Whitley Strieber, un expérienceur très particulier

Pour cet écrivain, tout a commencé en 1985, mais en réalité pour lui aussi tout a commencé dès l’enfance. Strieber est un des très rares enlevés à avoir écrit son propre récit. Trois ouvrages entiers. Cela peut paraître suspect, mais en tant qu’écrivain moi-même, que pensez-vous que je fais de mes expériences ? Des livres ! Un écrivain, c’est fait pour écrire. Cela dit, son expérience est extrêmement complexe ainsi que ses rapports avec les êtres concernés. Je reproduis ici l’introduction de son premier livre Communion.

« Voici l’histoire de la tentative d’un homme désireux de faire face à une écrasante attaque de l’inconnu. Il s’agit d’une histoire vraie, aussi vraie qu’il m’est permis de la raconter.

De toute évidence, j’ai connu un rapport personnel complexe avec des êtres extrahumains intelligents[1]… Tout d’abord, j’ai cru que je perdais l’esprit. Trois psychologues et trois psychiatres m’ont interrogé, j’ai subi une batterie de tests psychologiques et un examen neurologique et l’on m’a jugé, à tous égards, à peu près normal. Je suis également passé au détecteur de mensonges, opéré par un spécialiste comptant trente ans de pratique, et l’on n’a pas mis en doute la véracité de mes dires. Tout ce que l’on racontait sur les ovnis et les extraterrestres m’avait jusque-là, laissé indifférent.

Les visiteurs débarquèrent au beau milieu d’une vie de scepticisme et d’indifférence, sans l’ombre d’une hésitation. Dans mon cas, il y eu des témoins et l’on peut difficilement ignorer les séquelles physiques consécutives à ces rencontres… Je sais ce que l’on ressent à se trouver en présence de ces visiteurs. Je sais ce que l’on entend quand ils parlent, je connais l’aspect et l’odeur des lieux où ils se trouvent et comment ils apparaissent. Ce qui m’est arrivé fut terrifiant. Et apparemment tout à fait réel. Bref, cela ressemblait fort à un souvenir normal. Tout cela se trouvait déjà en grande partie présent dans mon esprit avant que je subisse l’hypnose pour simuler ma mémoire. On a beaucoup raillé les personnes enlevées par les visiteurs. On a prétendu, à tort, que leur souvenir n’était qu’un effet secondaire de l’hypnose. C’est faux. Chez la plupart, les souvenirs précèdent l’hypnose par laquelle on tente de faire ressurgir davantage de matériel ou un souvenir plus précis. Il est aussi peu charitable de les railler que de se moquer des victimes de viol. Nous ignorons ce qui arrive à ces gens mais, quoi qu’ils subissent, cela provoque chez eux une réaction comparable à un violent traumatisme. Et la société se détourne, excitée par les vociférations des professionnels du discrédit qui ont, semble-t-il, l’esprit obstrué par des frayeurs secrètes…

Ceux qui ont vu les visiteurs parlent de farouches petits personnages dont les yeux semblent scruter l’âme au plus profond de son essence. Et ces yeux cherchent quelque chose. Peut-être même l’exigent-ils. Quoi que ce soit, il s’agit bien plus qu’un simple renseignement. Ils ne semblent pas intéressés par un échange clair et ouvert auquel on pourrait s’attendre. Il m’apparaît que cette chose recherche la profondeur de l’âme ; elle recherche la communion. »

Ce thème de la communion d’esprit entre les expérienceurs et leurs ravisseurs n’est pas unique à l’affaire Strieber. Plus le récit de l’expérience vécue prend de la profondeur, plus il devient porteur de messages étonnants. En d’autres termes, celui ou celle qui s’en tient aux manipulations corporelles, à la terreur ressentie, à une description affolante de créatures quasi monstrueuses, pourrait très bien ne relater que la partie traumatisante de son expérience, donnant au chercheur, qui n’explore pas davantage les sentiers obscurs qui demeurent occultés, l’impression d’une finalité qui n’est certes pas rassurante. Il est évident qu’au-delà de ce tourbillon de sensations vives et terrifiantes, se cache une tout autre réalité, profonde, riche et cette fois, largement plus positive. Strieber a vécu des épisodes à ce point terrifiant (il subira lui aussi les mêmes opérations de type chirurgicales) qu’il est surprenant de le voir accoler ce titre à son livre, Communion, évoquant davantage un aspect très favorable. C’est que Strieber a exploré jusqu’à l’extrême limite les tenants et les aboutissants de la globalité de ses expériences.

Sur le site ufologique Karmapolis qui ne semble plus exister, on peut tenter de retrouver une entrevue réalisée avec Whitley Strieber il y a de nombreuses années. Heureusement, je l’ai conservée et je peux vous la présenter intégralement. Certaines de ses réponses dénotent un grand questionnement qu’il assume quant à l’origine et l’essence même des visiteurs. D’ailleurs à ce propos, on fait ressortir une division très intéressante dans l’approche qu’ont les différents spécialistes des enlèvements sur la nature de ces êtres.

