Du vrai se cache derrière ces créatures de la nuit et de la mort

Cinquième et dernière partie

Que sont-ils ces pouvoirs psychiques ?

La chresmologie de la mancie, perspective extraordinaire du pouvoir humain est sans aucun doute le chemin le plus pur et le plus authentique de l’action magique métaphysique. Je vais y revenir plus loin. Il me faut d’abord mettre un point au clair concernant le développement des capacités psychiques. On ne devient pas un culturiste en lisant la biographie d’Arnold Schwarzenegger. Tout le monde s’entend à le reconnaître. Malgré tout, plusieurs pensent qu’en fermant leurs yeux dans une pièce éclairée par une chandelle à faire des ouaou bien sonores, ils vont devenir télépathes ou sortir de son corps.

On est sensitif de naissance, le devenir est un exploit

Il est reconnu par un très grand nombre d’experts que le développement de facultés paranormales peut aboutir au contrôle de ces dernières et devenir par le fait même obéissantes à la volonté, mais cela ne se fait pas en claquant des doigts. On peut comparer ce développement à toute autre forme d’entraînement intense visant à atteindre un sommet, que ce soit de la part d’un étudiant en physique quantique ou d’un athlète olympique. Une pratique intense et constante dans un environnement propice et sur une période de temps assez étendue va possiblement amorcer le travail. J’ai fait cela et oui, des portes se sont ouvertes que j’ai franchies, mais depuis 1982, elles se sont peu à peu refermées. Pas toutes cependant, ce qui me fait dire que les choses auraient été différentes si j’avais persisté. Mon destin n’était donc pas de devenir un puissant sensitif, mais juste assez pour en témoigner ouvertement. En d’autres termes, devenir un authentique sensitif en contrôle de ses capacités est de naissance. Vouloir partir de zéro et atteindre un tel état psychique relève de l’exploit suprême et le plus souvent insurmontable.

Cela dit, quand ils sont bien implantés chez les sensitifs, ces pouvoirs supérieurs peuvent être les suivants : la précognition, la clairvoyance par le développement des chakras ces centres d’énergie répartis tout le long du corps de la fontanelle au coccyx et qui permettent à certains humains de disposer de certaines facultés spéciales à laquelle on peut ajouter l’autoguérison. Ce sont les basiques.

Les autres capacités psychiques d’ordre supérieur sont plus spectaculaires. On y retrouve la télépathie, la télépsychie, la télékinésie, la guérison psychique et de nombreuses autres disciplines supérieures de l’esprit qui ont la caractéristique de pouvoir agir sur le monde extérieur et l’influencer. La télépathie est sans aucun doute le pouvoir influent le plus connu ; il consiste à recevoir et transmettre des pensées. Dès que la transmission de ces pensées comporte un caractère influent volontaire, cela devient un acte de psychokinèse et quand on déplace des objets, ça devient sérieux et cela aussi existe. Un acte de psychokinèse ayant un effet physique sur la personne visée est l’acte typique attribuée aux sorcières d’antan. Elles jetaient alors un sort. Le vaudou vous connaissez ? La psychokinèse existant,[1] les sorcières d’antan qui avaient cette capacité existaient tout autant. Ne pas oublier également les sorties extracorporelles, volontaires et non volontaires.

Nina Kulagina

Nina Kulagina

Lorsqu’un fantôme apparaît ou que des objets sont lancés partout dans la maison, on peut croire qu’une force extérieure interagit avec notre environnement, mais l’homme détient ces mêmes capacités. De nombreuses recherches ont été faites en ce sens et parmi les gens les plus remarquables, il y a Nina Kulagina d’origine russe. Durant sa jeunesse, sa famille eut tôt fait de constater que la jeune fille était victime d’un poltergeist alors que des objets s’envolaient partout sur son passage. Cependant, Nina Kulagina, aussi connue sous le pseudonyme Nelya Mikhailova, savait que ce n’était pas un esprit frappeur, un esprit malsain ou un fantôme, mais elle-même qui produisait ces phénomènes.

