur l’étang jusque-là très calme de la certitude scientifique. Cela signifie que tout débat public sur l’impossibilité de voyages interstellaires en utilisant l’argument classique de la vitesse de la lumière devra inclure également l’argumentation que fournit la Théorie du Tout.

Ian Crawford

Comme si tout cela ne suffisait pas, Ian Crawford, chercheur senior de la Royal Astronomical Society a publié un document intitulé Some Thoughts On The Implications of Faster-Than-Light-Travel. Selon Crawford, la physique moderne permet d’affronter sur deux fronts la théorie d’Einstein voulant que les corps aient une masse qui tend vers l’infini à mesure que sa vitesse se rapproche de celle de la lumière et qu’aucune énergie ne peut leur permettre d’aller plus vite. Dans un premier temps, il cite à son tour la question des trous de ver, sorte de déchirure dans l’espace causée par les champs gravitationnels intenses engendrés autour des trous noirs. Reconnaissant comme Hawking que ces trous noirs sont instables, donc inutilisables, Crawford estime qu’ils pourraient peut-être être stabilisés et manipulés afin d’en faire des raccourcis entre deux points dans l’espace. Il ajoute que la démonstration est complexe, mais que de plus en plus d’astrophysiciens sont satisfaits de cette théorie.

L’ufologie n’est pas de la fiction et, à plus d’une reprise, des membres célèbres de cette communauté dont Allen Hynek et Jacques Vallée ont rapporté la possibilité maintenant plausible que ces visiteurs proviennent d’un univers parallèle, voire même du futur comme certains channelers le proposent (Lyssa Royal). L’énigme des visiteurs se rapproche de jour en jour de l’énigme scientifique.

Ésotérisme et spiritualité

Bien avant que la polémique s’anime entre les scientifiques, bien avant que la science-fiction s’inspire de ces questions, l’ésotérisme le plus traditionnel traitait de ces questions. Une étude exhaustive des textes sacrés confirme en effet que, de tout temps, il a été question de ces dimensions supérieures où les phénomènes de la physique ne sont plus les mêmes. Qu’il soit question des écrits théosophiques de Steiner ou du Septénaire de Blavatsky (cf. Les Divergents) ces écrits pointent dans la direction d’une réalité qu’explorent actuellement avec fascination tous ces hommes de science. Les grandes religions ont également en commun ce lieu mystérieux où les âmes se retrouvent après la mort : le Nirvana, le Ciel et les témoignages des NDE (near-death-experiences) utilisent un langage qui décrit mystérieusement certaines propriétés de ces univers parallèles. Lauréat d’un prix Nobel, Steven Weinberg admet l’idée des univers parallèles, mais considère que la vie telle que nous la connaissons n’a pu s’y développer.

Il ne s’attend donc pas à retrouver des cités et des boulevards dans ces univers étranges. Comme pour lui donner raison : « Tout est lumière, tout est énergie » disent les rescapés de la NDE. Weinberg[3] dit à son tour : « Ces univers sont sans doute une mer infinie de photons (particules de lumière) de neutrinos et d’électrons (énergie). Chacun son vocabulaire !

Dans un autre domaine, le satellite COBE aurait détecté des vagues inusitées dans le champ de radiation micro-ondes. Pour les experts, il s’agit d’une indication précise de l’existence de fluctuations anormales pouvant démontrer qu’elles ont existé à une très grande échelle avant le Big Bang et dont quelques fractions de seconde après la Naissance de l’Univers. En termes enfantins, s’il y a un filet d’eau très mince qui s’échappe sous la porte de la salle de bains, il y a fort à parier qu’en ouvrant la porte ce soit l’inondation !

Les univers jumeaux et l’aérodyne MHD, une analyse des travaux de Jean-Pierre Petit

Jean-Pierre Petit demeure encore le scientifique le plus contesté des milieux ufologiques. À l’époque, directeur de recherche au prestigieux CNRS (Centre national de recherche scientifique) de France, il est également l’auteur d’ouvrages portant sur les Ummites, appa­remment le fruit d’une désinformation d’origine soviétique, ainsi que sur les univers jumeaux et l’aérodyne MHD (magnétohydrodynamique).