David Jacobs

Il existe à peu près quatre grandes appellations concernant ces créatures. D’abord il y a les envahisseurs (invaders) tel que définis notamment par le plus ardent défenseur de cette dernière, David Jacobs. Je ne partage pas son point de vue, mais le voici.

Selon Jacobs, les extraterrestres sont ici pour peaufiner leur programme d’hybridation excessive dans le but éventuel de prendre notre place. Il explique qu’à partir de la fertilisation d’une humaine par une semence extraterrestre, on produit un premier hybride et que successivement, d’une opération à l’autre entre hybrides et entre hybrides et humains, ils parviennent à créer un hybride en tout point semblable aux humains, mais doté des capacités de contrôle psychique des envahisseurs. Jacobs considère donc les enlèvements comme le signe précurseur d’une éventuelle invasion plus ou moins menaçante. C’est la théorie de Jacobs ainsi que celle, plus bas de Helmut Lammer qui pourraient être à l’origine des scénarios de la célèbre série américaine X-files. Une variante de cette approche veut que le même scénario s’applique, mais une fois que l’humanité aura disparue par sa propre faute.

Puis, il existe la seconde catégorie, dite des intrus (intruders) de Budd Hopkins. Je ne suis pas très fan non plus. Hopkins était sans conteste le premier communicateur dans ce domaine. Artiste-peintre de New York, ce qui lui vaudra d’ailleurs des propos très caustiques de la part des dénigreurs, il bénéficie malgré eux, d’une crédibilité très estimée auprès de tous ses collègues, dont particulièrement le Docteur John E. Mack. Pour Hopkins, les extraterrestres ne sont pas des envahisseurs, mais plutôt des intrus, à la limite des cambrioleurs, mais qui n’ont pas l’intention de prendre possession de la maison. Ils viennent, prennent ce qu’ils cherchent et repartent. Cela sous-entend qu’ils sont indifférents face à notre sort. Cela a le mérite d’expliquer le pourquoi de leur très grande discrétion.

La troisième catégorie, les Milabs (military laboratories) laisse supposer que du personnel militaire de bases souterraines sert à effectuer des enlèvements avec l’aide des extraterrestres. Cette théorie n’est pas nouvelle et je la fuis comme la peste. Elle a été véhiculée par l’ancien pilote d’essai John Lear, médiatisée par de nombreux auteurs dont le plus célèbre ufologue français des années 50 et 60, Jimmy Guieu. Elle fait effectivement partie du récit de quelques enlevés qui affirment avoir été détenus à la fois par des militaires et des extraterrestres. Le docteur autrichien Helmut Lammer défend cette thèse avec vigueur. En fait, il défendait cette thèse en 1996. Une lettre datant de 2007 semble démontrer qu’il ne partage plus ce point de vue.

La quatrième catégorie est celle des visiteurs. C’est celle qui était soutenue par Mack, mais également par plusieurs autres spécialistes, dont Leo Sprinkle, Richard Boylan, et autres et je m’y insère avec un ajout. Ici, les extraterrestres poursuivent également un programme d’hybridation, mais dans le but d’assurer la survie de leur propre espèce et simultanément d’améliorer la nôtre. Une dimension spirituelle omniprésente joue également un rôle dans les rapports complexes entre expérienceurs et extraterrestres et j’abonde dans ce sens. Pour Strieber, ils ne sont ni anges ni démons, mais peut-être les deux à la fois. Comme nous après tout.

En ce qui me concerne, ces approches se veulent un écho de la pensée des chercheurs, soit ce qu’ils aimeraient voir comme scénario ou ce qu’ils craignent qu’il soit. Mack soutient également que d’après ses observations, il semble que sans trop savoir pourquoi, les expérienceurs choisissent leur praticien et plus l’ouverture démontrée par ce dernier sera large, plus cela permettra au sujet d’aller en profondeur dans son exploration de l’expérience vécue. Il n’y a rien là de très surprenant. Le même principe s’applique chez les gens qui vont préférer un spécialiste plutôt qu’un autre, surtout lorsqu’il est question de psychologues ou de psychiatres.

Interview de Karmapolis

Karmapolis : La plupart des chercheurs qui enquêtent sur le phénomène des enlèvements semblent s’accorder sur son origine extraterrestre. Depuis les années 80 qui marquent le début de vos relations avec les visiteurs, vous avez émis différentes hypothèses spéculatives pour expliquer votre expérience avec les Gris. Vingt ans plus tard, avez-vous un nouveau regard sur ce qui s’est passé la nuit du 26 décembre 1985 où vous avez pris conscience de votre condition d’enlevé ?