En 1964 alors qu’elle était hospitalisée, elle démontra certains pouvoirs qui laissèrent ses médecins bouche bée. Elle accepta d’être testée par des spécialistes. On découvrit alors qu’elle pouvait voir les couleurs avec ses doigts et plus tard déplaça des objets avec sa simple volonté. Le biologiste Édouard Naumov lui fit passer des tests. Elle déplaça des allumettes sur une table dans un ordre spécifique et les fit toutes tomber sur le sol.

En 1970, des experts américains admis en sol soviétique mirent au point une session au cours de laquelle aucune manipulation ou fraude n’était possible. Par sa seule pensée, la Russe déplaça une bague le long d’une bouteille et la fit entrer dedans. Plus tard, on posa divers objets non métalliques sous un globe parfaitement hermétique en plexiglas. Elle les fit virevolter comme des papillons. À ce jour, elle est considérée comme le cas le plus probant en raison de tous les tests scientifiques entourant ses performances. La question cruciale est : combien de Nina Kulagina existent sur cette Terre ? Combien ont intérêt à ne pas se dévoiler quand on voit ce que les autorités et les scientifiques en ont fait ? Les regrouper sous un dôme invisible et les faire vivre dans un fabuleux environnement dans la nature serait un rêve pour ces personnes. Il existe sans doute. Mais j’ignore où !

La médiumnité, l’ectoplasmie, le poltergeisme et la participation aux diverses formes du spiritisme sont difficiles à classer. Toutefois, au risque de commettre une erreur, les sensitifs détiennent certains pouvoirs d’ordre réceptifs qui leur permettent de percevoir des manifestations provenant de dimensions autres et de les extérioriser sous formes vocales ou visuelles. Il s’agirait donc d’un pouvoir supérieur, mais non volitif, puisqu’une fois de plus, je le répète, il apparaît que le sensitif le devient non pas à la suite de pratiques individuelles, mais naturellement, à la naissance ou accidentellement durant le cours de son existence. Toutefois, il est prouvé qu’un sensitif qui ne fait aucune pratique finit par faire diminuer sa sensitivité au point de disparaître. Si je ne vais plus à la gym, ne fais plus aucun exercice et si je demeure empâté devant la télé les muscles porteurs de mon corps vont s’atrophier.[2]

Les mystères du surnaturel sont expliqués par Robert Tocquet dans son ouvrage du même nom et dans bon nombre d’autres auteurs différents tout aussi compétents, dont bien sûr Allan Kardec. Je rappelle également les récits absolument fascinants des auteures de la Collection ufologie profonde chez Louise Courteau.

Quelles sont les forces naturelles ou surnaturelles qui interviennent ?

Correction. Le mot surnaturel signifie pour plusieurs divin, sacré, spirituel, religieux. Pas de ça ici. L’électricité, pour les indigènes Awas d’Amazonie vivant entièrement hors et loin des zones peuplées en ferait une force divine ![3] Ces forces découlent en principe des lois universelles de la matière, de l’énergie, incluant celles qui existent en d’autres dimensions. L’Univers est multidimensionnel d’où l’appellation de Multivers. Ce sont dans la tridimensionnalité, les forces telluriques, l’énergie cosmique, le prâna, la mâna, la substance universelle et ce sont tout aussi bien les influences cosmiques dont s’inspire l’astrologie de son vrai nom la généthliagie cosmique. On retrouve également des manifestations aussi étranges que les trous d’espace dans lesquels disparaissent avions, hommes et navires. Ces forces seraient en réalité des manifestations métaphysiques non personnalisées qui agissent sur l’homme et son environnement. Ce sont des forces naturelles méconnues et non des entités.

La communication apparente qui existe entre l’homme et les plantes constitue pour une grande part cet autre aspect de la métaphysique appliquée. Les pouvoirs inconnus du monde animal, des insectes, des chats, des dauphins, les pouvoirs de certaines pierres précieuses, de maisons, de statues, de montagnes, etc. En général, il y a beaucoup plus d’imagination et de superstition dans toutes ces prétentions, mais on ne peut écarter tous les faits rapportés par, entre autres, deux pionniers de l’insolite à ce niveau : Charles Fort et Georges Langelaan. Faites vos recherches sur ces deux noms vous serez ébahis.