Dans son livre, Enquête sur des extraterrestres,publié chez Albin Michel, le scientifique explique que selon le mode de déplacement dans l’atmosphère terrestre ou interstellaire, les vaisseaux extraterrestres modifient l’environnement au lieu de le confronter simplement comme nous le faisons avec nos propres engins. Ainsi, lorsque le vaisseau spatial se déplace sur Terre, il ionise fortement l’air environnant grâce à des tapis d’ionisateurs pariétaux distribués sur toute la surface de la nef, rendant l’air conducteur d’électricité et teinté d’une couleur orange. Cette couleur est typique d’ailleurs des observations d’ovnis, notamment comme ce fut le cas en mars 1997, à Aylmer, alors qu’une douzaine de témoins ont observé une formation en patrouille de ces objets lumineux orangés. Succinctement, l’effet produit par l’ensemble des dispositions énoncées par l’homme de science permettrait au véhicule de se déplacer dans un silence absolu, sans frottement d’air et à des vitesses pouvant atteindre Mach 12. Ce que Jean-Pierre Petit aura démontré, c’est que par la théorie, il est possible de concevoir de tels engins. Il cite également les travaux du physicien belge Auguste Meessen et surtout de son collègue, Maurice Triton, sous le titre, Convertisseurs magnétohydrodynamiques d’un genre nouveau : appareils à induction, devant l’Académie des sciences de Paris. Les propos de Petit sont très troublants puisqu’ils démontrent que ce mode de propulsion est non seulement possible, mais réalisable dans un proche avenir. Cela sous-entend qu’à la limite, d’autres civilisations extérieures ont sans aucun doute découvert ce principe depuis déjà des millénaires !

Jean-Pierre Petit rejoint les théories des physiciens Friedman, Milne, MacCrea et bien sûr, Andrei Sakharov en abordant dans Le Géométricon, publié aux Éditions Bélin, la théorie des univers jumeaux qui permettraient au vaisseau de changer de feuillet espace-temps. N’avons-nous pas dit que la plus troublante question est : À quoi bon tant d’univers incommensurables s’il est virtuellement impossible de les parcourir ?

Conclusion

Personne ne peut affirmer que notre univers physique soit le seul. Tout semble converger vers la découverte d’une démonstration qui prouvera une thèse vieille de 50 ans. Cette théorie veut que d’autres univers existent, d’autres dimensions existent. Sur ces univers, il nous est impossible de prétendre avec certitude que la vie existe ou pas et sous quelle forme.

Ces fameux trous de ver sont possiblement une réponse fabuleuse, mais qui nous dit que ce sont là les plus incroyables merveilles de l’univers ? Nous sommes des enfants qui s’amusons avec nos jouets dans un carré de sable. Nous ne savons RIEN de ce qui se passe et sur ce qui existe ailleurs. RIEN.


[1] Analyse du Dr Michio Kaku, professeur de physique théorique, auteur de Hyperspace : A Scientific Odyssey Through Parallel Universes, Time Warps and the 10th Dimension. Anchor Doubleday. 1994. ET What Happened Before the Big Bang ? Dr Michio Kaku. Astronomy May 1996.

[2] Black Holes and Times Warps : Einstein’s Outrageous Legacy. Kip S. Thorne. WW. Norton & Company. 1995.

[3] Dreams of a Final Theory: The Scientist’s Search for the Ultimate Laws of Nature. Steven Weinberg. First Vintage Books. 1994.

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Il était une fois des humains… et des extraterrestres

Depuis l’anneau d’ambre lumineux, cette mystérieuse initiation survenue chez moi en décembre 1966, je révèle sans aucune retenue les arcanes de l’ufologie et de la métaphysique au grand public. Après 50 ans, je présente enfin ce que réclament tous mes lecteurs depuis longtemps : l’histoire commune des terriens et des extraterrestres.

Je tire mes sources de mes propres expériences, de mes travaux auprès d’autres expérienceurs privilégiés et de gens dotés de capacités métaphysiques. Il était une fois des humains et des extraterrestres. Nous nous sommes connus il y a près d’un million d’années, nous avons grandi, prospéré ensemble, puis, un jour tout a changé. C’est une relation complexe dont voici tous les tenants et aboutissants, les où, les quand, les comment et surtout les pourquoi! Retenez bien ceci : tout a déjà été dit, il n’y a jamais eu de secretsque de l’ignorance et surtout de l’indifférence.

Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



Catégories :Ufologie profonde

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2 réponses

  1. Je crois qu’il y a beaucoup de choses qu’ont ne connaît pas encore de l’univers, mais ont avance et je crois aussi qu’il y a des passages sur nôtre propre planète à nous toutes l’énergie quelle est entouré et avec d’autres formes de vie en parallèle et d’ailleurs tout est possible merci pour cette lecture pour moi il y a beaucoup plus

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  2. Excellent article.

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