Whitley Strieber : Je ne pense pas que le langage ait suffisamment évolué pour décrire pourquoi nous voyons ce phénomène tel que nous le voyons. Même si en définitive, cela n’implique rien de plus ésotérique que des créatures qui ont évolué quelque part ailleurs dans l’univers, l’étendue du phénomène qui accompagne notre interaction avec eux reste inexpliquée. Pour trouver des réponses, la méthode scientifique pourrait être utile, mais cela reste à voir. Bien sûr, une étude adéquate d’un échantillon représentatif de témoins de rencontres rapprochées serait intéressante. Au-delà d’un examen médical approfondi, une telle étude pourrait englober la dimension physique et psychologique. Je doute que nous soyons actuellement capables de nous forger une représentation compréhensible de ce que sont réellement nos visiteurs, mais nous pouvons déterminer avec certitude et d’une manière objective, ce qui s’est passé physiquement et mentalement pour ceux qui affirment avoir été en relation avec eux.

Karmapolis : Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à parler publiquement de votre expérience et quel en a été le prix à payer ?

Whitley Strieber : Je pensais que toute cette histoire était très intéressante et importante, non parce que j’avais une quelconque certitude sur ce que c’était, mais parce que je savais ce que ce n’était pas. Ce n’était en rien un phénomène connu. Pour moi, c’est ce qui est important et rend l’étude ainsi que la recherche essentielle. Au lieu de ça, ici aux États-Unis, nous avons beaucoup d’intellectuels mal dans leur peau et qui ne veulent pas en entendre parler, parce qu’ils craignent l’idée d’une présence inconnue qui serait intellectuellement plus accomplie qu’eux. Les scientifiques n’ont pas osé y faire face, parce que L’Académie Nationale des Sciences a postulé que l’étude des OVNIS n’était pas compatible avec une démarche scientifique. Mais pourquoi ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que les OVNIS et les extraterrestres qui les accompagnent représentent un phénomène psychologique et social. Par conséquent, ils devraient être au moins étudiés sur la base de ces disciplines. Ce n’est pas le cas. Je crois que toute réponse scientifique pertinente est intentionnellement cachée. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai une hypothèse. À mon avis, quoi qu’ils soient, des extraterrestres ou peut-être quelque chose de tout à fait différent, ils contrôlent tous les évènements relatifs à leur présence parmi nous. Notre société les ignore parce qu’ils ont fait en sorte que cela soit ainsi. Quant à savoir pourquoi : D.B.H Kuiper et M. Morris ont développé une spéculation intéressante où ils suggéraient que ceux qui avaient la capacité de traverser les grandes distances séparant les étoiles, auraient accumulé tellement de connaissances que la seule chose de valeur que nous serions capables de leur offrir serait la nouveauté. Mais s’ils se montraient à nous, toute notre culture serait immédiatement absorbée par la leur et toute la nouveauté, l’originalité de la pensée humaine, disparaîtrait à l’instar de ce qui s’est produit dans le passé, quand les vigoureuses cultures occidentales sont matériellement entrées en contact avec nos sociétés primitives.[2] Si vous voulez comprendre pourquoi nos visiteurs se cachent, allez faire un tour chez les Samoa d’Amérique et observez la disparition de cette culture vidée de sa substance et qui n’intéresse plus personne. Les visiteurs se cachent dans leur intérêt et le nôtre. Ils ont besoin de la nouveauté que nous avons à leur offrir et ils ne peuvent pas l’obtenir s’ils se montrent au grand jour. Nous avons intérêt à ce qu’ils restent cachés, sinon nous courrons le risque d’une cruelle perte de pouvoir dont nous ne nous remettrions jamais.

Karmapolis : Selon certaines projections, plusieurs centaines de milliers jusqu’à un million de personnes seraient victimes d’enlèvements extraterrestres, rien qu’aux États-Unis. Vous-même avez reçu plus de 150,000 lettres relatant des rencontres avec des extraterrestres. L’ampleur du phénomène semble exclure l’hypothèse selon laquelle les enlèvements se résument à une étude extraterrestre du genre humain. Alors, que diable sont-ils venus faire ?

Whitley Strieber : J’ai reçu un demi-million de lettres. Ce qui est en train de se passer n’est certainement pas une sorte d’étude menée par des extraterrestres scientifiques. Je pense que c’est plutôt comme une profonde pénétration de l’espèce humaine. Sur un plan personnel, ça m’a affecté mentalement, physiquement et peut-être même plus profondément, spirituellement. Cela a complètement modifié ma conception du monde et transformé toutes mes convictions personnelles. Je ne suis pas certain que nous soyons proches de connaître la véritable histoire de la race humaine. Je ne pense pas que nous comprenons le fonctionnement du corps humain excepté sur un plan général qui n’a aucune pertinence. J’ai vu de mes propres yeux qu’il existe quelque chose comme une énergie consciente, mais je ne sais pas si cela signifie que l’être humain a une âme. J’ai remonté le temps dans les deux sens et voyagé dans d’autres lieux qui, d’une certaine façon, semblent occuper le même espace que le nôtre. En fait, j’ai décollé de la réalité et pour rester sain d’esprit, j’ai appris que la remise en question est essentielle. Tant que je ne fais qu’un avec cette interrogation, je peux aller où je veux et faire ce que je veux, qu’importe si cela semble impossible ou si ça ne correspond pas à mes attentes et à mes présupposés sur ce qu’est la réalité.