Les anges, les démons, les esprits, les elfes, les gremlins, les korrigans et les fantômes sont tous considérés par la métaphysique comme des entités vivantes, supérieures et de constitution invisible ou éthérée. Il en va de même des trolls et pas que ceux qui pullulent sur Internet, mais dans une autre dimension. Vous lirez Fascinante Zone parallèle de Carole Lauzé lorsqu’il paraîtra en 2023 (Collection ufologie profonde).

Durant mon initiation à la métaphysique appliquée, j’ai eu mon compte de ces êtres. Ces entités exercent en général une influence sur les humains bien que certaines existent tout simplement pour agir sur leur propre milieu. C’est ceux-là que j’ai vus. Ils étaient des centaines, ne mesurant pas plus de 25 cm, humains, sur un sentier illuminé de couleur dorée et croyez-moi, j’avais moi aussi envie de dire à mon chien toto que sûrement nous ne sommes plus au Kansas. J’ai ressenti une émotion très profonde lorsque des années plus tard, dans une scène de Men in Black, on voit l’acteur Will Smith ouvrir un casier bien ordinaire dans lequel vit une communauté de petits êtres qui le saluent vivement. Le lieu était différent, mais c’est exactement ce que j’ai vécu et de grâce, n’allez pas bêtement en conclure que j’ai rêvé ça. Je suis tout aussi exigeant envers mes propres expériences qu’envers celles des autres. J’ai la conviction profonde que les auteurs de science-fiction ont eux aussi vécu des expériences du genre qu’ils ont exploité dans leurs romans. Contrairement aux expérienceurs de ma collection, ils ont choisi de ne pas s’en ouvrir publiquement préférant écrire des livres ou faire des films. Demandez à Chantal Goupil l’auteure de Le Chant de la Sirène ce qu’elle m’a envoyé avant de me parler de ses expériences réelles : un roman ! 

Les faits maudits sont en réalité des faits inexpliqués

Malgré Gaston Bachelard : « L’esprit scientifique est essentiellement une rectification du savoir et un élargissement des cadres de la connaissance », il est à craindre que le scientisme soit trop lent ou trop impliqué dans les armes, les cosmétiques et les cellulaires à venir pour partager la découverte de l’énigme métaphysique. Les approches scientifiques et philosophiques sont maladroites alors que d’autre part, quantité de penseurs ne s’y attardent pas une seule seconde. Certaines universités utilisent les phénomènes métaphysiques comme base de questionnaires pour procéder à l’évaluation de la teneur en pourcentage de superstition qui existe dans une région donnée ou dans l’université même ! Je pourrais écrire un ouvrage entier sur ces questions, mais je vais me garder une petite gêne.

La chresmologie

« Dans la psychologie du XXe siècle, c’est la perception qui, remplaçant la mémoire, a ouvert la voie à la réhabilitation de l’imagination »[4]. L’intuition est la faculté de puiser en nous la réalité ou de la voir hors de nous par clairvoyance. L’intuition est la percée mentale d’informations préexistantes dans l’esprit et constitue également la perception clairvoyante de données extérieures pour utilisation immédiate ou assimilation pour une résurgence future aux moments opportuns.

Il existe une forme de divination basée exclusivement sur l’intuition pure et que les spécialistes ont appelée la chresmologie. Gwen Le Scouezec (L’Encyclopédie de la divination, Tchou, 1963) fait la distinction entre la connaissance occulte et la divination. Il cite Conteneau (La Divination chez les Assyriens, Payot) : « La divination est la connaissance des choses cachées qu’il s’agisse de l’avenir, du passé ou du présent : elle porte aussi bien sur le temps que sur l’espace et ne doit pas être confondue avec la magie ». Cependant, magie ou pas, ces voies d’accès au temps et à l’espace sont très intimement liées à la capacité humaine d’atteindre une forme de science absolue d’ordre métaphysique. Les effets de l’Anneau sur moi en décembre 1966 démontrent que cela existe. Pour moi à tout le moins.