Karmapolis : Certains perçoivent les aliens comme des intrus, comme une menace pour l’homme. Vous préférez les voir comme des visiteurs, pourquoi ?

Whitley Strieber : Parce que je ne pense pas qu’il est temps de prendre une décision sur ce point. Le terme intrus implique que nous savons quelque chose sur leurs mobiles ; visiteurs veut simplement dire qu’ils sont ici. La nuit du 26 décembre 1985, j’ai été violé avec un électro stimulateur : un appareil généralement utilisé dans les élevages. Cet engin est introduit dans le rectum et provoque l’érection et l’éjaculation par une stimulation électrique de basse tension dans une zone proche de la prostate. Mon sperme a été prélevé. J’ai été gravement blessé et mon médecin a diagnostiqué un viol après m’avoir examiné. Il va de soi que j’ai été attaqué par des intrus. Mais pourquoi ? Si nous devions à tout prix sauver la race humaine et si nous avions besoin du matériel génétique d’une espèce d’un autre monde qui, on peut le craindre, ne comprendrait pas notre problème et ne nous le donnerait pas sans résister, nous ne nous contenterions pas seulement de le prendre, nous nous sentirions moralement en droit de le faire. Après cette difficile première rencontre, j’ai vécu durant les onze années qui suivirent une relation incroyablement complexe avec les visiteurs et nombre de personnes qui leur sont connectées. Je n’ai que très partiellement écrit à ce propos parce que j’avais décidé que notre culture n’était pas prête à recevoir mon histoire, étant donné que j’avais été attaqué de partout, diffamé, traîné dans la boue par des agents du gouvernement américain et sujet à moquerie. La sonde anale est rapidement devenue un cliché de l’humour moderne. Je ne pense pas que cette réaction culturelle était appropriée ou utile et par conséquent, j’ai gardé pour moi la plus grande partie de mon expérience, en particulier les pouvoirs que j’ai gagnés et je continuerai de la sorte.

Karmapolis : Les récits d’enlèvements semblent avoir beaucoup de points communs avec les expériences d’états modifiés de conscience, comme les projections hors du corps, la lévitation, le fait de passer à travers les murs ou encore les expériences de mort imminente, etc. Quelle est la différence entre un état modifié de conscience et une véritable expérience d’enlèvement extraterrestre ?

Whitley Strieber : C’est tout à fait relié, parce que voir à ce niveau, revient à ouvrir les yeux ou les avoir ouverts de manière à ce que l’énergie consciente, qui est indépendante de la matière, puisse être observée. Bientôt, vous découvrirez fortuitement que les êtres humains ont, pour ainsi dire, le pouvoir de tisser un être énergétique qui pourra vivre dans cet état. Beaucoup ne le font pas et ne savent pas s’engager dans ce travail secret de l’âme. À la place, ils sont leurrés par un tissu de mensonges élaborés qui va du séculier au religieux. Cela ne sert à rien de prier les anciens dieux ou de se retrancher derrière l’idée que seule la matière existe, ou encore que c’est la nature qui décide de ce qui arrive après la mort. Créer un corps énergétique est un art basé sur la science. Vous avez de la chance en Europe, car les meilleures machines jamais conçues pour faire ce travail parsèment vos paysages sous la forme de cathédrales gothiques. Ce ne sont pas des églises catholiques. L’Église Catholique n’a fait que payer et entretenir ces cathédrales. L’utilisation correcte de ces instruments peut enclencher le processus que tout l’univers souhaite nous voir entreprendre, lequel consiste en la création d’une énergie consciente, conçue sur la base du moule de notre corps physique et en résonance avec son essence. Plusieurs gens dans ce monde meurent sans s’être créé ce corps énergétique. C’est pourquoi cette civilisation mourra par elle-même. Cela coûte plus à la terre qui y perd au change.

Karmapolis : Avez-vous pu rassembler des preuves matérielles en relation avec les abductions et/ou le phénomène ovni de manière plus générale ? Si oui, quelle a été la réaction de la communauté scientifique ?

Whitley Strieber : Des implants ont été extraits des patients. Les interventions ont été consciencieusement filmées. Les scientifiques n’ont manifesté aucun intérêt.

Karmapolis : Peut-on établir une corrélation entre le phénomène des enlèvements et les apparitions d’ovnis ? Font-ils partie d’un même processus ?

Whitley Strieber : C’est évidemment lié. Par exemple, il se trouve que durant les mois qui ont précédé mes enlèvements, beaucoup d’ovnis ont été vus dans la région où se trouve mon chalet, au nord de l’État de New York. De façon similaire, dans l’affaire Corina Saebels qui s’est déroulée en 2003 en Colombie-Britannique, non seulement trois ovnis ont été vus par deux personnes enlevées, mais ils ont été observés par des gens dans toute la région. De grâce, oubliez l’idée de vaisseaux, etc. C’est un point de vue qui n’a pas d’intérêt. Il est préférable d’aborder l’entièreté du problème comme une question ouverte sur la nature de la réalité et la façon dont nous percevons le phénomène. Par exemple, trois ovnis en formation triangulaire ont été vus par Mlle Saebels et beaucoup d’autres témoins en Colombie-Britannique la nuit où elle fut enlevée avec son petit ami. Ce n’étaient pas des vaisseaux, mais des êtres dont la science leur a depuis longtemps permis de changer de forme selon les circonstances. Ils ne voyagent pas dans de petites machines. Ils sont les vaisseaux que nous voyons et aussi les aliens que nous imaginons venir de ces engins. Je viens de terminer un livre qui est écrit, jusqu’à un certain degré, du point de vue de ceux que l’on appelle les Gris et dont j’ai fini par faire partie, dans le sens où des parties de mon âme ont été tissées dans une forme qui lui permet de faire corps avec eux. S’il est possible d’établir une analogie dans ce monde qui est le nôtre, imaginez une antenne d’une certaine longueur qui permet de capter des signaux de même longueur. En déduire que je suis par conséquent contrôlé par eux revient à essayer d’expliquer ma situation comme quelqu’un qui n’a jamais vu de radio et qui essayerait d’expliquer pourquoi une boîte parle. Il est vain d’essayer de traduire cette information dans les idiomes d’un monde si éloigné de la connaissance des principes impliqués. Je sais que ces affirmations déclencheront des réactions extrêmes et des réactions de peurs de plusieurs sortes, qui toutes représentent des signes de la faiblesse de la culture humaine d’aujourd’hui et sont des raisons supplémentaires qui provoqueront sa mort.

Karmapolis : Est-il possible d’empêcher le déroulement d’une abduction. Est-il possible de dire non ? Comment protéger son intégrité psychologique et spirituelle ?

Whitley Strieber : Cette question est le fruit d’une profonde ignorance. Je n’ai aucun moyen d’y répondre sauf à dire qu’elle est tout aussi absurde que celle d’un chien qui se poserait la question si, oui ou non, la bouche d’incendie devant laquelle il se trouve est bonne ou mauvaise en fonction de son odeur. Il est tout aussi impossible pour un homme d’éviter le processus d’un enlèvement que pour un bébé d’empêcher sa nurse de lui donner le bain. Le bébé pleurera, mais il prendra son bain.

Karmapolis : Que pensez-vous de la série Taken produite par Steven Spielberg, un vrai faux documentaire qui nous explique le phénomène des enlèvements extraterrestre comme un mal nécessaire, une hybridation de notre humanité pour créer une race supérieure ? Selon vous, c’est de l’information ou de la désinformation ?

Whitley Strieber : Ça n’a aucun sens. Cela vient probablement de quelques agents du gouvernement américain qui ont travaillé sur le phénomène. Leur octave s’est arrêtée sur la première note qui a été jouée. Tout ce qu’ils ont soutiré de la communauté est sans valeur. Absolument tout. Vous devez clairement comprendre que rien de ce qui a été dit sur le phénomène n’a la moindre valeur ; pas plus que tout ce que des chimpanzés pourraient se dire à propos des armes à feu, des vaporisateurs ou des livres, n’a de valeur dans un contexte qui résonne au-delà de leur niveau de réalité. Toutefois, il est cependant parfaitement possible de jouer, non pas une seule, mais plusieurs notes, de façon à composer une symphonie de toute l’existence qui se manifeste sous une forme humaine, même si elle reste limitée par la structure électrochimique du corps humain et la lenteur de la disposition du réseau synaptique que nous appelons cerveau, lequel est en fait une prise qui délivre un détecteur de sensations (que nous appelons un corps) à un être bien plus grand, bien plus complexe qui pour des raisons qui lui sont propres, est actuellement engagé dans une recherche de sensations dans ce niveau de réalité. L’humanité n’est qu’un incident dans ce processus.

Karmapolis : Pensez-vous, à l’instar de Alex Constantine et Jim Keith que les enlèvements extraterrestres sont reliés au contrôle mental et aux abus rituels.