Déjà en 1978, j’écrivais dans Grande Alliance :

« Ce potentiel, nous constatons qu’il est atrophié par un freinage systématique du caractère rationnel de la pensée actuelle ; on ne doit pas se surprendre alors que l’ésotérisme actuel soit peu prisé des éducateurs qui hantent les facultés de philosophie. Il existe une différence entre « voir mentalement » la réponse à une question donnée et reconnaître intuitivement le cheminement le plus court d’une question vers la réponse et qui éviterait les obstacles habituellement placés sur la route du long et pénible processus de la déduction cartésienne. La complexité des choses simples réside non pas dans la complexité de l’objet, mais dans celle du cheminement suivi et dans l’esprit de celui qui chemine. »

La chresmologie hallucinatoire

L’encyclopédie Britannica nous dit : « qu’il est pour l’âme deux genres d’excitations : elle agit de son propre mouvement sans le secours du raisonnement ni de la science, soit par une inspiration voisine de la fureur, soit qu’elle s’abandonne au sommeil ». Cet emprunt fait à Cicéron décrit une version très intéressante de la chresmologie hallucinatoire qui constitue une forme de divination par intuition, mais dans un état spécial hypnique ou hallucinatoire. Il importe déjà d’enlever à l’expression hallucinatoire son grossier aspect de vision féerique pour drogués désespérés.

Le Uno furante, uno somniante de Cicéron est très intéressant. La fureur dont il fait état rappelle un propos d’Anatole France : « Toutes les fureurs de l’imagination ». Synonyme de fureur est le mot enthousiasme dont l’origine grecque nous ramène au point de départ du mot grec : chresmos. La fureur de l’inspiré ! Or, cet enthousiasme, cet engouement existe partout où la connaissance est l’objet d’une recherche intense. C’est plus magique que l’eurêka d’Archimède. Il n’y a qu’un pas à franchir et l’on ose dire alors que la fureur, la passion, et nous le verrons plus loin, l’amour de ce que l’on ignore, déclenchent dans l’esprit humain des mécanismes subtils qui transcendent la logique et la raison et permettent à ce dernier de saisir l’infini de tout sujet dans le fini apparent de sa présentation globale. La fureur, c’est la tempête de l’esprit qui déclenche l’organisation massive, tumultueuse, mais secrète, des fonctions métaphysiques de la pensée. Une passion pouvant être contrôlée peut alors devenir une forme ardente de motivation, libérant de l’étreinte des âges, les fabuleuses connaissances accumulées par l’homme depuis des millénaires et toujours présentes dans les fondations supraconscientes de sa nature.

Quant au sommeil dont parle Cicéron, nous devinons l’oniromancie. À l’état de sommeil, l’esprit furète plus à l’aise dans l’infini, capte et reconnaît des éléments importants du monde du fini, parce que précisément, il les voit au travers de leur essence réelle et non au travers du masque humain, matériel et exclusivement rationnel qui les recouvre. À l’état de veille, l’esprit recoupe ses images et trop souvent les analyse comme des informations saugrenues et les recale dans l’oubli. Il en fait des rêves ou des cauchemars, c’est plus acceptable. Cet amoncellement de données refoulées finit par créer une espèce de croûte toujours plus difficile à percer.

Cicéron ajoute que la chresmologie de veille peut être activée lors de transes dont on reconnaît la pharmacomancie[5] (hallucinogènes) la caromancie et l’anthropomancie (hypnose et catalepsie) et la catoptromancie (miroir, effets réfléchissants). Edgar Cayce serait un cas typique de chresmologie hallucinatoire alors que, non médecin et profane dans les questions thérapeutiques, il parvenait à l’état de sommeil à livrer des diagnostics et des méthodes de traitement absolument exacts : c’est davantage de la science infuse ou de la captation spontanée qu’une simple question de voyance.

Presque tous mes ouvrages sont le fruit d’une captation de concepts très élaborés qu’on livre à ma conscience comme un paquet bien ficelé de UPS ou de Purolator. La chresmologie procède par intuition pure. Elle n’utilise aucun appui autre que l’intuition pour opérer. Pas de boule, pas de cartes, pas d’osselets. Le Scouezec affirme qu’elle n’interprète ni les faits, ni les gestes du monde animé, ni les aspects du monde inanimé, elle se manifeste grâce à l’inspiration intérieure, à la possession du devin.