Whitley Strieber : C’est absolument relié, dans le sens où toutes les peurs sont connectées entre elles. Cependant, il est également vrai que le contrôle mental est possible et que l’abus sexuel des enfants est endémique. Le simple fait de penser (à ces peurs) affaiblit toutefois notre potentiel. Prendre part à ce genre de choses comme contrôler l’esprit des autres, abuser des enfants, abuser de son pouvoir, agir cruellement, ignorer les impulsions de compassion, se laisser aller à l’avidité, tout cela se résume à un constat : cette forme humaine ne passera pas le stade de la matière.[3] Pour grandir, il est essentiel de développer le courage et la compassion. Avoir de l’indulgence pour le côté sombre, ce n’est pas embrasser les ténèbres de façon constructive ; c’est se laisser capturer par elles. Avoir de l’indulgence pour la peur est tout aussi dommageable que de faire réellement du mal, dans le sens où cela diminue de la même manière, l’ensemble des potentialités d’une entité biologique.

Karmapolis : En 1999 l’association COMETA (une émanation de l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale) rendait public un rapport officiel sur les ovnis et la défense nationale. Malgré la faiblesse de ce rapport – une argumentation peu développée et aucune représentation officielle – c’était la première fois que des hauts fonctionnaires du monde scientifique et militaire français soupçonnaient ouvertement le gouvernement américain de cacher la réalité extraterrestre du phénomène ovni dans le but de gagner une suprématie économique et militaire. Que pensez-vous de ce scénario ?

Whitley Strieber : La culture et la langue française sont très intéressantes parce qu’on y trouve une capacité de comprendre plus élevée que partout ailleurs. La langue française est particulièrement efficace quant à son habilité à construire des ambiguïtés, ce qui explique pourquoi l’intellectualisme français est si développé. Cette culture semble un peu plus ouverte et aussi moins belliqueuse que celle des anglo-saxons. Je parle du point de vue de ceux qui de l’autre côté essayent de comprendre comment il pourrait être possible d’établir un contact avec l’homme et qui ont le même problème qu’un éléphant qui essayerait de communiquer avec une fourmi : il y a un énorme problème de taille. Néanmoins, nous pouvons constater que les êtres humains et les chiens travaillent bien ensemble parce qu’ils ont trouvé un moyen de partager une vision mutuellement satisfaisante de la réalité, alors qu’elle est pourtant perçue de façon radicalement différente par chaque espèce. Cependant, l’homme se différencie du chien car il a potentiellement en lui une multitude de connexions possibles. Le chien est fixe dans le sens où il ne possède que deux cerveaux : le physique et l’émotionnel. La part cognitive est rudimentaire. Ce qui n’est pas vrai pour l’homme. L’homme a une aire cognitive plus développée et donc le pouvoir de devenir un membre à part entière du cosmos. Le rapport COMETA était intéressant parce qu’il était représentatif du fait que certains Français ont essayé d’approcher le phénomène rationnellement.

Karmapolis : Vous avez effectué beaucoup de recherches pour écrire Majestic, un roman sur l’incident de Roswell.[4] À propos de cet évènement, vous affirmez que votre oncle, le colonel Edward Strieber, qui a passé la majeure partie de sa carrière à Wright Patterson AFB, avait des informations de première main sur le transit par Wright Field de matériel extraterrestre en provenance de Roswell. C’est une coïncidence étonnante, vous ne pensez pas ? Pouvez-vous nous en dire plus ?

Whitley Strieber : Il a passé le début de sa carrière à Wright Field. La plus grande partie de sa carrière est restée classifiée. Le fait que nous ayons été tous les deux impliqués n’est pas une coïncidence.

Karmapolis : Que pensez-vous du film The Day After Tomorrow,[5] l’adaptation au cinéma de votre livre The Coming Global Superstorm que vous avez écrit en collaboration avec Art Bell ? Ce genre de film avait-il la moindre chance d’influencer la politique environnementale des États-Unis ou même de susciter une prise de conscience populaire ? Ce que je veux dire, c’est que d’un point de vue européen, ce film relève plus de la science-fiction que d’une action politiquement engagée.

Whitley Strieber : J’ai essayé de faire vibrer une note dans une octave très perturbée. La note n’est pas audible, parce que l’octave n’est pas bien accordée, mais la note a été correctement jouée. Même le propos scientifique du film est tout à fait juste.

Karmapolis : Vous expliquez que c’est une expérience mystique, une rencontre insolite avec un homme étrange dans un hôtel de Toronto qui vous a inspiré l’écriture de votre livre The Coming Global Superstorm. Qui est cet homme ?

Whitley Strieber : Le Maître des Clés, qui est-il ? C’est une bonne question.

Karmapolis : Selon vous, une catastrophe climatique ne peut être évitée. Quels sont les défis auxquels nous devrons faire face ?

Whitley Strieber : L’effondrement de la sphère écologique au plus profond de ses fondements est inévitable. Est-ce que ce sera un retour à l’ère glaciaire ou encore quelque chose d’autre ? Il n’y a aucun moyen d’en être certain, mais le superstorm est un scénario tout à fait valable. De toute façon, qu’importe ce qui arrivera, d’une façon ou d’une autre, l’espèce humaine expérimentera un retour en arrière significatif dans les années à venir. Et voilà ! maintenant vous comprenez pourquoi je consacre ma vie à cette fabuleuse et quantique réalité. Puissiez-vous aimer tous ces textes que je vous propose ou les détester, mais je vous en supplie : n’y soyez pas indifférent c’est cela q


[1] Noter l’utilisation du terme extrahumain et non extraterrestre.

[2] Mais plus encore, c’est notre libre arbitre qui serait compromis, sans parler de l’émergence de nouveaux cultes.

[3] Jim Sparks dit la même chose, mais croit tout de même le processus réversible.

[4] On fait allusion ici au crash de deux ovnis dans ce secteur du Nouveau-Mexique en 1947. C’est le dossier le plus médiatisé de toute l’histoire ufologique mondiale.

[5] Film catastrophe sur une vague de froid intense qui plonge la planète dans une nouvelle ère glaciaire.

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Révélations spectaculaires sur les Faits Maudits 

Jean Casault note très tôt sur le terrain que des témoins rapportent parfois des évènements qui « ne font aucun sens » et que les autres ufologues négligent, ne voulant pas se ridiculiser. Un vaisseau de près de 300 pieds au-dessus d’une autoroute alors que personne ne s’arrête par exemple. Le témoin en a fumé du bon !!! Ou alors… Et c’est dans cet esprit que Jean casault a découvert, comme certaines autres d’ailleurs dont Jenny Randles et Budd Hopkins, que ces mystérieux ovnis peuvent parfois n’être visibles que dans certaines circonstances et que pour certaines personnes. Accrochez-vous, on vous emmène plus loin que tout autre !!!

Les Éditions Québec-Livres 2015. Disponible en librairies, en bibliothèques ou peut être commandé chez l’éditeur ou Amazon.



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15 réponses

  1. Je crois aussi qu’ils sont là pour quelque chose, pour nous aider à évoluer mais aussi pour eux aussi ils ont besoin de nous

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  2. Jean, cautionnes-tu les dires de Whitley Strieber ? Crédible?

    Passons (ou glissons sur) la sonde anale (ou plutôt l’électro stimulateur) et attardons-nous à cette seule déclaration, que je cite: « …trois ovnis ont été vus par deux personnes enlevées, mais ils ont été observés par des gens dans toute la région. De grâce, oubliez l’idée de vaisseaux, etc. C’est un point de vue qui n’a pas d’intérêt. Il est préférable d’aborder l’entièreté du problème comme une question ouverte sur la nature de la réalité et la façon dont nous percevons le phénomène. Par exemple, trois ovnis en formation triangulaire ont été vus par Mlle Saebels et beaucoup d’autres témoins en Colombie-Britannique la nuit où elle fut enlevée avec son petit ami. Ce n’étaient pas des vaisseaux, mais des êtres dont la science leur a depuis longtemps permis de changer de forme selon les circonstances. Ils ne voyagent pas dans de petites machines. Ils sont les vaisseaux que nous voyons et aussi les aliens que nous imaginons venir de ces engins. »

    Donc,  »Ce n’étaient pas des vaisseaux, mais des êtres dont la science leur a depuis longtemps permis de changer de forme selon les circonstances. » No kidding?
    Ce qui veut dire, qu’à Roswell, en 1947, ce sont des morceaux d’extraterrestres qu’on a recueillis dans le désert du Nouveau-Mexique, et non pas des morceaux de vaisseau.

    Quel degré de crédibilité lui accordes-tu sur une échelle de 1 à 10?

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  3. Je fais une nuance entre ce qu’il a vécu et ce qu’il en dit ! Je sais ce que moi j’ai vécu et jamais je ne me mettrais en doute là dessus, mais ce que j’en dis, pourrait être éventuellement être amendé, transformé sans que cela ne touche l’intégrité de mon vécus

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    • C’est tout simplement qu’après une telle affirmation sensationnelle, qui semble ne faire aucun sens, on se demande naturellement, où ailleurs dans son récit a-t-il exagéré, erré, divagué (ne serait-ce que de toute bonne foi), ou volontairement bourré ses lecteurs. Après une telle affirmation tu lis ses propos avec pas mal plus de scepticisme. Ça nuit certainement beaucoup à sa crédibilité.

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  4. Je retiens de ton propos qui SEMBLE ne faire aucun sens.