C’est donc l’intuition pure ou la clairvoyance qui permet d’accéder à la connaissance sans l’intermédiaire d’aucune référence mathématique, historique ou logique. Plus loin, Le Scouezec ajoute : « De nos jours où l’esprit scientifique tend à dissocier l’inconnu du surnaturel, la clairvoyance est considérée par ceux qui l’admettent, non pas comme une possession, mais comme une faculté plus ou moins développée selon les individus ou comme un état de conscience auquel certains procédés permettent d’accéder ». Citant Bouchée-Leclercq, il nous rapporte qu’il existe deux types de chresmologie : celle du sanctuaire et celle de la personne.

La Pythie

C’est la Pythie, prêtresse d’Apollon dans le Temple de Delphes et la Sybille. On estime que cette différence entre la chresmologie de la Pythie et de la Sybille est capitale à l’esprit moderne du fait qu’elle représente l’évolution d’une conception religieuse de la divination vers une conception scientifique et marque un progrès dans la recherche d’une faculté psychique de clairvoyance dégagée d’un étroit formalisme rituel et dogmatique.

En somme, la chresmologie est à la base de notre conception de la connaissance en soi et de la perception intérieure. Il devient possible de croire que le pouvoir de l’esprit humain d’accumuler et de conserver des milliards de données peut être exploité de deux façons : par le rêve sous forme symbolique et par l’intuition sous forme brutale.

Par un raffinement raisonnable du procédé purement mental de l’épuration des données, il devient donc naturel à l’homme d’analyser une chaîne de données ordonnées et d’en tirer un langage clair et précis. La raison, utile à ce niveau, parvient à faciliter cette épuration et corrige les impulsions intuitives tout à fait normales d’un être non encore aguerri aux procédés chresmologiques.

La métaphysique appliquée de par l’action magique propose des voies directes à l’Illumination et la Connaissance. L’être humain possédant un corps aussi évolué et polyvalent est à même de l’utiliser pour d’autres fins que la survie, mais surtout pour l’exploitation de certains organes du corps au service de la conscience supérieure. Sans aucun moyen de développement physique, l’être humain est parfaitement en mesure d’accéder à la découverte de sa vraie nature si c’est bien en lui. Alors il en existe des êtres humains doués de facultés psychiques, de pouvoirs psychiques ? Absolument.

Le bâton d’Asclépios

En conclusion, oui, il existe bien des êtres, des entités, des humains, des créatures bien vivantes dans ce monde comme dans d’autres qui partagent notre existence, non pas que dans le secret le plus absolu, mais surtout dans notre ignorance totale. Cette ignorance collective l’est parce que voulue ainsi par le rejet massif des humains de ce qu’ils ne comprennent pas. Ils ne le comprennent pas parce qu’ils refusent même de s’y intéresser.


[1] Monic Beauregard en donne un exemple patent dans son livre, Les Secrets de ma chambre forte.

[2] Coupable ! Deux séjours à l’urgence m’ont convaincu de cesser de végéter comme une carotte.

[3] Prenez connaissance de ce petit conte de fiction que j’ai pondu le 25 septembre 2021. Incursion fictive dans le passé – Jean Casault (jcasault.com)

[4] Gilbert Durant L’Imaginaire. Essai sur les sciences et la philosophie de l’image, Paris, Hatier, 1994.

[5] Uniquement sous la supervision d’un authentique chaman expérimenté ce qui est extrêmement difficile à trouver.

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Catégories :Ufologie profonde

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2 réponses

  1. Et pourtant l’ouverture d’esprit n’est pas une maladie incurable . L’humain est encrassé dans un moule boulot dodo et le fun du wkd . Jai deux peurs dans la vie mourir riche sans avoir profiter bonnes choses de l’existence mais surtout mourir niaiseux dans tout l’univers qui m’entoure. . Donc merci Jean Casault pour vos textes toujours très éducatifs et inspirant.

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  2. Merci beaucoup M. Casault de ce texte intéressant et des autres de cette série. C’est très généreux de votre part et grandement apprécié.

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