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    • C’est sûr que des extraterrestres qui prennent apparence de vaisseaux spatiaux ça renforce la crédibilité de témoignages de gens qui ont vu des êtres sortir de vaisseaux et les réintégrer, sans compter toutes les récits d’enlèvements de gens amenés à bord de vaisseaux. Et les crash d’ovnis qui deviennent par le fait même (de l’affirmation de Streiber) des crash d’extraterrestres…dont on aurait par conséquent récupéré des morceaux à Roswell. Alors oui! l’utilisation du terme  »semble » me semble effectivement être plus qu’appropriée. Il ne te semble toujours pas? 🙂 Et s’il te semble que nous ne soyons par sur la même fréquence, concernant ce monsieur, c’est probablement le cas. Cependant, il me semble que nous ne serons pas moins bons amis, ou pire ennemis, pour autant. Alors rions en semble et restons sur nos positions respectives! 😉

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  5. Pour avoir effectué de très nombreuses séances d’hypnose sur des expérienceurs durant les années 70-90 je sais qu’il est inévitable et cela John Mack me l’a confirmé que le subconscient du sujet teinte toujours son récit par des acquis sans doute depuis des années. Religieux, scientifiques, philosophiques ou personnels qu’importe. Strieber ne l’oublions pas est un auteur de science fiction un peu dans le style de Stephen King. Mack me disait : Si vous buvez une vodka, cela peut se faire, avec un jus de fruits, il y a tellement de saveurs qu’on s’y perd ou une boisson gazeuse, mais qu’importe le goût, la couleur, ce sera encore et encore de la vodka. La perception de Strieber n’est pas un Commandement de Dieu auquel nous devons adhérer. C’est son appréciation, sa perception qui n’entache nullement l’intensité de ses expériences mais lui donne un goût présenté dans une couleur que toi de toute évidence n’aime pas. L’ufologie profonde est un goût qui s’acquiert.

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  6. Quand t’es un auteur de romans d’horreur et de science-fiction et que tu fais une affirmation aussi énorme que  »OVNI = Extraterrestre ayant changé d’apparence », tu risques fort que les gens se demandent, lorsque tu racontes ce qui t’es arrivé, et surtout lorsque tu l’interprètes et avances des explications, où se termine la vérité dans tes récits et où commence les ébauches imaginaires de l’auteur de science-fiction.

    Pour te paraphraser, tu dis  »le gars a vraiment vécu des choses » mais tu rajoutes, et là je te cite:  »Je fais une nuance entre ce qu’il a vécu et ce qu’il en dit ».
    Or, comment sais-tu ce qu’il a vécu? Si ce n’est justement que par ce qu’il en dit, et ce qu’il en dit est justement ce que tu prends plus avec un grain de sel parce que le bonhomme est d’abord et avant tout un romancier. Si ce qu’il dit est douteux, alors comment arrives-tu à le croire et surtout comment fais-tu le tri entre l’ivraie et le bon grain?

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    • Je fais le tri entre ce qui résonne et ce qui ne résonne pas. C’est un processus intuitif qui se développe avec les années. Les policiers appellent cela le flair, d’autres avoir de instinct etc. Mais là encore ce processus est douteux aux yeux de plusieurs, ma réponse ne leur sera donc jamais satisfaisante. Alors je les encourage à poursuivre leur évolution, ca finira peut-être par leur arriver.

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  7. Très intéressant tout ça la question que je me pose pourquoi ils y a de personnes qui sont enlevé et d’autres pas où qu’ils ne souvient de rien et le pourquoi ils y a des gens qui peuvent les voir et qui sont témoins de l’événement est que dans un certain sens qu’il y participe aussi ? er ceux qu’ils ont des expériences le savent très bien ont se souvient mais pas de tout et pourquoi ?

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  8. Personne ne peut répondre à cela comme à bien d’autres questions similaires dans tout autre domaine. Pourquoi certaines personnes ont des accidents toute leur vie et d’autres pas même une égratignure, il y a sans aucun doute des réponses à tout, mais l’humain après 200,000 ans aura encore mille fois plus de questions que de réponses, mais déja on a plus de réponses là qu’il y a 200,000 ans.

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  9. Vous avez raison là dessus, mais moi j’ai l’impression d’être qu’une enfant qui veut tout savoir et d’avoir des réponses à toutes se qui nous entourent et au delà des frontières, et j’ai l’impression de ne pas venir de la planète terre même quand j’étais jeune je voulais voler pour aller vers un monde meilleur

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  10. Le titre de mon livre  » Et si la Terre n’était qu’un Jardin d’Enfance » est malgré sa formulation en question une réponse à tout cela. face à l’Univers foisonnant de vie à tous les niveaux, nous sommes des enfants, de 4 ou 5 ans. Pas plus. Et pour un grand nombre nous ne sommes que de sales gosses

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  11. Et bien j’espère que je ne suis pas un sale gosse car on me dit toujours que je suis un anges mais des fois avec des cornes

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Rétroliens

  1. Abduction – Whitley Strieber – Aliens! Ils sont déjà là

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